Ok, great, here in Santos have an excellent relationship with the military police, when exalted your work and consider unfair treatment that society and many police officers give PMs, because at the time of struggle, the beggar to millionaire all without exception linked to the 190. Criticizing the error of PM in the street is easy, it's hard to get up every day and face unpredictable situations and that can end in tragedy. And who does this is the Military Police. (Written by scribe Valdemir Mota de Menezes)
This site is a tribute to honor the brave police officers, public officials, and metropolitan guards who fought in defense of society. To my colleagues from near and far to honor the uniform and badge, God Bless. (Policeman Valdemir Mota de Menezes)
segunda-feira, 19 de setembro de 2011
sexta-feira, 13 de maio de 2011
HONNÊTE POLICE
Une histoire vraie racontée par le scribe Valdemir Mota Menezes
Je suis fier de dire que je connais la police militaire de São Vicente, dont le nom de guerre est de Sa, nous avons une amitié typiques de la vie moderne, le seul type nous voyons en service au poste de police de San Vicente. Ces jours, il m'a dit un cas intéressant:
Il ya quelques années, un homme sorti du compte courant Suia quinze mille reais et se rendit à l'hôtel, parce que le lendemain serait aller au Portugal. Bandits savait qu'il a pris une bonne somme d'argent à la banque, alors envahi la salle et dit avec une menace grave national exigé de l'argent de la victime. Un des voleurs a fini par donner un coup de feu sur la victime en outre indiqué que les bandits qui avaient de l'argent sous le matelas et j'ai vu une telle violence, la victime croyait qu'il avait plus de chance de sauter du premier étage de l'immeuble, ce qu'il fit. C'est avant de sauter par la fenêtre, les gens ont vu les voleurs en mouvement dans le matelas.
Lorsque la victime est tombée dans la rue a été blessé et encore vu la bande fuir passant sur son corps. L'équipe de la police militaire "De Sá" est allé à l'hôtel, mais la victime avait été sauvé à l'hôpital. Sur place il y avait beaucoup de sang. Alors que la police conservés sur le site, de Sa allé à l'hôpital et a constaté que la victime soit médicamenteux. Cet homme a signalé l'incident et a déclaré que les voleurs doivent avoir pris le sac avec l'argent parce qu'il les voyait venir avec un volume dans ses mains. Que la police DE SA a décidé de retourner à l'hôtel, avant de présenter l'événement à la gare.
A l'hôtel, que notre héros a rencontré le paquet ci-dessus avec les quinze mille reais. Ne sachant pas ce qui s'est passé, si les voleurs ne voit pas le paquet. Peu de temps après, DE SA allé à la police où la victime était déjà mieux et il a signalé l'infraction et ce greffier avait la blessure de quinze mille reais qui ont été volés.
Le policier est alors arrivé à la salle et dit d'appeler M. John Doe:
- Croyez-vous en Dieu?
Regardez ici pour votre argent!
De Sa dit que la victime me remercia d'avoir récupéré l'argent qu'il avait déclarées volées. Il est parti sans lui donner même une note.
Après la victime a quitté, le greffier qui a enregistré la présence, sévèrement critiqué parce qu'il lui a rendu l'argent à la victime. Il n'a fait que parce qu'il était une recrue dans la police et que, dans le temps, il apprendra que, dans de tels cas est un policier devrait garder l'argent pour lui-même.
Plusieurs années ont passé et le soldat DE SA m'a dit qu'il n'a pas appris à garder ce qui appartient à autrui. C'est dans sa maison ne serait pas entrer dans tout ce qui est le résultat de la criminalité. Que les choses qu'il achète pour son fils est avec l'argent de leur travail. Et m'a même dit:
- Un jour, vous êtes en mesure de savoir que j'ai été arrêté, mais soyez assurés que ce ne sera pas commettre la malhonnêteté et ne pas prendre des choses aux autres.
En entendant cela, j'ai pris un saut de la chaise sur laquelle il était assis au poste de police et a demandé la main de De Sa et l'a félicité pour cet acte d'honnêteté et encore plus parce qu'il a bien fait et a même fait une publicité pour la venue de Dieu.
Je suis fier de savoir comment la police Sá. Il vit dans une périphérie dangereuses de la région Santos. Il est l'un de mes héros, l'un des modèles d'agents de police et que ce qui m'inspire encore à la société brésilienne peut compter pour protéger la propriété publique.
Je suis fier de dire que je connais la police militaire de São Vicente, dont le nom de guerre est de Sa, nous avons une amitié typiques de la vie moderne, le seul type nous voyons en service au poste de police de San Vicente. Ces jours, il m'a dit un cas intéressant:
Il ya quelques années, un homme sorti du compte courant Suia quinze mille reais et se rendit à l'hôtel, parce que le lendemain serait aller au Portugal. Bandits savait qu'il a pris une bonne somme d'argent à la banque, alors envahi la salle et dit avec une menace grave national exigé de l'argent de la victime. Un des voleurs a fini par donner un coup de feu sur la victime en outre indiqué que les bandits qui avaient de l'argent sous le matelas et j'ai vu une telle violence, la victime croyait qu'il avait plus de chance de sauter du premier étage de l'immeuble, ce qu'il fit. C'est avant de sauter par la fenêtre, les gens ont vu les voleurs en mouvement dans le matelas.
Lorsque la victime est tombée dans la rue a été blessé et encore vu la bande fuir passant sur son corps. L'équipe de la police militaire "De Sá" est allé à l'hôtel, mais la victime avait été sauvé à l'hôpital. Sur place il y avait beaucoup de sang. Alors que la police conservés sur le site, de Sa allé à l'hôpital et a constaté que la victime soit médicamenteux. Cet homme a signalé l'incident et a déclaré que les voleurs doivent avoir pris le sac avec l'argent parce qu'il les voyait venir avec un volume dans ses mains. Que la police DE SA a décidé de retourner à l'hôtel, avant de présenter l'événement à la gare.
A l'hôtel, que notre héros a rencontré le paquet ci-dessus avec les quinze mille reais. Ne sachant pas ce qui s'est passé, si les voleurs ne voit pas le paquet. Peu de temps après, DE SA allé à la police où la victime était déjà mieux et il a signalé l'infraction et ce greffier avait la blessure de quinze mille reais qui ont été volés.
Le policier est alors arrivé à la salle et dit d'appeler M. John Doe:
- Croyez-vous en Dieu?
Regardez ici pour votre argent!
De Sa dit que la victime me remercia d'avoir récupéré l'argent qu'il avait déclarées volées. Il est parti sans lui donner même une note.
Après la victime a quitté, le greffier qui a enregistré la présence, sévèrement critiqué parce qu'il lui a rendu l'argent à la victime. Il n'a fait que parce qu'il était une recrue dans la police et que, dans le temps, il apprendra que, dans de tels cas est un policier devrait garder l'argent pour lui-même.
Plusieurs années ont passé et le soldat DE SA m'a dit qu'il n'a pas appris à garder ce qui appartient à autrui. C'est dans sa maison ne serait pas entrer dans tout ce qui est le résultat de la criminalité. Que les choses qu'il achète pour son fils est avec l'argent de leur travail. Et m'a même dit:
- Un jour, vous êtes en mesure de savoir que j'ai été arrêté, mais soyez assurés que ce ne sera pas commettre la malhonnêteté et ne pas prendre des choses aux autres.
En entendant cela, j'ai pris un saut de la chaise sur laquelle il était assis au poste de police et a demandé la main de De Sa et l'a félicité pour cet acte d'honnêteté et encore plus parce qu'il a bien fait et a même fait une publicité pour la venue de Dieu.
Je suis fier de savoir comment la police Sá. Il vit dans une périphérie dangereuses de la région Santos. Il est l'un de mes héros, l'un des modèles d'agents de police et que ce qui m'inspire encore à la société brésilienne peut compter pour protéger la propriété publique.
POLICIAL MILITAR "DE SÁ"
Eu tenho o orgulho de dizer que conheço o policial militar da cidade de São Vicente, cujo nome de guerra é DE SÁ, temos uma amizade típica da vida moderna, do tipo que só nos vemos em serviço na delegacia de policia de São Vicente. Estes dias ele contava-me um caso interessante:
Alguns anos atrás, um senhor retirou da suia conta corrente quinze mil reais e foi para o hotel, pois no dia seguinte iria para Portugal. Bandidos souberam que ele retirou uma boa quantia em dinheiro do banco e por isso invadiram o quarto do dito cidadão e com grave ameaça exigiram o dinheiro da vitima. Um dos ladrões acabou dando um tiro na vítima que ainda informou aos bandidos que o dinheiro estava debaixo do colchão e vendo tamanha violência, a vitima acreditou que tinha mais chance pulando do primeiro andar do prédio, o que de fato fez. Que antes de pular pela janela, este cidadão viu os ladrões mexendo no colchão.
Ao cair na rua a vitima ficou ferida e ainda viu os o bando fugir passando por cima do seu corpo. A equipe do policial militar "De Sá" foi até o hotel, mas a vítima já havia sido socorrida ao Hospital. No local havia muito sangue. Enquanto um policial preservava o local, o DE SÁ foi até o hospital e encontrou a vitima sendo medicada. Este senhor informou o ocorrido e disse que os ladrões devem ter levado a bolsa com o dinheiro, porque viu eles saindo com um volume nas mãos. Que o policial DE SÁ resolveu voltar ao hotel, antes de apresentar a ocorrência na delegacia.
No hotel, este nosso herói encontrou o dito pacote com os quinze mil reais. Não sabendo o que aconteceu que os ladrões não viram o pacote. Logo em seguida, DE SÀ foi até a delegacia, onde a vítima já estava melhor e ele mesmo já havia relatado a escrivã o crime e que teve o prejuízo de quinze mil reais que foram roubados.
O policial militar então chegou na sala do plantão e disse para o senhor Fulano de Tal:
- O senhor acredita em Deus?
Olha aqui o seu dinheiro!
De Sá disse-me que a vítima agradeceu por ter recuperado o dinheiro que ele já tinha dado como roubado. E saiu sem dar-lhe nem uma nota.
Depois que a vítima foi embora, a escrivã que registrava a ocorrência o criticou asperamente por ele ter devolvido o dinheiro para a vítima. Que ele só fazia aquilo porque era um novato na policia e que com o tempo ele iria aprender que em casos como estes um policial deveria era ficar com o dinheiro para si próprio.
Vários anos se passaram e o soldado DE SÁ disse-me que ainda não aprendeu a ficar com o que pertence aos outros. Que na casa dele não entra nada que seja fruto de crime. Que as coisas que ele compra para seu filho é com o dinheiro do seu trabalho. E ainda afirmou-me:
- Um dia é capaz que você fique sabendo que fui preso, mas pode ter certeza que não será por cometer desonestidade e nem ficar com as coisas dos outros.
Ao escutar isso, eu dei um pulo da cadeira em que estava sentado na delegacia e pedi a mão do De Sá e parabenizei-o por este ato de honestidade e ainda mais porque fez o bem e ainda fez uma propaganda de Deus para o próximo.
Tenho orgulho de conhecer policiais como De Sá. Ele mora em uma periferia perigosa da baixada santista. Ele é um dos meus heróis, um dos modelos de policiais ao qual me inspiro e que ainda a sociedade brasileira pode contar para proteger os cidadãos de bens.
Alguns anos atrás, um senhor retirou da suia conta corrente quinze mil reais e foi para o hotel, pois no dia seguinte iria para Portugal. Bandidos souberam que ele retirou uma boa quantia em dinheiro do banco e por isso invadiram o quarto do dito cidadão e com grave ameaça exigiram o dinheiro da vitima. Um dos ladrões acabou dando um tiro na vítima que ainda informou aos bandidos que o dinheiro estava debaixo do colchão e vendo tamanha violência, a vitima acreditou que tinha mais chance pulando do primeiro andar do prédio, o que de fato fez. Que antes de pular pela janela, este cidadão viu os ladrões mexendo no colchão.
Ao cair na rua a vitima ficou ferida e ainda viu os o bando fugir passando por cima do seu corpo. A equipe do policial militar "De Sá" foi até o hotel, mas a vítima já havia sido socorrida ao Hospital. No local havia muito sangue. Enquanto um policial preservava o local, o DE SÁ foi até o hospital e encontrou a vitima sendo medicada. Este senhor informou o ocorrido e disse que os ladrões devem ter levado a bolsa com o dinheiro, porque viu eles saindo com um volume nas mãos. Que o policial DE SÁ resolveu voltar ao hotel, antes de apresentar a ocorrência na delegacia.
No hotel, este nosso herói encontrou o dito pacote com os quinze mil reais. Não sabendo o que aconteceu que os ladrões não viram o pacote. Logo em seguida, DE SÀ foi até a delegacia, onde a vítima já estava melhor e ele mesmo já havia relatado a escrivã o crime e que teve o prejuízo de quinze mil reais que foram roubados.
O policial militar então chegou na sala do plantão e disse para o senhor Fulano de Tal:
- O senhor acredita em Deus?
Olha aqui o seu dinheiro!
De Sá disse-me que a vítima agradeceu por ter recuperado o dinheiro que ele já tinha dado como roubado. E saiu sem dar-lhe nem uma nota.
Depois que a vítima foi embora, a escrivã que registrava a ocorrência o criticou asperamente por ele ter devolvido o dinheiro para a vítima. Que ele só fazia aquilo porque era um novato na policia e que com o tempo ele iria aprender que em casos como estes um policial deveria era ficar com o dinheiro para si próprio.
Vários anos se passaram e o soldado DE SÁ disse-me que ainda não aprendeu a ficar com o que pertence aos outros. Que na casa dele não entra nada que seja fruto de crime. Que as coisas que ele compra para seu filho é com o dinheiro do seu trabalho. E ainda afirmou-me:
- Um dia é capaz que você fique sabendo que fui preso, mas pode ter certeza que não será por cometer desonestidade e nem ficar com as coisas dos outros.
Ao escutar isso, eu dei um pulo da cadeira em que estava sentado na delegacia e pedi a mão do De Sá e parabenizei-o por este ato de honestidade e ainda mais porque fez o bem e ainda fez uma propaganda de Deus para o próximo.
Tenho orgulho de conhecer policiais como De Sá. Ele mora em uma periferia perigosa da baixada santista. Ele é um dos meus heróis, um dos modelos de policiais ao qual me inspiro e que ainda a sociedade brasileira pode contar para proteger os cidadãos de bens.
sexta-feira, 25 de fevereiro de 2011
CORREGEDORIAS DE POLÍCIAS
Não podemos deixar de elogiar os Governos que criaram as Corregedorias de Policias. Estas Instituições são fundamentalmente importantes para conter os ímpetos dos policiais que praticam condutas desaprovadas moralmente.
Vivemos dias de escandalos em todas as camadas e setores sociais, e nem mesmo esta Instituição esta livre de estar envolvida em arbitrariedades e crimes, mas elas são extremamentes necessárias.
Nos tempos em que não havia Corregedoria de polícia a impunidade corria solta, perfeito nunca ficará, mas pelo menos existe mais um órgão fiscalizador para investigar e punir os erros dos policiais.
Os bons policiais continuarão apoiando as Corregedorias e todos nós devemos ficar tristes e não felizes por ver este orgão se envolvendo em mazelas. Na Corregedoria deve, pelo menos técnicamente, esta lotado os mais exemplares policiais para servirem de espelho para os demais policiais.
Conheço excelentes policiais, bom caráter, sem dolo, imparcial, honesto e de boa conduta que estão lotados nestes órgãos e espero que eles continuem lá, porque são garantias de que teremos gente séria, honesta e imparcial para analisar qualquer denúncia que paire sobre os policiais.
Posso citar o exemplo de alguns. Destes posso falar que não a risco que eles tirem sua roupa. Se os policiais procurarem andar dentro da legalidade, eles terão muito pouco de mal a fazer contra vocês.
A Corregedoria não pode ter gente vaidosa que procura dela fazer parte só para sentir que tem poder e é temido pelos demais policiais. Na Corregedoria deve estar os mais educados, os mais inteligentes, os mais instruidos e os mais corajosos. Afinal prender policiais não é tarefa de fracos e medíocres.
VIVA A CORREGEDORIA!!!!!!
Vivemos dias de escandalos em todas as camadas e setores sociais, e nem mesmo esta Instituição esta livre de estar envolvida em arbitrariedades e crimes, mas elas são extremamentes necessárias.
Nos tempos em que não havia Corregedoria de polícia a impunidade corria solta, perfeito nunca ficará, mas pelo menos existe mais um órgão fiscalizador para investigar e punir os erros dos policiais.
Os bons policiais continuarão apoiando as Corregedorias e todos nós devemos ficar tristes e não felizes por ver este orgão se envolvendo em mazelas. Na Corregedoria deve, pelo menos técnicamente, esta lotado os mais exemplares policiais para servirem de espelho para os demais policiais.
Conheço excelentes policiais, bom caráter, sem dolo, imparcial, honesto e de boa conduta que estão lotados nestes órgãos e espero que eles continuem lá, porque são garantias de que teremos gente séria, honesta e imparcial para analisar qualquer denúncia que paire sobre os policiais.
Posso citar o exemplo de alguns. Destes posso falar que não a risco que eles tirem sua roupa. Se os policiais procurarem andar dentro da legalidade, eles terão muito pouco de mal a fazer contra vocês.
A Corregedoria não pode ter gente vaidosa que procura dela fazer parte só para sentir que tem poder e é temido pelos demais policiais. Na Corregedoria deve estar os mais educados, os mais inteligentes, os mais instruidos e os mais corajosos. Afinal prender policiais não é tarefa de fracos e medíocres.
VIVA A CORREGEDORIA!!!!!!
quarta-feira, 23 de fevereiro de 2011
MINISTRA MARIA DO ROSÁRIO
Em nota, Secretaria de Direitos Humanos da Presidência condena abusos da corregedoria de SP
February 23 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: direitos humanos, escrivã, Operação Pelada
Min. Maria do Rosário: Imagens abomináveis (foto: Agência Brasil)
A Secretaria Nacional de Direitos Humanos da Presidência da República qualificou como como bárbaro e inaceitável o comportamento dos delegados da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo que despiram à força uma escrivã acusada de concussão. As imagens das sevícias foram divulgadas em primeirão mão pelo Blog do Pannunzio e pelo Jornal da Band na última sexta-feira (clique aqui para ver o video).
Na nota, a Ministra Maria do Rosário Nunes afirma que o governo federal irá acompanhar os desdobramentos do caso e pede o afastamento dos outros policiais que participaram da chamada “Operação Pelada”.
Leia a seguir a íntegra do comunicado.
Diante das imagens veiculadas pela imprensa, que mostram uma policial mulher sendo despida à força por policiais homens, no estado de São Paulo, a Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República vem a público manifestar o seguinte:
1 – As imagens divulgadas demonstram uma grave violação de Direitos Humanos. É inaceitável que num Estado democrático de direito, agentes públicos protagonizem cenas bárbaras como as referidas. Essa situação deve ser repudiada por todos aqueles que defendem a dignidade humana e acreditam que a segurança pública deve estar comprometida com a lei e com os princípios de Direitos Humanos.
2 – A situação mostra que o Estado brasileiro ainda tem um longo caminho a percorrer. Ao governo federal cabe aprofundar a política nacional em curso que, em parceria com os estados e municípios, visa formar policiais para uma atuação voltada à proteção e à cidadania. Somente estreitando os laços positivos entre a população e as forças de segurança, poderemos enfrentar a violência.
3 – O Governo do Estado de São Paulo cumpre seu papel ao afastar dois dos policiais envolvidos no fato. No entanto, é preciso que os demais policiais que participaram da agressão também sejam responsabilizados. Somente uma atitude célere e firme poderá assegurar à sociedade que a impunidade não prevalecerá.
4 – A Secretaria de Direitos Humanos acompanhará os desdobramentos e sempre condenará atitudes que violem os direitos fundamentais, onde quer que ocorram.
Brasília/DF, 22 de fevereiro de 2011
Maria do Rosário Nunes
ministra-chefe da Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República
--------------------------
FONTE:
http://www.brasilwiki.com.br/noticia.php?id_noticia=39862
A ministra dos Direitos Humanos Maria do Rosário pediu a punição dos policiais que despiram e revistaram à força uma escrivã, em São Paulo.
O jornalismo da Band revelou com exclusividade, na última sexta-feira (18/02), as imagens do abuso de poder.
A policial acusada de cobrar propina foi algemada, antes de ter a roupa retirada pelos colegas.
Em entrevista à BandNews FM, Maria do Rosário diz que o vídeo não deixa dúvidas de que houve abuso por parte dos policiais.
Segundo ela, a Secretaria prepara uma nota que será encaminhada à Polícia e ao governo de São Paulo pedindo punição exemplar ao envolvidos.
Fonte: IG
February 23 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: direitos humanos, escrivã, Operação Pelada
Min. Maria do Rosário: Imagens abomináveis (foto: Agência Brasil)
A Secretaria Nacional de Direitos Humanos da Presidência da República qualificou como como bárbaro e inaceitável o comportamento dos delegados da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo que despiram à força uma escrivã acusada de concussão. As imagens das sevícias foram divulgadas em primeirão mão pelo Blog do Pannunzio e pelo Jornal da Band na última sexta-feira (clique aqui para ver o video).
Na nota, a Ministra Maria do Rosário Nunes afirma que o governo federal irá acompanhar os desdobramentos do caso e pede o afastamento dos outros policiais que participaram da chamada “Operação Pelada”.
Leia a seguir a íntegra do comunicado.
Diante das imagens veiculadas pela imprensa, que mostram uma policial mulher sendo despida à força por policiais homens, no estado de São Paulo, a Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República vem a público manifestar o seguinte:
1 – As imagens divulgadas demonstram uma grave violação de Direitos Humanos. É inaceitável que num Estado democrático de direito, agentes públicos protagonizem cenas bárbaras como as referidas. Essa situação deve ser repudiada por todos aqueles que defendem a dignidade humana e acreditam que a segurança pública deve estar comprometida com a lei e com os princípios de Direitos Humanos.
2 – A situação mostra que o Estado brasileiro ainda tem um longo caminho a percorrer. Ao governo federal cabe aprofundar a política nacional em curso que, em parceria com os estados e municípios, visa formar policiais para uma atuação voltada à proteção e à cidadania. Somente estreitando os laços positivos entre a população e as forças de segurança, poderemos enfrentar a violência.
3 – O Governo do Estado de São Paulo cumpre seu papel ao afastar dois dos policiais envolvidos no fato. No entanto, é preciso que os demais policiais que participaram da agressão também sejam responsabilizados. Somente uma atitude célere e firme poderá assegurar à sociedade que a impunidade não prevalecerá.
4 – A Secretaria de Direitos Humanos acompanhará os desdobramentos e sempre condenará atitudes que violem os direitos fundamentais, onde quer que ocorram.
Brasília/DF, 22 de fevereiro de 2011
Maria do Rosário Nunes
ministra-chefe da Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República
--------------------------
FONTE:
http://www.brasilwiki.com.br/noticia.php?id_noticia=39862
A ministra dos Direitos Humanos Maria do Rosário pediu a punição dos policiais que despiram e revistaram à força uma escrivã, em São Paulo.
O jornalismo da Band revelou com exclusividade, na última sexta-feira (18/02), as imagens do abuso de poder.
A policial acusada de cobrar propina foi algemada, antes de ter a roupa retirada pelos colegas.
Em entrevista à BandNews FM, Maria do Rosário diz que o vídeo não deixa dúvidas de que houve abuso por parte dos policiais.
Segundo ela, a Secretaria prepara uma nota que será encaminhada à Polícia e ao governo de São Paulo pedindo punição exemplar ao envolvidos.
Fonte: IG
COMENTÁRIOS SOBRE A ESCRIVÃ DESPIDA POR DELEGADOS
Comente sobre o que você acha do vídeo abaixo:
Pena que sou da baixada santista, mas espero que os colegas policiais e os cidadão de bem compareçam na mianifestação do dia 25/02/2011. Não estamos somente defendoendo o Direito da escrivã Vanessa, estamos lutando para que amanhã não sejamos nós que estejamos jogados no chão e com as calças arrancadas pelsos defensores da LEI.
-----------------------------
COMENTÁRIOS NO SITE
http://aceveda.com.br/blog/?p=23393&cpage=1
18 Comments on Alckmin cobra explicações sobre caso de escrivã que foi despida e revistada à força
1. Rubens on dom, 20th fev 2011 14:49
Infelizmente a nossa polícia é o que tem de pior no funcionalismo público. Porém o que me deixou espantado nesse caso foi saber que o Ministério Público e a Justiça acharam normal a conduta dos delegados. Só nos resta rezar.
2. Doom on dom, 20th fev 2011 15:59
Olha isso,estamos pagando a escória para trabalhar e pior proteger a gente.Que lamentável,onde está a lei agora?
Que armação,dois bandidos.E falam como se fossem os maiorais,como se fossem a lei!na boa,é armação, a câmera ainda passa por trás na hora de mostrar onde está o dinheiro.
Cada dia que passa eu tenho mais nojo da polícia.Nojo mesmo.Se vejo um policial,já penso nisso.Pode ser GCM,o que for,e fazer isso com mulher.quero ver eles fazerem isso no Oriente Médio, onde eles ia ser julgados pela Sharia!Os dois teriam as mãos decepadas senão o saco!
Que podres.Podres de tudo!
Passa pra frente essa imagem.Mostra o nosso governo agora, mostra isso no exterior,para o mundo ver que tipo de gente faz parte da polícia.
E respondendo,Rubens,a gente não deveria ficar calado.Nem rezar.Deveríamos lutar….
3. Raquel on dom, 20th fev 2011 18:36
Como cidadã e como mulher fiquei indignada e dominada por um temor muito grande de ser vítima de situação semelhante ao ver as imagens da atuação do Dr. Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves que estão amplamente sendo divulgadas pela mídia e que oficialmente foram aprovadas reforçadas pela Polícia Civil de São Paulo.
Se a Corregedoria de Polícia que reune (ou deveria reunir) o que a polícia tem de melhor e mais correto tem em seu quadro pessoas capazes de um ato tão brutal, constrangedor, violador e abusivo como este o que podemos esperar das demais autoridades?
Este tipo de “justiça” e de “apuração” não serve aos ideais da sociedade e à luta por um país mais justo.
Espero, sinceramente, como mulher, profissional e cidadã que os responsáveis por este absurdo sejam entregues à sociedade para que sejam julgados e condenados por seus atos e não continuem protegidos por seus colegas da Corregedoria.
4. antonio carlos dos santos on dom, 20th fev 2011 19:19
conheço varios policias corruptos,quando dentem um cidadão já toma o dinheiro que tiver no bolso.não adianta dizer nada,porque se dizer alguma coisa princisamento a verdade e mentira.estava intimado pra depor numa ocorrencia policial logo um policial daquela delegacia já queria que eu pagassce uma porpina no valor de 15.000,000 quinze mil reais pra não se envolver no inquerito policial.que naquele momento que seria instaurado.isso e uma verganha a nossa policia do brasil…
5. andre on dom, 20th fev 2011 21:32
cade a porra da lei maria da penha nessas horas ou ela só serve para os civis
pramim isso foi abuso de outoridade pra não falar em tentativa de estupro
policiais de merda sera que estas policiais femeninas não se sintiram umilhadas ou elas são sapatão
porra dilma vc é mulher e não vai fazer nada
termino por aqui com muita pena desta moça e com vergonha da merda da policia brasileira
6. andre on dom, 20th fev 2011 21:33
policiais de merda corruptos fdp
7. carlos on seg, 21st fev 2011 10:08
Eu acho que o senhor Governador Geraldo Alkmin, o qual tenho admiraçao e sou eleitor fanatico, nao vai deixar uma coisas dessas passar impune, tudo bem se ela praticou um crime, tem que pagar, mas a humilhaçao que essa moça passou foi terrivel, se fosse em outro pais, a coisa iria ficar preta, conheço muitos casos de Delegados famosos que sao linha de frente, mas ganharam muito dinheiro, pegando proprina de traficante, contrabandista, esse Delegado porioe um deles, como foi passado na televisao, agora fazer isso com essa jovem, e muito triste, tem varias maneiras de comprovar um crime, temos policiais femininas que sao bens treinadas para revistar outras mulheres, entao nao precisava fazer tudo isso, pode ate ocorrer dessa jovem ficar com problemas psiquiatricos, mas espero que nosso Governador faça uma investigaçao detalhada sobre esse terrivel episodio.
8. Lucia Moura on seg, 21st fev 2011 11:30
A escrivã não tinha dinheiro nenhum, aqueles 200,00 foram plantados na calça dela, a gravaçaõ não mostrou o policial achando o dinheiro, mas sim, na própria mão dele.
Bandidagem total.
9. jorge on seg, 21st fev 2011 12:18
tem que primeiro fazer uma denúncia ao CNMP.(CONS. NAC. MINST. PÚBLICO) POR O MP naum fazer nada contra os policiais denunciar o próprio ministério publico,,e entaum ir prender estes delegados prepotentes pois infrigiram o art 249 cpp e o principio da dignidade humana da CF/88 depois ferrar o delegado da comarca,,e os outros policiais por abuso de altoridade,,,FDP DO CARALHOOO tem que tirar a roupa da mãe , das mulheres e das filhas deles,,,VAMO QUEBRAR TUDOOOOOOO….QUE PAÍS É ESTE MEU DEUSSSSSSSSSSSSS
10. jorge on seg, 21st fev 2011 12:19
BOTA NO CÚ DA CORREGEDORA QUE APROVOU O ATO DOS BRUKUTUS DO CARALHO,,,POIS TEM QUE TIRAR A ROUPA É DELA, AQUELA CARA DE MARACUJÁ ESTRAGADUU
11. RICARDO LIMA on seg, 21st fev 2011 13:30
Sou Delegado de Polícia há quase 10 anos e muito me orgulho da minha profissão. Ganho a vida honestamente, cumprindo o que a lei de meu país determina. Fiquei abismado e indignado com a selvageria praticada pelo delegado de São Paulo com a escrivã! Totalmente despreparado, arbitrário, violento de forma desnecessária. Deveria ter lido antes o Código de Processo Penal e a Constituição do Brasil e ter um mínimo de noção sobre direitos humanos. A escrivã poderia ter sido revistada separadamente pelas duas policiais que estavam na sala, pois isto não invalidaria o auto de prisão em flagrante. Expor a intimidade dela, humilhar a policial e ainda filmar toda aquela cena degradante é o tipo de coisa que parece só ocorrer no Brasil. Se a policial recebeu propina, que pague na justiça pelo seu ato, mas não havia a menor necessidade daquela conduta desastrosa dos delegados da corregedoria. VERGONHA! Mais vergonhoso ainda é a corregedoria arquivar o processo por abuso de poder dos delegados e o Ministério Público chancelar este arquivamento.
12. sandro on ter, 22nd fev 2011 13:41
manda prender esses vagabundos, marginais da pior especie.vagabundos principalmente esse de camisa vermelha..
13. Maria Ivani on ter, 22nd fev 2011 13:52
Mais que “M” de pais é esse que vai de um polo a outro??? Em tempos em que colocamos uma mulher no poder, aparece uma violência dessas, que para mim se assemelha mais a um estupro! O que o Sr. Alckimim vai fazer? Pq essa gente ainda está no comando depois dessa barbarie divulgada? E as policiais que ajudaram e assistiram? Essas, com certeza, não são mulheres e sim machos disfarçados… pq é uma afronta para uma mulher de verdade ver tamanha agressão!!!
14. sandro on ter, 22nd fev 2011 14:01
Policiais bandidos,,,,eo ministério publico cara de pau….por favor governador faça alguma coisa..e ponha esses vagabundos no olho da rua, e depois prende.
Não podemos sossegar enquanto não tomarem providencia…estamos aguardando governador Alck…
15. jorge on ter, 22nd fev 2011 17:33
Claramente se vê no tempo 11:55 do vídeo, que a mulher não tem dinheiro algum, a pergunta é como o dinheiro apareceu sem nenhum amasso, devia estar pelo menos dobrado?
16. Lucia R da S Faria on ter, 22nd fev 2011 20:26
Não sei pq o governador alckim, está pedido providencia no caso da escrivão torturada, pois o PSDB . É o maior carrasco de funcinario publico, exclusivamente policias civis,quem já esqueceu , da greve da policia do ano passado, na qual o ex governador Jose Serra , mandou a tropa de choque da PM,reprimi-los com bombas de gás lacrimogenio, é bala de borracha. É a nova do governador agora é colocar estes tipos nas delegacias p/ fiscalizar o servicos dos escrivão que que carregam toneladas de papeis, pessoas para ajudar não mandam,. É o que o judiciario passou na passou na mão do governo, É o professor está esperando até hoje as duas professora na 1 serie. Estou muito admirada ele querendo providencia é deste tipo de funcionario que ele gosta é uma pena que estas pessoas não perceberam a burrada que cometeram.
17. Jeová Caetano Junior on qua, 23rd fev 2011 10:17
Infelizmente a nossa polícia e nossos políticos são o que tem de pior no para representar o nosso povo. Porém o que me deixou espantado nesse caso foi saber que o Ministério Público e a Justiça acharam normal a conduta dos delegados. Só nos resta a indignação a revolta e a sede de justiça.
Já imaginaram se fossem deixar nu todos policiais e politicos que recebem probinas? seria uma excelente economia para o país.
“Teremos que aguardar a justiça de Deus pois dos homens, principalmente brasileiros é uma vergonha.
Cuiabá/MT
18. Janaina on qua, 23rd fev 2011 19:56
Aposto que este símios adoraram achar que estavam respaldados na lei para exercitaram seus instintos sexuais sádicos. Pelo decorrer da história, dá até pra imaginar o que acontece às mulheres que não são suas colegas de trabalho.
Podem dar o nome que for, o arcabouço dos fatos gravados mostram toda uma barbárie sexual. Para mim, eles otimizaram o processo ao seu bel pazer. Depois, cada um foi pro seu buraco escuro, despediçou células germinativas manualmente e o mundo ficou mais colorido. Duvido que fariam isto se o acusado fosse um homem. Não macho trata macho com respeito, até o momento em que se sinta atraído pela moeda de couro pregueda.
COMENTÁRIOS NO SITE:
http://colunistas.ig.com.br/obutecodanet/2011/02/21/video-mostra-
flagrante-de-prisao-em-que-ex-escriva-presa-e-deixada-sem-roupa/
Nilton disse:
23/02/2011 às 13:07
“Art. 249. A busca em mulher será feita por outra mulher, se não importar retardamento ou prejuízo da diligência.”
Imagina se isso virar moda!!! Imagine , durante uma blitz, o policial cismar com sua cara e dizer que vc tá bebado e pedir pra outros policiais te segurarem e enfiarem a força o bafômetro da sua boca.
Ou, se caminhando na rua um policial, que não for com a sua cara, te acusar de tá portando drogas no ânus, e em seguida outros policiais te seguram pra fazer uma busca forçada em sua cavidade anal. Talvez vc gostasse. Mas eu não! Torcer para que sejam punidos exemplarmente.
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COMENTÁRIOS NO BLOG DO PANNUZIO ATE 23/02/2010
http://www.pannunzio.com.br/?p=7177
Luciano Prado · 1 day ago
"Eu e meus colegas, integrantes do GECEP, respeitosamente discordamos desse posicionamento por entender que a busca foi contrária à lei”.
Embora haja entusiasmo com a possibilidade de uma apuração isenta, fica tudo parecendo muito pessoal, da cabeça de cada um. Como se a lei, a doutrina e a jurisprudência deixassem margem de manobra para cada um agir de acordo com seu entendimento.
Fica o voto de confiança aos procuradores do tal Ministério Público paulista.
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marcelo · 1 day ago
se com uma colega da propria policia acontece isso, imagine com uma cidadã comum.apesar de a policial tem cometido um crime,não seria justificativa para cometerem tal atitude, da minha parte a busca foi ilegal,constrangedora,imoral e falta de respeito, pois trata-de de uma mulher, a mesma tem sua privacidade garantida, teria que ser revistada por policiais feminina.
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marcio · 1 day ago
Mais do que a punição dos autores, fica o voto de confiança do resguardo da Constituição Federal, da imagem do M.P. perante a população, e da punição das pessoas envolvidas como autores. Que neste "Imbroglio", não sejam punidos apenas os delegados, mas tambem os demais agentes do estado que estavam presentes, e se calaram por tanto tempo, sejam eles da PM, da Guarda Civil ou da Policia Civil. Que não seja deixados precedentes de impunidade. Ou a dignidade prevista no artigo 5 da C.F. só existirá no papel e nada mais .
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Luciano Prado · 22 hours ago
É isso Marcio. A sociedade não vai aceitar precedentes de impunidade.
A punição tem que ser exemplar. E que não se tente passar a mão pela cabeça do Secretário de Segurança Pública que teve conhecimento das barbaridades patrocinadas por seus subordinados e nada fez, absolutamente nada.
Essa "estoria" de que o Secretário enviou ofício logo que tomou conhecimento etc. etc. etc. não cola. Circula nos corredores da Polícia Civil paulista (conforme se constata na imprensa) que o fato era do conhecimento geral, embora houvesse empenho em abafá-lo.
Portanto, a cúpula da Segurança do Estado tinha conhecimento sim da selvageria.
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João Carlos Rocha · 23 hours ago
Acredito que agora a investigação tem que ser mais ampla e envolver o que levou os integrantes do MP a pedirem o arquivamento do inquérito. Pode o Promotor de Justiça anterior ter praticado o crime de PREVARICAÇÃO.
Inaceitável que um membro do Ministério, que apenas pelo fato de aprovado em concurso rigoroso já nos faz presumir notório conhecimento da LEI, não tenha vislumbrado nenhuma infração à legalidade na atuação desses Delegados Corregedores.
O CNMP tem que instaurar processo administrativo para ver a conduta de LEE ROBERT KAHN.
O MPSP é um órgão sobre o qual paira muitas dúvidas!
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tatyana · 23 hours ago
o delegado novim tava dizendo que iria prender a moça por crime de DESOBEDIENCIA, kkkkkkkk!!!
acho q esse crime e somente contra particluar X servidor publico, no caso a moça era servidora...rsrsrs
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Paulo · 20 hours ago
Infelizmente vi as imagens que já falam por si proprio, agora pergunto eu!! se filmando eles fizeram isso, imagina o que eles fizeram a essa escrivã sem ser filmaldo!!! se fazem isso nas frentes das cameras, não quero nem imaginar o que podem fazer ou o que fizeram sem estarem com a camera ligada!! isso é um absurdo.....nojento....
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Frederico Miguel · 17 hours ago
Faço votos que o CNJ e o CNMP intervenha no caso!
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Irlandes · 15 hours ago
"pede que a população confie no Ministério Público"
Claro, claro, o MP esta com uma ótima reputação...
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Fabio Fernando · 13 hours ago
“Operação Pelada”? Essa operação deveria chamar-se "Operação amadores". Nunca vi em toda minha vida uma operação tão desastrosa realizada por imbecis tão desconhecedores da lei que cagaram nas provas fazendo (absurda) besteira.
É nisso que dar colocar punheteiros estressados como delegado, deveria era haver exame psicologico sério pra não correr o risco de ter retardados em cargos sérios estragando flagrantes
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Eliezer Ricardo · 10 hours ago
Brutalidade, selvageria. Não há outra expressão. Vale uma pergunta: Que tipo de "formação" têm esses policiais-canalhas? ou seria, canalhas-policiais? Antes de serem delegados, acho que já foram bacharéis em Direito, ou não? A cena foi tão brutal que fiquei pensando que havia algo pessoal entre o delegado que mais falava e a escrivã. Será? Quem sabe foram namorados ou amantes no passado e a moça praticou algum tipo de "traição" e o delegado aproveitou o momento para vingar-se? Só assim, talvez, haja uma explicação para aquela brutalida. Por favor me ajudem a entender.
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Ricardo's avatar
Ricardo · 9 hours ago
Fico surpreso com o silêncio de parte da imprensa num caso de tamanha relevância.
Boa sorte à Doutora Luciana, Promotora atuante e competente. Certamente fará um bom trabalho.
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Lucas - SINPOL CPS · 8 hours ago
Acredito que a ação dos delegados corregedores entrou seriamente no campo da Tortura, sendo este o único caminho para solucionar tal controvérsia no que diz respeito a reabertura do caso. Jamais vi em toda minha carreira de advogado um ato tão violento no que diz respeito a dignidade de uma pessoa humana, além de tão covarde. Por sorte, por Deus, tal ato apareceu na mídia, pois dormiria assim como todos os atos praticados nos anos de tortura ditatorial.
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Henrique · 4 hours ago
Sabe o que mais me espanta??? Toda ação foi filmada,mas na hora "H", ao invés de filmarem o encontro do dinheiro, filmaram a genitália da escrivã. E outra coisa.. o tanto que esta mulher se bateu..esperneou..suou.. e as notas estavam lisinhas...sem nenhum amassado...estranho né????
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pedro · 2 hours ago
O tempo. Senhor dos senhores. No calor dos fatos, a quem interessou que os fatos não fossem veiculados? Para a instrução do processo criminal instaurado contra a escrivã "pelada" ou para assegurar que os corregedores permanecessem imaculados?. Somente agora... e agora? O que fazer? Ceifar o cargo em confiança de todos aqueles que erraram, além de esperar que os defensores dos Direitos Humanos repudiem o que vimos, com ações efetivas? Não sei responder. Tantos erros foram anunciados. Acho que a culpada é a dona Política, que se casou com o senhor Poder, que cegou todo mundo, e mandou o direito se escafeder... (melhor seria utilizar o verbo, com neologismo vulgar).
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CORTE INTERNACIONAL DE HAIA CONTRA DELEGADOS DA CORREGEDORIA
FONTE FLIT PARALISANTE:
Enviado em 22/02/2011 às 16:04- ODETE
Caro Guerra, boa tarde, se puder destacar estas colocações agradeço;
Vamos lá, em que pese a servidora estar sendo averiguada pela Casa Censora, o despreparo dos agentes públicos desaguaram em uma tragédia de erros que beira a insanidade.
Muito se falou aqui, em violência, violação, abuso, tortura, ditadura.
Pois bem caríssimos, a única conclusão a qual podemos chegar é a seguinte:
O ato foi um atentado violento ao pudor?
Fica claro a tortura física e psicologica pela qual a servidora passou?
tais condutas são equiparados ao crime hediondo ?
Crimes hediondos são punidos com maior severidade ?
Deve a autoridade policial agir de ofício?
Já que a divulgação está sendo ampla e irrestrita, sugiro o encaminhamento do caso ao tribunal Penal internacional e à Corte de Haia.
Seguem os dados para encaminhamento, esperandojustiça em favor de um ser humano cujo grito continua ecoando em nossas mentes….
Please use one of the working languages of the Court – English or French – for any correspondance.
Postal Address
Po Box 19519
2500 CM, The Hague
The Netherlands
Visiting the International Criminal Court
Main Entrance Hearings/Visits
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COMENTÁRIOS NO SITE:
http://www.diariosp.com.br/_conteudo/2011
/02/37348-corregedoria+da+policia+civil+entre+a+cruz+e+a+espada.html
Comentários | »
* daniel:
24/02/2011 01h45 a corregedora Maria Ines, provavelmente deve viver num mundo so dela, pois ao declarar que a atitude dos Delegados de policia "tarados" esta repleta de legalidade, ela simplemente esqueceu o que aprendeu em uma faculdade de Direito, ou do juramente que o fez quando assumiu o cargo de Delegada de Policia de aplicar a lei. Isto é, apagaram o artigo 5 da Constituiçao Federal e outros tipificadas em nossa legislação patria. ',
* LUCIANA LIMA :
23/02/2011 23h11 ABSURDO AS CENAS CHOCANTES, E O PIOR É SABER QUE A CORREGEDORA CONCORDA COM TUDO, ACHA NORMAL. AINDA DIZ QUE O SECRETÁRIO SABIA DE TUDO E QUE NADA FOI SEGREDO. O GOVERNADOR TEM QUE TOMAR UMA ATITUDE E EXONERAR OS DOIS IMEDIATAMENTE. DOS CARGOS. A CORRUPÇÃO É GRAVE, MAS OS CRIMES COMETIDOS CONTRA A DIGNIDADE HUMANA PELOS CORREGEDORES, COM ANUÊNCIA DA CORREGEDORA E DO SECRETÁRIO DE SEGURANÇA, SÃO MUITO PIORES. É INADIMISSÍVEL COMBATER UM MAL COM OUTRO PIOR.
* Jose R. Freitas:
23/02/2011 15h12 Sou Poicial civil, e não sinto nenhuma vergonnha da minha instituiçaõ ao ver o video veiculado a poucos dias onde uma escriva e revistada por delegados da corregedoria.Isso porque a corregedoria não faz parte da Policia Civil e sim do gabinete do Secretario de Segurança Publica,assim, enquanto a corregedoria era subordinada ao Delegado Geral essas barbaridades não aconteciam. Hoje ela pertence a Policia Politica do Estado e do PSDB ( pior salario do brasil ).Os verdadeiros Policiais náo fazem isso.
* Frederico:
23/02/2011 14h44 Os atos praticados pela Corregedoria da Polícia Civil, comandada por Maria Inês Trefiglio Valente, são abominaveis com total desrespeito a integridade do ser humano. Atos como estes tem sido frequentes na corregedoria da PC. Como alguém que deveria dar o exemplo pode agir desta forma e ter moral para exigir dos demais funcionários, disciplica no cumprimento do dever. Defendo o afastamento também na corregedora que já se mostrou parcial na defesa de seus subordinados. Sem o asfatamento dela, estas novas investigações serão infrutiferas.
* Laura Sousa:
23/02/2011 00h04 O pior é a corregedora geral Maria Inês Trefiglio Valente dizer que os policiais agiram "dentro do poder de polícia". Essa ?coisa? (pois se é que se pode chamar essa sujeitinha de gente) não deve ter filhas e não deve ter mãe, provavelmente nasceu de chocadeira, pois como uma mulher pode concordar com toda aquela ação asquerosa? Como pode gente dessa laia ocupar cargos públicos tão importantes? E o ministério público? Endossou a ação e mandou arquivar o processo! Eu sinto nojo de ser brasileira. De agora em diante, já que temos precedentes, qualquer policial que suspeite de uma mulher, vai poder despi-la na frente de quem quiser, filmar e depois o vídeo ?acidentalmente? vai acabar na internet. E caso suspeite-se que a mulher introduziu algo na vagina ou ânus, sem problema, é só cada um dos policiais enfiar a mão ou algum outro objeto e fazer a verificação. Afinal para a Corregedoria e para o Ministério Público é tudo muito normal. E o código penal colobora para que isso aconteça. Mas o que se pode esperar de um país de quinta categoria, que até pouco tempo atrás dava tanta importância para casos de violência física contra as mulheres que punia o agressor com cestas básicas? Se a justiça não se importa com agressões físicas contra mulheres vão se importar com o fato delas serem humilhadas e despidas em público? Chamar essa corja de escória é um eufemismo.
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COMENTÁRIOS SOBRE A ESCRIVÃ VANESSA NO SITE:
http://www.brasilwiki.com.br/noticia.php?id_noticia=39862
Dr. Jacques
Manaus 23/02/2011
Os Delegados e os policiais presentes praticaram crime de tortura física e psicolígica contra a escrivã, se ele erreou deve ser punida pela Justiça não pelos delegados corregedores, isso é uma vergonha, toda pessoa tem seus direitos não estemamos em um Estado de excessão. Esses pseudos policiais praticaram um crime gravissímo de TORTURA será que eles tem mãe ou irmã, Quer conhecer o homem dê poder a ele., outro dia um Delegado bateu num cadeirante, outro imbecil. Cadeia nesses DESPREPARADOS
02
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Lino IInfante
Porto Velho//RO 23/02/2011
Após ver todas essas truculência c / a escrivã indefesa fiquei preocupado pois minha filha passou no concurso de escrivã da polícia civil no estado de Rondonia, fico a pensar se esses delegados valentes de São PAULO teriam a coragem tirar na marra as roupas dum parente do Fernandinho Beira Mar ? Aí seus delegadinhos de merda principalmente o de camisa vermelha pra vê se é tão macho só P / despir a indefesa escrivã.
03
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Michelle
Santos 23/02/2011
Nossa atual Presidente do Brasil deve cobrar todo o rigor contra estes métodos que são, no mínimo, contra a dignidade humana. Elegemos uma Mulher que foi vítima de tortura para ser nosso Presidente. Se os autores e dirigentes desta desleal insituição, que escondeu os fatos não forem destituidos de seus cargos, veremos uma nova ditadura que começa de forma facista dentro de seus quadros..... se fazem isto entre sí, imaginem se fosse contra a população!!! Tortura Nunca Mais.
05
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GILVAN
CEILÂNDIA - DF 23/02/2011
Se não houver a mínima punição para os envolvidos, o Judiciário Brasileiro, bem como a Secretaria de Direitos Humanos terão perdido seus valores.
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nathalia
campina grande 23/02/2011
Envergonha qualquer instituição policial. Queria ver se fosse uma juíza ou uma promotora se não apareceria mais de 20 dedos nas maos de cada um para tratar do assunto...
07
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Leamso Oicilps
Itapecerica da Serra 22/02/2011
Delegadozinhos de merda: Corregedores, titular, plantonista, etc. Não vamos defende-la pelo hipotético crime que cometeu mas para provar isso eles cometeram vários outros(constrangimento ilegal, abuso de autoridade, quebra de sigilo do vídeo,e outros e tambem danos morais, materiais) e os burros filmaram tudo. São valentes prá caralho. Toda hora se vê pessoas influentes envolvidas em desvios de fortunas e não 200 reais e cadê a super autoridade para fazer o mesmo com esses senhores(políticos,etc
08
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jane brito
fortaleza 22/02/2011
gente o que aconteceu com essa moça foi um estupro colectivo esse caras foram uns monstros tal vez o bandido mais perigoso de s.Paulo fosse mais humano esse chefe dela e um covarde e aquele de blusa vermelha merece uma expulsão sumaria
09
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ORDEM E REPEITO
salvador 22/02/2011
SE EU FOSSE POLICIAL EU SNTRARIA NA SALA E GUENTAVA TDS ELES NA PAREDE E DESSE NO Q DESSE NINGUÉM TIRARIA A ROUPA DA COLEGA NÃO, O MÁXIMO QUE ACONTECIA ERA UMA SENA DE SANGUE, MAS DEIXAR UMA COLEGA PASSAR POR UMA HUMILHÇÃO DAQUELAS JAMAIS, HOUVE COVARDIA POR PARTE DOS COLEGAS DELA, FORAM FROXOS E COVARDES.
10
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Gerson
São Paulo 22/02/2011
Olha, tb faço parte da instituição, que infelizmente estes delegados envergonharam. Só tenho uma coisa a dizer; se um crápula destes fizesse isso com minha mulher, minha mãe, minha filha ou minha irmã, eu simplesmente o mataria. Faria isso pq não dá pra confiar na justiça, esta mesma justiça que arquivou o caso, afirmando que não houve abuso por parte daqueles crápulas. Se algum de nós, policiais, fizer isso com qualquer pessoa, este mesmo delegado "justo" como ele é, ele iria nos punir com rigo
11
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ordem e repeito
salvador 22/02/2011
foi um absurdo o q fizeram com essa moça, independente dela ser ou não policial, foi uma barbarie, pareceu mais com o caso dos militares americanos na guerra do iraque, em momento algum ficou provado que o dinheiro estivesse com a moça, aquelas cenas só deixaram parecer mais com um flagrante forjado, o correto seria ela ser revistada por policiais femininas e não com um bando de carniceiros, agora pergunto, será que aqueles cidadãos são policiais honestos? pode correr atrás que se descobre.
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Luciana
Novo Hamburgo 22/02/2011
O que vi no video foi praticamente 1 estupro porem 1 estupro d alma, c certeza ela foi corrupta porem nem em caso de estupradores se vê tal absurdo, humilhação igual a essa e agora caindo na internet é absurdo e espero q tenha punição severa, mas infelizmente como sempreeee no Brasil ficara p isso, logo cai n esquecimento, talvez a punição fique somente n afastamento d delegados e talvez servço comunitario
13
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solange
sp 22/02/2011
ESTOU PERPLEXA DE VER A COVARDIA DESSES DELEGADOS E DOS OUTROS POLICIAIS, SÃO COVARDES, CANALHAS, NÃO RESPEITAM OS DIREITOS HUMANOS, IMAGINEM O QUE FAZEM POR AI COM A PÇÃO. ELES TEM QUE SER EXPULSOS DA POLÍCIA, PORQUE SÃO BANDIDOS DE CARTEIRINHA. PARABÉNS MINISTRA DOS DIREITOS HUMANOS, CHEGA DE VIOLÊNCIA DE POLICIAIS ARBITRÁRIOS.QUEM GARANTE QUE ELE NÃO ESTAVA COM O DINHEIRO JÁ ENTRE OS DEDOS PARA ACUSAR A MOÇA, PORQUE NA GRAVAÇÃO NÃO SE CONSEGUE VER SE ESTAVA COM ELA.
14
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tartaruga touchê
bagdá 22/02/2011
Não se iludam, meus amigos. É tudo jogo de carta marcada. Esses Delegas vão tirar umas férias, sabe (afastamento). Até tudo ser esquecido. Será que a história seria a mesma se tivessem tirado a calça de algum Promotor?
15
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MARIA
JABOATÃO/PE 22/02/2011
Isso e nosso pais cada vez mais vergonhoso com a policia, por conta dessas e outras coisas que estamos vendo não acreditamos mais em uma segurança seria.
16
Reporte abuso
Marcelo
Sertãozinho 22/02/2011
O que foi feito com essa policial é um absurdo. Ela não se negou a ser revistada, apenas exigia que uma mulher fizesse isso, o que é um direito dela. Se a moça deveria ser punida, deveria sim, mas dentro da lei, sem essa barbaridade a que ela foi exposta. Esses delegados mostraram que são incompetentes e não tem o mínimo de ética na profissão. Esses individuos que fizeram isso com ela, e que se dizem policiais, deveriam ser expulsos da polícia, eles não tem o minimo preparo.
17
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Daniella
Ribeirão Preto 22/02/2011
Tenho a vergonha de fazer parte da mesma instituição que esses "Primatas armados". Garanto a vocês que um abuso deste não teria ocorrido se a corrupta da vez fosse uma delegada. Pior do que o corregedor são os pseudo-colegas de trabalho e o delegado titular dela que escutou a menina pedir socorro e não fez nada. É o fim da polícia. Os institutos tem que ser revistos imediatamente.
19
Reporte abuso
Átila
São joão das Missões 22/02/2011
tem que mandar este delegado descarado despir a mulher e filha dele e colocar na net para a gente ver se elas tem a piriquita bonita! estou indiguinado com estes bandos de covarde e espero pela espulção de todos inclusive do delegado titular que a abandonou! bostão...
20
Reporte abuso
lana.
praia grande 22/02/2011
Se a moda pega , qualquer mulher pode ser despida a força. Não esqueçam que a policia é tão capacitada que nesta semana deu voz de prisão a uma professora que carregava uma rapadura e eles acharam que era droga. E aí? Eu , você , sua mãe pode ser um suspeito numa blitz e acabar pelado na net.
21
Reporte abuso
Afonso
Belem 22/02/2011
É um absurdo que em pleno século XXI ainda somos obrigados ver cenas estúpidas como esta. Independente do crime que esta mulher tenha cometido nada justifica oq estes estupradores fizeram, imaginem se ela fosse sua irmã ou sua namorada, isto é o absurdo dos absurdo. demissão sumária pra eles
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COMENTÁRIOS NO FLIT PARALISANTE
http://flitparalisante.wordpress.com/2011/02/24/folha-de-sp-corregedora-
foi-pressionada-a-deixar-o-cargo-durante-reuniao-do-conselho-ontem/
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CAIU, CAIU, CAIU, CAIU…
Vídeo de escrivã despida derruba corregedora da Polícia Civil de SP
ANDRÉ CARAMANTE
DE SÃO PAULO
O secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, destituiu nesta quinta-feira de seu cargo a corregedora-geral da Polícia Civil, Maria Inês Trefiglio Valente.
Reportagem publicada hoje na Folha revela que a divulgação do vídeo que mostra delegados da Corregedoria tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã durante uma revista abriu uma crise na instituição.
Segundo o texto, durante a reunião semanal do Conselho da Polícia Civil, na manhã de ontem (23), a corregedora-geral, que apoiou a ação dos quatro delegados que investigaram a escrivã, foi pressionada publicamente a deixar o cargo por 5 dos 23 delegados da cúpula da instituição.
A crise interna na Polícia Civil foi impulsionada porque a divulgação da gravação da operação policial foi destaque em todo o país. Os envolvidos foram afastados. O governador Geraldo Alckmin (PSDB) afirmou, após a divulgação das imagens, que o vazamento do vídeo na internet era “grave”.
O delegado Délio Montressoro, que já trabalhava na área de processos admistrativos da Corregedoria, ocupará o cargo de corregedor-geral interinamente.
Os delegados suspeitos de abuso de autoridade foram afastados da Corregedoria pelos secretário Ferreira PInto na segunda-feira (21).
O CASO
O caso aconteceu em junho de 2009. Ao longo dos 12 minutos do vídeo, a escrivã diz que os delegados poderiam revistá-la, mas que só retiraria a roupa para policiais femininas. Mas nenhuma investigadora da corregedoria foi até o local para acompanhar a operação.
Ao final, o delegado Eduardo Filho, uma policial militar e uma guarda civil algemam a escrivã, retiram a roupa dela e encontram quatro notas de R$ 50. A escrivã foi presa em flagrante e, após responder a processo interno, acabou sendo demitida pela Polícia Civil. No mês seguinte, seus advogados recorreram da decisão.
O vídeo abaixo traz trechos cedidos pela TV Bandeirantes (cuja íntegra da reportagem pode ser vista aqui) que mostram imagens do incidente:
http://www1.folha.uol.com.br/cotidiano/880625-video-de-escriva-despida-derruba-corregedora-da-policia-civil-de-sp.shtml
O Maskara
24/02/2011 em 17:59
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Vídeo de escrivã despida derruba corregedora da Polícia Civil de SP
ANDRÉ CARAMANTE
DE SÃO PAULO
O secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, destituiu nesta quinta-feira de seu cargo a corregedora-geral da Polícia Civil, Maria Inês Trefiglio Valente.
Secretaria afasta delegados suspeitos de abuso contra escrivã
Alckmin diz ser grave vazamento de vídeo de escrivã despida
Caso de delegados que deixaram escrivã nua é arquivado
Reportagem publicada hoje na Folha revela que a divulgação do vídeo que mostra delegados da Corregedoria tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã durante uma revista abriu uma crise na instituição.
Segundo o texto, durante a reunião semanal do Conselho da Polícia Civil, na manhã de ontem (23), a corregedora-geral, que apoiou a ação dos quatro delegados que investigaram a escrivã, foi pressionada publicamente a deixar o cargo por 5 dos 23 delegados da cúpula da instituição.
A crise interna na Polícia Civil foi impulsionada porque a divulgação da gravação da operação policial foi destaque em todo o país. Os envolvidos foram afastados. O governador Geraldo Alckmin (PSDB) afirmou, após a divulgação das imagens, que o vazamento do vídeo na internet era “grave”.
O delegado Délio Montressoro, que já trabalhava na área de processos admistrativos da Corregedoria, ocupará o cargo de corregedor-geral interinamente.
Os delegados suspeitos de abuso de autoridade foram afastados da Corregedoria pelos secretário Ferreira PInto na segunda-feira (21).
Reprodução
Dominada por policiais, ex-escrivã tem calça arrancada durante revista na delegacia de Parelheiros
O CASO
O caso aconteceu em junho de 2009. Ao longo dos 12 minutos do vídeo, a escrivã diz que os delegados poderiam revistá-la, mas que só retiraria a roupa para policiais femininas. Mas nenhuma investigadora da corregedoria foi até o local para acompanhar a operação.
Ao final, o delegado Eduardo Filho, uma policial militar e uma guarda civil algemam a escrivã, retiram a roupa dela e encontram quatro notas de R$ 50. A escrivã foi presa em flagrante e, após responder a processo interno, acabou sendo demitida pela Polícia Civil. No mês seguinte, seus advogados recorreram da decisão.
O vídeo abaixo traz trechos cedidos pela TV Bandeirantes (cuja íntegra da reportagem pode ser vista aqui) que mostram imagens do incidente
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COMENTARIOS NO SITE ABAIXO SOBRE O ESCRIVÃ QUE TEVE AS ROUPAS ARRANCADAS PELA CORREGEDORIA
http://flitparalisante.wordpress.com
/2011/02/24/segue-e-mail-que-a-escriva-enviou-aos-orgaos-publicos/
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A truculencia deste delegado e os demais na sala ja revelam por si so as imagens que o flagrante foi forjado. Espero que reparem o erro comito e que todos sejam punidos.
Gilvan Bastos
24/02/2011 em 11:05
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CARA COLEGA NÃO SE PREOCUPE QUE OS VERDADEIROS E HONRADOS POLICIAIS CIVIS COMPRARAM SUA BRIGA, POIS NÃO COMPARTILHAMOS DE CANALHICE E NEM DE MAU CORPORATIVISMO, COMO TAMBÉM NÃO COMPACTUAMOS COM A CORRUPÇÃO. MUITOS DE NÓS TEMOS PARENTES POLICIAIS E SOMOS CASADOS COM POLICIAIS. TENHA A ABSOLUTA CERTEZA QUE A INDIGNAÇÃO É GERAL, PODEM QUERER VIR NOS AMEAÇAR E PUNIR MAS NÃO CALAREMOS NOSSA VOZ.IREMOS SOLICITAR INTERVENÇÃO FEDERAL, JÁ QUER O SENHOR GOVERNADOR NADA FAZ.
wagner nunes leite gonçalves
24/02/2011 em 11:13
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O teor da mensagem enviada em 2009 está totalmente de acordo com o conteúdo do vídeo, ou seja, a vitima da violência da Corregepol não mudou em nada as suas palavras.
Os agressores, ao contrário, sempre depuseram com histórias contraditórias e omissivas, só esta conduta já torna a ação deles totalmente duvidosa.
O Maskara
24/02/2011 em 11:16
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O QUE SERÁ QUE O PINTO ESCONDE NO PREPÚCIO, DIGO, NAS MANGAS, QUE LHE DÁ TANTO PODER DIANTE DE ALKMIN…
ANONIMO
24/02/2011 em 11:34
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Contrariou interesses escusos na PC, se prepara que a armação é certa. Já fui vítima dessas operações.
Zero a Esquerda
24/02/2011 em 11:34
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CARA..O…
O relato acima, datado de 31 de agosto de 2009, é idêntico, minucioso em detalhes, ao que podemos ver no vídeo. Não há como ela estar exagerando, inclusive o fato – HUMILHANTE – de ser conduzida até a viatura da DOP PELO PESCOÇO, como um CACHORRO, é coincidente ao quando divulgado à época. Que canalhas! Mantiveram a algema na escrivã sem necessidade; mantiveram-na na sede da DOP por 18 horas, para lavrar um flagrante com UM INDICIADO. ISSO NÃO OCORRE NEM COM A MAIS RELAPSA EQUIPE DE PLANTÃO DO DECAP 18 horas para lavrar um flagrante com um indiciado!
DEVEM TER GASTANDO MAIS DA METADE DESSE TEMPO PARA TENTAR ARREDONDAR A TORTURA – TODOS CONCORRERAM PARA O CRIME!
DESDE OS OPERACIONAIS, PASSANDO PELO PLANTONISTA, TIRAS ESCRIVÃO E PLANTONISTA DA DOP! E O DIVISIONÁRIO, ONDE ESTAVA PARA ACOMPANHAR A “FORJA” DO FLAGRANTE PREPARADO DE UM CRIME – SUPOSTO, QUE AGORA FICA CADA VEZ MAIS CLARO, INEXISTENTE – EXAURIDO!
CANALHAS!
ESCROQUES!
TORTURADORES!
Tudo isso devidamente acobertado
PELA CORREGEDORIA, E POR CONSEQUENCIA PELA SSP;
PELO MP
PELO JUDICIÁRIO.
E AINDA OBSERVAMOS A LETARGIA E INÉRCIA DESTE GOVERNADOR EM TOMAR A DECISÃO ÓBVIA!
O QUE SERÁ QUE O PINTO ESCONDE NO PREPÚCIO, DIGO, NAS MANGAS, QUE LHE DÁ TANTO PODER DIANTE DE ALKMIN…
#
A POLICIAL MILITAR FEZ A REVISTA ANTERIORMENTE AOS FACINORAS.
NÃO ENCONTROU NADA COM A ESCRIVÃ!
AÍ ENTÃO OS FACINORAS, PARA ESCAPAR DO ABUSO, EXIGIRAM QUE ELA FOSSE NOVAMENTE REVISTADA MINUCIOSAMENTE,
PARA O SENHOR EDUARDO
INTRUJAR AS NOTAS!
EIS AÍ, EXCELENTES PROMOTORES
PROCURADORES
JUIZES
PRESIDENTA DILMA
O FATO NOVO A
DESBLOQUEAR O 18 CPP
##
OS FUNCIONÁRIOS DO PEPC SÃO HUMANOS, EDUCADOS, COMPREENSIVOS. NOTA DEZ PARA OS FUNCIONÁRIOS DO PEPC, DIFERENTE DOS CALHORDAS QUE A PUSERAM LÁ!
ANONIMO
24/02/2011 em 12:14
#
IMPORTANTE….
MUITO IMPORTANTE…
Ao colega DR. GUERRA
À COLEGA ESCRIVÃ – HUMILHADA E EXECRADA PUBLICAMENTE…
“eu LI atentamente suas palavras acima e o conteúdo dos documentos expostos…”
No meu humilde entendimento,… creio que o melhor “caminho” à combater o excesso de poder autoritário dos agentes do Estado, e do próprio Estado…
agora… nesse momento…
SERIA a AMPLA e IRRESTRITA “DIVULGAÇÃO” desse material junto aos Órgãos de imprensa – JORNALISMO sério deste País…
bem como órgãos de direitos humanos e de denfensoria de direitos humanos e garantias constitucionais…
FICA meu “conselho”… à COLEGA “humilhada”…
e ao Dr. GUERRA….
CREIO que o melhor “remédio” para buscar a verdade… é “expor” toda a verdade publicamente…
BOA SORTE…
e que DEUS abençoe à todos!
ESCRIBA.2011
24/02/2011 em 12:35
#
Lendo as declaracoes acima, tem pessoas que afirmam que a escriva tenha cometido de fato a corrupcao com base na fita exibida na Band. O fato e que foi forjado o flagrante, na fita ninguem ve da onde saiu o dinheiro, se ve um individuo exibindo como um trofeu notas de R$50,00 intactas, sem dobras ou amassados, ou seja, na verdade a fita serviu para mostrar de fato o que fizeram com aquela profissional, que ali estava trabalhando, e se tinham tanta informacao para dar um flagrante na escriva, que fizessem de forma legal, agora querem achar culpados para os varios crimes cometidos pela Corregedoria, quais as sequelas que devem ter ficado nessa moca, como ela deve estar diante dela propria como servidora que era, explorada de todas as formas pelo Estado no exercicio de sua funcao, diante de seus familiares, da sociedade, esta que sequer merece comentarios, pois e a primeira a meter o pau, so sabem se manifestar quando se trata de ladroes da comunidade.
Por fim, sinto muito de ter que ver esse tipo de tratamento “de um policial” para com outro policial, ja nao aguento mais tanta patifaria, e de todo os lados, boa sorte para essa moca, que Deus te abencoe, e que os verdadeiros criminosos paguem pelo que fizeram com VC.
SDPM MARCELO
24/02/2011 em 12:37
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E ainda o que e pior, fico ouvindo seus gritos ate agora, doutor, doutor, e o restante, qual a postura daquele titular, quando a mesma chamava por ele e ele nao fez nada, aquela moca que trabalhava no distrito em que ele era o titular, nao dava para ele se impor perante os demais, exigir uma delegada para fazer a revista minunciosa, tudo gira em torno das vaidades.
Comparo os gritos dela para o delegado titular como os gritos de uma filha sendo molestada e na eminencia de ser violentada por alguns estupradores, chamando pelo PAI e o pai diz nao poder fazer nada. Como sera a continuidade da carreira deste delegado, sera que ele especificamente como se sente, qual a confianca dos demais subordinados teram para com ele. E como numa troca de tiros, seu parceiro te pedindo ajuda e vc ter medo de atirar para nao responder processo, e ele morre. Como se olhar no espelho, como vestir sua farda, colocar seu distintivo na cintura ou ajustar sua gravata compondo seu belo terno e carteira vermelha, de que adiantara. Desculpem-me pelos exemplos, mas eu estou envergonhado diante da minha esposa e meus filhos diante de tamanha covardia de todos, que Estado que vivemos, que vergonha.
SDPM MARCELO
24/02/2011 em 12:57
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é duro.
Joao Vicente
24/02/2011 em 13:49
#
Vanessa, que deus lhe garanta paz de espirito
coisa que o delegadinho não vai ter mais
Dr. Eduardo e demais,,, ela é casada, marido não tolera o que foi feito, e tem parente policial civil…
é bom não ir dormir…
ihhh ritado
24/02/2011 em 13:49
#
Escrivã, não foram somente os policiais que compraram sua briga…desde o dia que vi aquelas imagens horríveis a cada dia faço algo em prol de justiça.
Entrei em contato com a Dra. Luiza Eluf, Procuradora que defende os direitos da mulher em São Paulo, a mesma que deu entrevista no primeiro dia que a BAND divulgou as imagens. Como moro em Brasília procurei a Secretaria dos Direitos Humanos da Presidência, e a ministra já estava tomando providências, porém afirmei por escrito que irei acompanhar tais providências…lotei a caixa de emails das emissoras pedindo para continuarem a noticiar para um “barulho” fosse feito no caso. E ontem encaminhei uma reclamação ao Corregedor Geral do CNMP pedindo que o promotor seja investigado, pois agiu acima da lei, sem nenhum respaldo da mesma, pois o mesmo apesar da independência que possui como membro do MP não é soberano e não está acima da Constituição.
Enviei tb uma reclamação à Corregedoria do Ministério Público em São Paulo com os mesmos argumentos.
Sei que para vc é mto difícil relembrar tudo… mas acredite que o vazamento dessas imagens por mais difícil que seja, é o começo de uma revolução e que só te fará justiça.
Gostaria muito de saber se os 2 “policiais” e mais aquele bando de covardes que os acompanhavam, incluindo aquelas duas mulheres, mulheres essas que envergonham qualquer mulher, estão lendo nossos posts… se tiverem´, é mto bom que saibam que por onde quer ando e com quem falo, essas pessoas tem nojo de vcs… se vcs queriam humilhar a moça, hoje vcs são as criaturas mais repugnantes vista nos últimos tempos no Brasil. Nojentos!
Déborah
24/02/2011 em 14:07
#
E mais uma coisa, eu desejo que vc se recupere, dê a volta por cima e seja mto feliz, quem tem que ter vontade de morrer é gente ruim… maldosa, que não deve ter levado umas boas chineladas na bunda qdo era criança, que não teve limite, que a mãe não deu educação, não ensinou como se trata uma mulher e um ser humano seja ele quem for!!!
ele deve sentir vontade de morrer e não vc!
ele deve sentir vontade de ir tirar a cueca do capeta!
#
Policiais de todo o Estado, compareçam!!! Esta é a oportunidade de começarmos a lutar por TODOS os nossos direitos e contra o descaso da administração!!!
Sejamos unidos!!! Só assim poderemos repudiar e exigir mudanças em razão dos absurdos praticados pela corregedoria, sob a gesão Dna Maria e Pinto.
Também, será momento para celebrarmos o início de uma campanha fulminante contra a desvalorização da Polícia Civil, do SER HUMANO POLICIAL, que tem, SIM, que ganhar salários dignos!!
Como bem disse o Delegado lá de Ribeirão Preto: “Não basta investir em equipamentos e não investir nos operadores destas máquinas e tecnologias”.
Às 11h, está marcado um ato na praça da Sé, no centro da cidade, organizado pelo sindicato dos Escrivães de Polícia do Estado de São Paulo e pela Associação dos Escrivães de Polícia do Estado de São Paulo. As entidades, juntas, representam cerca de 8 mil trabalhadores. Do ponto de encontro, está prevista a organização de uma passeata até a sede da Secretaria de Segurança Pública, que fica na rua Libero Badaró, 39.
#Sinto-me mais e mais enojada.
Creio que rua é pouco para esses calhordas (todos) inclusive os que acobertaram e os que endossaram PM e Judiciário.
Isto é o fim do mundo.
Sinto vergonha deste País,destes governantes, deste adiamento interminável para que se faça Justiça.
Meu total desprezo aos políticos deste país.
E ao sistema que sustentam e mantém.
EXMA SRA MINISTRA, onde se encontra V.Excia,elaborando discursos sem ações?????
#
#
Sinto-me mais e mais enojada.
Creio que rua é pouco para esses calhordas (todos) inclusive os que acobertaram e os que endossaram PM e Judiciário.
Isto é o fim do mundo.
Sinto vergonha deste País,destes governantes, deste adiamento interminável para que se faça Justiça.
Meu total desprezo aos políticos deste país.
E ao sistema que sustentam e mantém.
EXMA SRA MINISTRA, onde se encontra V.Excia,elaborando discursos sem ações?????
Suely
24/02/2011 em 14:53
#
O pior é que no texto ela se refere a esse canalha como
Doutor, doutor em que?
è um crápula, nojento,sem qualificação,e não apenas ele, mas todos que fireram parte deste circo de horrores,ali e depois.
DR???????Nem a constituição o imbecil conhece,ou vão dizer que estou errada,revejam a aprovação deste sujeito em concurso, ou será que vale o padrinho, o QI,Sra Ministra Maria do Rosário,por favor faça algo.
Suely
24/02/2011 em 14:58
#
fizeram.
Suely
24/02/2011 em 14:59
#
Senhores dirigentes do SIPESP e AIPESP
Enquanto associado abominei a nota meia boca sobre o ocorrido, entendo que não é possível amenizar.
Quanto aos colegas operacionais que participaram do ato agressivo, sugiro;
Se fazem parte do quadro associativo, convoque-os para esclarecimento.
Posteriormente organizem e convoquem assembléia geral para que possamos tomar ciência e posição.
Acorda Brasil
Euclydes Zamperetti Fiori
111111111111111111
#
33.
AMANHÃ TEREMOS A OPORTUNIDADE DE EXTRAVASAR TODA NOSSA ANGÚSTIA COM O DESCASO QUE ESTAMOS PASSANDO NESTES ÚLTIMOS 16 ANOS DE GOVERNO PSDB…TODOS NA PORTA DA CORRÓ AMANHÃ ÀS 16 HS PARA EXIGIRMOS MELHORES CONDIÇÕES SALARIAS E PUNIÇÃO EXEMPLAR AOS ENVOLVIDOS NESTA AFRONTA CONTRA A DIGNIDADE HUMANA.
VAMOS PRA RUA ! VAMOS PRA RUA! PRA RUA! PRA RUA !
A BURGUESIA FEDE
24/02/2011 em 15:46
34.
PRÓXIMA CAMPANHA: DESFILIAÇÃO EM MASSA DE TODAS ENTIDADES DE CLASSE QUE SÓ TOMARAM ATITUDE APÓS NÓS , BLOGUEIROS, INSULFLARMOS A MANIFESTAÇÃO INDEPENDENTE DE S INDICATOS E ASSOCIAÇÕES.. CONSOLAÇÃO AMANHA ESTAREI AÍ….
CARCARÁ SANGNOLENTO
24/02/2011 em 15:50
24/02/2011 em 15:57
36.
O ILMO SR DR (SUPER HOMEM / sem mãe, nascido de uma experiência genética) Eduardo Henrique de Carvalho Filho, estava em estágio probatório, à época dos fatos, por muito menos, vários funcionários foram exonerados do cargo… E ai???? KD O PA de via rápida????? no máximo de 90 dias!!!!!!!! O MÍNIMO O QUE PODEM FAZER É EXONERAR ESSE SER!!!! Ou isso só funciona para quem não trabalha na CORRÓ???????????
Fernnda
24/02/2011 em 16:14
24/02/2011 em 16:15
38.
PQP!!! TEM SERES QUE AINDA NÃO ENTENDERAM QUE AQUI NÃO ESTAMOS JULGANDO A MOÇA, E SIM NOS COLOCANDO NO LUGAR DELA, SOU MULHER, TENHO MÃE E TENHO IRMÃ, PORRA!!! E VAI TOMAR NO C., TA CHEIO DE FALSOS MORALISTAS, QUE REALMENTE PEDEM UMA NOTA, CAUSAM, E AINDA SAEM DE BONS MENINOS, FALANDO SÓ BOSTA… E O FDP, SAIU DO PROBATÓRIO EM MAIO DE 2010. PORTANTO TEM QUE, NO MÍNIMO, IR PRA RUA!!! OU VAI TER QUE MORRER TRABALHANDO NA CORRÓ.
Fernanda
24/02/2011 em 16:30
39.
Se é pra fazermos isso com todos os corruptos, vamos começar tirando as calças dos politicos em Brasilia!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Rosana Lima
24/02/2011 em 17:09
40.
AGORA NÃO TENHO MAIS DUVIDA NENHUMA, FOI TUDO ARMAÇÃO, ESSE DELPOL PELO SEU INVEJAVEL SABER JURIDICO DEVERIA OCUPAR UMA DAS CADEIRAS DO STF……….RSRSRSRS NÃO CONFIOU NAS POLICIAIS, ESTORINHA, O DIRETOR MANDOU ARRANCAR A ROUPA, O OUTRO DELEGADO DESMENTE, DIZ QUE FOI O BOMBADO, QUANTA BABOSEIRA, O DELPOL SAIU DA CORRÓ COM FLAGRANTE PREPARADO, E DIZ QUE NÃO CONFIOU….MENTIRA
AINDA HOJE O ESTADÃO DO PSDBOSTA, DIVULGOU A INVESTIGAÇÃO DA CORRÓ CONTRA O DETRAN, 30 MILHÕES DESVIADOS, NOTICINHA ENCOMENDADA, GENTE PARA DE SEREM RIDICULOS….
QUANTO AO QUE VISLUMBREI NOS DOCUMENTOS ACIMA ACOSTADOS, É UM FESTIVAL DE ASNEIRAS, NÃO DÁ PARA DIZER QUE UMA PESSOA COM O PRIMEIRO GRAU FARIA PIOR, QUANDO A IGNORANCIA SE SOBREPÕE A INTELIGENCIA, E O DIREITO É COMPLETAMENTE IGNORADO, SOMENTE RESULTA NESSA ATROCIDADE, SINCERAMENTE, BANDO DE ASNOS, BURROS E ACÉFALOS, QUEM DEPOS, QUEM CORROBOROU E QUEM INOCENTOU ESSES BANDIDOS, OS SENHORES ENFIARAM NO R…… O DIREITO, COMO O INFELIZ SE DEFENDE DISSO TUDO?? A QUEM RECORRER SE O PROMOTOR, JUIZ E DELPOL, SOMENTE CHANCELAM AQUILO QUE QUEREM?? JUDICIARIO DE MERDA, MP DE MERDA, DELEGADINHOS DA CORRÓ DE MERDA, VOCES TODOS NÃO VALEM O QUE COMEM…
VOU FAZER UMA SEGUNDA FACULDADE, E RASGAR O MEU DIPLOMA DE DIREITO, PREFERIRIA SER ANALFABETO, BURRO, SURDO, MUDO E LOUCO, A TER QUE VER, LER, E OUVIR TUDO ISSO, ESSES SENHORES SÃO HIPÓCRITAS, DEVERIAM REESCREVER O DIREITO, VOU SAIR POR AI NO MEU TRABALHO, PLANTANDO PROVA ILICITA, ARRANCANDO A ROUPA ALHEIA, E QUERO FILHO DA PUTA CONTESTAR MINHA ATITUDE, QUEM CONTESTAR, VAI GANHAR UM BALAÇO DE 45 NO MEIO DA TESTA, ISSO POR QUE, SEGUNDO O ENTENDIMENTO DESSES IMBECIS, TAL ATO DA MINHA PARTE SERIA TÃO SOMENTE UMA MEDIDA MODERADA DE CONTER A SITUAÇÃO
A Verdade
24/02/2011 em 18:24
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FONTE:
http://escrevalolaescreva.blogspot.com
/2011/02/policia-algema-e-tira-roupa-de-uma.html
21 de fevereiro de 2011 23:48
Raul disse...
Se ela errou, ela já pagou pelo que fez, foi expulsa.Não se justifica um erro com outro.E os que erraram muito mais do que ela?Estavam impunes pelo corporativismo.Só depois de repercutir muito, e gente importante entrar em cena, é que acertaram alguma coisa, senão iam ficar na mesma.Eu disse pra minha filha: não entre pra Polícia, veja o que aconteceu com outras mulheres.Corporativismo deturpa.
22 de fevereiro de 2011 00:14
Michele disse...
Não existe discurso mais maniqueista do que "Se ela não quisesse passar por isso que não fosse roubar a sociedade", ou a utilização de subterfúgios "científicos" como "ela é uma psicopata".
Aliás, as pessoas passaram a acreditar que lendo um livro, de conteúdo duvidoso e métodos poucos convencionais, são capazes de diagnosticar uma psicopatologia.
Não basta escolher meia dúzia de palavras ou esconder-se sob a desculpa de "defesa da lei e não dos policias" para o discurso torne-se legítimo.
POuco conhecedores da legislação, constitucional e infraconstitucional, muitos aqui são.
Nada justifica a atitude dos policiais. Fiz uma pequena análise do incidente, sob a ótica jurídica, em meu blog e posso afirmar, com absoluta certeza, que não há nenhum jurista, minimamente respeitado, que concorde com a barbaridade perpetrada pelos policiais.
Infelizmente o fato de que essas mesmas pessoas, que hoje defendem as atitudes dos policiais, poderem ser um dia igualmente vítimas de suas atrocidades e, portanto, mudarem de opinião, não me conforta.
Prefiro a ignorância bradando obcenidades do que qualquer outra violência dessa magnitude praticada.
22 de fevereiro de 2011 00:41
Ally disse...
Eu não sei o q é pior:
-o uso da força contra a mulher
-o desrespeito a uma colega de profissão
-as outras policiais não fazerem nada
-o caso não ter virado um escândalo
Mas os comentários q vc recebe...
Alguém disse q ela queria ser revistada só por mulheres pq aí não teria prova documental, ou seja, eles não consideram NENHUMA POLICIAL COMO SENDO DE CONFIANÇA!!!
Como as outras policiais não tomaram a frente para defender um mínimo de dignidade da colega.
Gente, pelo amor de Deus, não precisa despir pra revistar, não precisa filmar e não precisa de mais que 2 policiais, uma pra revistar e outra para acompanhar.
Fico horrorizada que algumas pessoas achem isso NORMAL!
Não, não é normal.
Homens tem mais força física que as mulheres, então elas estão em desvantagem!
O MÍNIMO que a sociedade pode fazer é impedir que a mulher seja subjugada em razão da FORÇA FÍSICA.
22 de fevereiro de 2011 13:46
escravo roger{RF} disse...
Ministério Público apura suposto abuso policial em ação que despiu escrivã em delegacia
http://g1.globo.com/sao-paulo/noticia/2011/02/mp-apura-suposto-abuso-policial-em-acao-que-despiu-escriva-em-delegacia.html
"De acordo com o procedimento investigatório instaurado, sob a alegação de realizar revista e prisão da escrivã, por suposto crime de corrupção, o MP afirma que os agentes policiais 'submeteram-na a forte humilhação e violência, utilizando-se de força bruta para algemá-la, despi-la e expor suas partes intimas na presença de quem estivesse na sala, muito embora a mesma jamais se recusasse a ser revistada ou mesmo despir-se, desde que na presença e por outras mulheres'."
-------------------------------------
FONTES DESTE COMENTÁRIOS:
http://flitparalisante.wordpress.com/2011/02/24/crise-na-policia-civil-de-sp/
Subscreva aos comentários comRSS.
1.
As fotos do cabeçalho demonstram como os Exímios Profissionais foram Corajosos e Destemidos. (rs). Eu só quero apagar a luz e fechar a porta. É assim que os Delegados querem reconhecimento de Carreira Jurídica. (rs). Comédia, né?
Edson
25/02/2011 em 10:54
Responder
2.
Nao a crise na Policia Civil, o que ha, sao pessoas que nao tem nada haver com a Policia Civil, e acham que sao os coroneis, mas o reinado acabou o nosso GOVERNADOR tomou frente de tudo e ele como GOVERNADOR e que esta mudando tudo afinal de conta, nao e nosso secretario, Nosso GOVERNADOR esta sendo um CARDEAL e ao mesmo tempo um coronel.
CONFIO NO SR.GOVERNADOR
julio
25/02/2011 em 10:45
Responder
3.
A TIA NÃO CAIU…DESPENCOU…CADE O RESTO??AQUELES DELEGADINHOS LIXO?? SÃO UNS COVARDES QUE NÃO TIVERAM A CORAGEM DE MOSTRAR A CARA..VEM PEITAR OS POLICIAIS DO DEIC.DECAP.DENARC ETC.ETC..SEUS BOSTAS..
gansopol
25/02/2011 em 6:27
Responder
4.
DÉLIO MARCOS MONTRESORO É O NOVO CORREGEDOR?!
Fudeu…(trocaram seis por meia dúzia)
Esse caboclo foi um dos maiores bundões que proliferou na Polícia(com a agravante de ser ex-coxinha).Veio do Ceará montado num jegue,foi pego a laço na antiga rodoviária da praça Júlio Prestes e alistado na mão grande como soldado raso na cavalaria.Trabalhava de macacão, bibico e carrinho de mão, e durante anos recolheu toneladas de estrume nas cocheiras,provavelmente a única coisa útil que realizou pela polícia em toda sua fracassada carreira.Fez cursos de cabo,sargento e finalmente conseguiu no chute ingressar na escola de oficiais-coxinhas,a qual miraculosamente logrou terminar colando dos colegas.Mal foi promovido a capitão-coxinha quando teve de bater em retirada,para escapar da fúria de um soldado que planejava matá-lo,um dos maiores psicopatas que a polícia-coxinha já produziu(Montresoro tinha em casa um quatí que era bravo pra cachorro,sério mesmo,não é piada,e ele mordeu a perna do psicopata).Rapidinho o Montry prestou o primeiro concurso que apareceu na frete(DELPOL),indo dar aulas de cultura inútil na ACADEPOL,onde esgotou a paciencia de milhões de alunos.É ele que vai substituir a Nazista-Chefe?
PELO AMOR DE DEUS,TRAGAM A TIA DE VOLTA!!!
Alckiminhoca
24/02/2011 em 23:27
Responder
5.
a corregedoria tem que existir sim porem, sem cometer os abusos que vem cometendo ultimamente,
essa mulher nao quero nem citar seu nome e que se diz impoluta sabia e cheia de impafia deveria ser a primeira a coibir os atos desses imbecis que se fardam de delegados passando por cima de seus colegas, eles estao la na corregedoria por terem capacidade de investigacao pois e mais facil correr atras de policia pois nao requer inteligencia apenas truculencia.,rua p/eles tambem e sentir na pele o que e passar pelas maos deles ,ah e essa medusa tambem (marines)
joly
24/02/2011 em 23:23
Responder
6.
ooo mateus se liga cara se fosse com voce sua mae sua irma ou sua filha se e que vc tem a capacidade de ter uma , provavelmente vc a daria para um deses imbecis a comeram pois vc nao esta preocupado com a instituicao e sim cosigo mesmo seu imbecil, é por isso que a policia esta desse jeito pessoas como vc e esse purias que continuam mandando e usurpando o nome da policia. pelo jeito vc deve ser um daqueles macanetas que ficam esperando um sorrisinho de delegado vc entendeu në?.
joly
24/02/2011 em 23:10
Responder
7.
Sevícias contra escrivã foram constatadas em perícia. Prova não foi usada em inquérito que inocentou delegados
February 24 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Política, Primeira Mão, Segurança Tags: escrivã, Operação Pelada, sevícias
As sevícias decorrentes da violência empregada na humilhante “revista íntima” feita na escrivã V.F.S.L. por dois delegados da Corregedoria da Poicia Civil de São Paulo foram constatadas pelo Insituto Médico Legal. O exame de corpo de delito foi realizado em 16 de junho de 1009, dia seguinte à sua prisão em flagrante.
O laudo, assinado pelo médico-legista Marcus A. P. Telles, atesta que ela sofreu “lesões de natureza leve”. Foram encontradas equimoses no tornozelo direito e no punho esquerdo. O legista também anotou que V. “não quis retirar a calça para exame das pernas pois estava muito abalada emocionalmente”. A Corregedoria havia afirmado que os métodos empregados na lavratura do flagrante foram “adequados”. As imagens da humilhação imposta à servidora foram divulgadas em primeira mão pelo Blog do Pannunzio e pela Rede Bandeirantes (veja aqui na íntegra).
Apesar da constatação, o promotor Lee Robert Kahn da Silveira, que esteve a cargo da inquérito policial instaurado para apurar os excessos dos delegados-corregedores, desprezou a prova em seu parecer, que resultou no arquivamento do inquérito. Não há uma menção sequer anotada no texto a qualquer tipo de marca ou ferimento. Os advogados de V. não sabem se a peça foi juntada ao inquérito.
Caso não tenha sido juntado, o laudo pericial pode provocar a reabertura do caso, como desejam os pormotores do GECEP (Grupo Atuação Especial de Controle Externo da Atividade Policial) do Ministério Público paulista. De acordo com o Artigo 18 do Código de Procesos Penal, só é possível reabrir um processo arquivado por determinação judicial quando surgem novas provas, que não foram consideradas no curso da primeirai nvestigação.
Veja abaixo o fac-símile da perícia.
Tags: escrivã, Operação Pelada, sevícias
Pessoal vejam o laudo da perícia no blog do pannunzio: http://www.pannunzio.com.br/?p=7270
QUANTA NOJEIRA E PARECE QUE O LAUDO NÃO FOI ANEXADO AO IP, SE ISTO DE FATO ACONTECEU, QUANTA CALHORDICE.
wagner nunes leite gonçalves
24/02/2011 em 22:10
Responder
8.
PQP. PUXEI MEU EXTRATO E JÁ ESTOU SEM GRANA,
MESMO ANTES DO DIA DO PAGAMENTO.
QUE MERRECA O MEU SALÁRIO.
TIVE QUE PEDIR GRANA EMPRESTADA PRA MINHA MÃE, UMA VELHINHA QUE GANHA MAIS DO QUE EU.
QUERIA VER ESSES FDP VIVEREM COM ESSA MISÉRIA
QUE É NOSSO SALÁRIO.
ESTOU REVOLTADA.
E AINDA SOU OBRIGADA A AGUENTAR UM IDIOTA (O TITU)
PEGANDO NO MEU PÉ, DEPOIS DE TRABALHAR FEITO
UMA CAMELA.
TIAZONA
24/02/2011 em 21:35
Responder
9.
AMANHA TODOS NA PRAÇA DA SÉ AS 11:00 HORAS.
PARA QUE POSSAMOS TAMBEM TIRA O SECRETARIO, A HORA DELE ESTA CHEGANDO. FORA PINTO, A TIA JA FOI.
MELHORES CONDIÇÕES DE TRABALHO, SALARIO DIGNO, ETC.
ORDEM E PROGRESSO
24/02/2011 em 20:44
Responder
Pena que sou da baixada santista, mas espero que os colegas policiais e os cidadão de bem compareçam na mianifestação do dia 25/02/2011. Não estamos somente defendoendo o Direito da escrivã Vanessa, estamos lutando para que amanhã não sejamos nós que estejamos jogados no chão e com as calças arrancadas pelsos defensores da LEI.
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COMENTÁRIOS NO SITE
http://aceveda.com.br/blog/?p=23393&cpage=1
18 Comments on Alckmin cobra explicações sobre caso de escrivã que foi despida e revistada à força
1. Rubens on dom, 20th fev 2011 14:49
Infelizmente a nossa polícia é o que tem de pior no funcionalismo público. Porém o que me deixou espantado nesse caso foi saber que o Ministério Público e a Justiça acharam normal a conduta dos delegados. Só nos resta rezar.
2. Doom on dom, 20th fev 2011 15:59
Olha isso,estamos pagando a escória para trabalhar e pior proteger a gente.Que lamentável,onde está a lei agora?
Que armação,dois bandidos.E falam como se fossem os maiorais,como se fossem a lei!na boa,é armação, a câmera ainda passa por trás na hora de mostrar onde está o dinheiro.
Cada dia que passa eu tenho mais nojo da polícia.Nojo mesmo.Se vejo um policial,já penso nisso.Pode ser GCM,o que for,e fazer isso com mulher.quero ver eles fazerem isso no Oriente Médio, onde eles ia ser julgados pela Sharia!Os dois teriam as mãos decepadas senão o saco!
Que podres.Podres de tudo!
Passa pra frente essa imagem.Mostra o nosso governo agora, mostra isso no exterior,para o mundo ver que tipo de gente faz parte da polícia.
E respondendo,Rubens,a gente não deveria ficar calado.Nem rezar.Deveríamos lutar….
3. Raquel on dom, 20th fev 2011 18:36
Como cidadã e como mulher fiquei indignada e dominada por um temor muito grande de ser vítima de situação semelhante ao ver as imagens da atuação do Dr. Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves que estão amplamente sendo divulgadas pela mídia e que oficialmente foram aprovadas reforçadas pela Polícia Civil de São Paulo.
Se a Corregedoria de Polícia que reune (ou deveria reunir) o que a polícia tem de melhor e mais correto tem em seu quadro pessoas capazes de um ato tão brutal, constrangedor, violador e abusivo como este o que podemos esperar das demais autoridades?
Este tipo de “justiça” e de “apuração” não serve aos ideais da sociedade e à luta por um país mais justo.
Espero, sinceramente, como mulher, profissional e cidadã que os responsáveis por este absurdo sejam entregues à sociedade para que sejam julgados e condenados por seus atos e não continuem protegidos por seus colegas da Corregedoria.
4. antonio carlos dos santos on dom, 20th fev 2011 19:19
conheço varios policias corruptos,quando dentem um cidadão já toma o dinheiro que tiver no bolso.não adianta dizer nada,porque se dizer alguma coisa princisamento a verdade e mentira.estava intimado pra depor numa ocorrencia policial logo um policial daquela delegacia já queria que eu pagassce uma porpina no valor de 15.000,000 quinze mil reais pra não se envolver no inquerito policial.que naquele momento que seria instaurado.isso e uma verganha a nossa policia do brasil…
5. andre on dom, 20th fev 2011 21:32
cade a porra da lei maria da penha nessas horas ou ela só serve para os civis
pramim isso foi abuso de outoridade pra não falar em tentativa de estupro
policiais de merda sera que estas policiais femeninas não se sintiram umilhadas ou elas são sapatão
porra dilma vc é mulher e não vai fazer nada
termino por aqui com muita pena desta moça e com vergonha da merda da policia brasileira
6. andre on dom, 20th fev 2011 21:33
policiais de merda corruptos fdp
7. carlos on seg, 21st fev 2011 10:08
Eu acho que o senhor Governador Geraldo Alkmin, o qual tenho admiraçao e sou eleitor fanatico, nao vai deixar uma coisas dessas passar impune, tudo bem se ela praticou um crime, tem que pagar, mas a humilhaçao que essa moça passou foi terrivel, se fosse em outro pais, a coisa iria ficar preta, conheço muitos casos de Delegados famosos que sao linha de frente, mas ganharam muito dinheiro, pegando proprina de traficante, contrabandista, esse Delegado porioe um deles, como foi passado na televisao, agora fazer isso com essa jovem, e muito triste, tem varias maneiras de comprovar um crime, temos policiais femininas que sao bens treinadas para revistar outras mulheres, entao nao precisava fazer tudo isso, pode ate ocorrer dessa jovem ficar com problemas psiquiatricos, mas espero que nosso Governador faça uma investigaçao detalhada sobre esse terrivel episodio.
8. Lucia Moura on seg, 21st fev 2011 11:30
A escrivã não tinha dinheiro nenhum, aqueles 200,00 foram plantados na calça dela, a gravaçaõ não mostrou o policial achando o dinheiro, mas sim, na própria mão dele.
Bandidagem total.
9. jorge on seg, 21st fev 2011 12:18
tem que primeiro fazer uma denúncia ao CNMP.(CONS. NAC. MINST. PÚBLICO) POR O MP naum fazer nada contra os policiais denunciar o próprio ministério publico,,e entaum ir prender estes delegados prepotentes pois infrigiram o art 249 cpp e o principio da dignidade humana da CF/88 depois ferrar o delegado da comarca,,e os outros policiais por abuso de altoridade,,,FDP DO CARALHOOO tem que tirar a roupa da mãe , das mulheres e das filhas deles,,,VAMO QUEBRAR TUDOOOOOOO….QUE PAÍS É ESTE MEU DEUSSSSSSSSSSSSS
10. jorge on seg, 21st fev 2011 12:19
BOTA NO CÚ DA CORREGEDORA QUE APROVOU O ATO DOS BRUKUTUS DO CARALHO,,,POIS TEM QUE TIRAR A ROUPA É DELA, AQUELA CARA DE MARACUJÁ ESTRAGADUU
11. RICARDO LIMA on seg, 21st fev 2011 13:30
Sou Delegado de Polícia há quase 10 anos e muito me orgulho da minha profissão. Ganho a vida honestamente, cumprindo o que a lei de meu país determina. Fiquei abismado e indignado com a selvageria praticada pelo delegado de São Paulo com a escrivã! Totalmente despreparado, arbitrário, violento de forma desnecessária. Deveria ter lido antes o Código de Processo Penal e a Constituição do Brasil e ter um mínimo de noção sobre direitos humanos. A escrivã poderia ter sido revistada separadamente pelas duas policiais que estavam na sala, pois isto não invalidaria o auto de prisão em flagrante. Expor a intimidade dela, humilhar a policial e ainda filmar toda aquela cena degradante é o tipo de coisa que parece só ocorrer no Brasil. Se a policial recebeu propina, que pague na justiça pelo seu ato, mas não havia a menor necessidade daquela conduta desastrosa dos delegados da corregedoria. VERGONHA! Mais vergonhoso ainda é a corregedoria arquivar o processo por abuso de poder dos delegados e o Ministério Público chancelar este arquivamento.
12. sandro on ter, 22nd fev 2011 13:41
manda prender esses vagabundos, marginais da pior especie.vagabundos principalmente esse de camisa vermelha..
13. Maria Ivani on ter, 22nd fev 2011 13:52
Mais que “M” de pais é esse que vai de um polo a outro??? Em tempos em que colocamos uma mulher no poder, aparece uma violência dessas, que para mim se assemelha mais a um estupro! O que o Sr. Alckimim vai fazer? Pq essa gente ainda está no comando depois dessa barbarie divulgada? E as policiais que ajudaram e assistiram? Essas, com certeza, não são mulheres e sim machos disfarçados… pq é uma afronta para uma mulher de verdade ver tamanha agressão!!!
14. sandro on ter, 22nd fev 2011 14:01
Policiais bandidos,,,,eo ministério publico cara de pau….por favor governador faça alguma coisa..e ponha esses vagabundos no olho da rua, e depois prende.
Não podemos sossegar enquanto não tomarem providencia…estamos aguardando governador Alck…
15. jorge on ter, 22nd fev 2011 17:33
Claramente se vê no tempo 11:55 do vídeo, que a mulher não tem dinheiro algum, a pergunta é como o dinheiro apareceu sem nenhum amasso, devia estar pelo menos dobrado?
16. Lucia R da S Faria on ter, 22nd fev 2011 20:26
Não sei pq o governador alckim, está pedido providencia no caso da escrivão torturada, pois o PSDB . É o maior carrasco de funcinario publico, exclusivamente policias civis,quem já esqueceu , da greve da policia do ano passado, na qual o ex governador Jose Serra , mandou a tropa de choque da PM,reprimi-los com bombas de gás lacrimogenio, é bala de borracha. É a nova do governador agora é colocar estes tipos nas delegacias p/ fiscalizar o servicos dos escrivão que que carregam toneladas de papeis, pessoas para ajudar não mandam,. É o que o judiciario passou na passou na mão do governo, É o professor está esperando até hoje as duas professora na 1 serie. Estou muito admirada ele querendo providencia é deste tipo de funcionario que ele gosta é uma pena que estas pessoas não perceberam a burrada que cometeram.
17. Jeová Caetano Junior on qua, 23rd fev 2011 10:17
Infelizmente a nossa polícia e nossos políticos são o que tem de pior no para representar o nosso povo. Porém o que me deixou espantado nesse caso foi saber que o Ministério Público e a Justiça acharam normal a conduta dos delegados. Só nos resta a indignação a revolta e a sede de justiça.
Já imaginaram se fossem deixar nu todos policiais e politicos que recebem probinas? seria uma excelente economia para o país.
“Teremos que aguardar a justiça de Deus pois dos homens, principalmente brasileiros é uma vergonha.
Cuiabá/MT
18. Janaina on qua, 23rd fev 2011 19:56
Aposto que este símios adoraram achar que estavam respaldados na lei para exercitaram seus instintos sexuais sádicos. Pelo decorrer da história, dá até pra imaginar o que acontece às mulheres que não são suas colegas de trabalho.
Podem dar o nome que for, o arcabouço dos fatos gravados mostram toda uma barbárie sexual. Para mim, eles otimizaram o processo ao seu bel pazer. Depois, cada um foi pro seu buraco escuro, despediçou células germinativas manualmente e o mundo ficou mais colorido. Duvido que fariam isto se o acusado fosse um homem. Não macho trata macho com respeito, até o momento em que se sinta atraído pela moeda de couro pregueda.
COMENTÁRIOS NO SITE:
http://colunistas.ig.com.br/obutecodanet/2011/02/21/video-mostra-
flagrante-de-prisao-em-que-ex-escriva-presa-e-deixada-sem-roupa/
Nilton disse:
23/02/2011 às 13:07
“Art. 249. A busca em mulher será feita por outra mulher, se não importar retardamento ou prejuízo da diligência.”
Imagina se isso virar moda!!! Imagine , durante uma blitz, o policial cismar com sua cara e dizer que vc tá bebado e pedir pra outros policiais te segurarem e enfiarem a força o bafômetro da sua boca.
Ou, se caminhando na rua um policial, que não for com a sua cara, te acusar de tá portando drogas no ânus, e em seguida outros policiais te seguram pra fazer uma busca forçada em sua cavidade anal. Talvez vc gostasse. Mas eu não! Torcer para que sejam punidos exemplarmente.
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COMENTÁRIOS NO BLOG DO PANNUZIO ATE 23/02/2010
http://www.pannunzio.com.br/?p=7177
Luciano Prado · 1 day ago
"Eu e meus colegas, integrantes do GECEP, respeitosamente discordamos desse posicionamento por entender que a busca foi contrária à lei”.
Embora haja entusiasmo com a possibilidade de uma apuração isenta, fica tudo parecendo muito pessoal, da cabeça de cada um. Como se a lei, a doutrina e a jurisprudência deixassem margem de manobra para cada um agir de acordo com seu entendimento.
Fica o voto de confiança aos procuradores do tal Ministério Público paulista.
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marcelo's avatar
marcelo · 1 day ago
se com uma colega da propria policia acontece isso, imagine com uma cidadã comum.apesar de a policial tem cometido um crime,não seria justificativa para cometerem tal atitude, da minha parte a busca foi ilegal,constrangedora,imoral e falta de respeito, pois trata-de de uma mulher, a mesma tem sua privacidade garantida, teria que ser revistada por policiais feminina.
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marcio · 1 day ago
Mais do que a punição dos autores, fica o voto de confiança do resguardo da Constituição Federal, da imagem do M.P. perante a população, e da punição das pessoas envolvidas como autores. Que neste "Imbroglio", não sejam punidos apenas os delegados, mas tambem os demais agentes do estado que estavam presentes, e se calaram por tanto tempo, sejam eles da PM, da Guarda Civil ou da Policia Civil. Que não seja deixados precedentes de impunidade. Ou a dignidade prevista no artigo 5 da C.F. só existirá no papel e nada mais .
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Luciano Prado · 22 hours ago
É isso Marcio. A sociedade não vai aceitar precedentes de impunidade.
A punição tem que ser exemplar. E que não se tente passar a mão pela cabeça do Secretário de Segurança Pública que teve conhecimento das barbaridades patrocinadas por seus subordinados e nada fez, absolutamente nada.
Essa "estoria" de que o Secretário enviou ofício logo que tomou conhecimento etc. etc. etc. não cola. Circula nos corredores da Polícia Civil paulista (conforme se constata na imprensa) que o fato era do conhecimento geral, embora houvesse empenho em abafá-lo.
Portanto, a cúpula da Segurança do Estado tinha conhecimento sim da selvageria.
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João Carlos Rocha · 23 hours ago
Acredito que agora a investigação tem que ser mais ampla e envolver o que levou os integrantes do MP a pedirem o arquivamento do inquérito. Pode o Promotor de Justiça anterior ter praticado o crime de PREVARICAÇÃO.
Inaceitável que um membro do Ministério, que apenas pelo fato de aprovado em concurso rigoroso já nos faz presumir notório conhecimento da LEI, não tenha vislumbrado nenhuma infração à legalidade na atuação desses Delegados Corregedores.
O CNMP tem que instaurar processo administrativo para ver a conduta de LEE ROBERT KAHN.
O MPSP é um órgão sobre o qual paira muitas dúvidas!
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tatyana's avatar
tatyana · 23 hours ago
o delegado novim tava dizendo que iria prender a moça por crime de DESOBEDIENCIA, kkkkkkkk!!!
acho q esse crime e somente contra particluar X servidor publico, no caso a moça era servidora...rsrsrs
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Paulo's avatar
Paulo · 20 hours ago
Infelizmente vi as imagens que já falam por si proprio, agora pergunto eu!! se filmando eles fizeram isso, imagina o que eles fizeram a essa escrivã sem ser filmaldo!!! se fazem isso nas frentes das cameras, não quero nem imaginar o que podem fazer ou o que fizeram sem estarem com a camera ligada!! isso é um absurdo.....nojento....
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Frederico Miguel's avatar
Frederico Miguel · 17 hours ago
Faço votos que o CNJ e o CNMP intervenha no caso!
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Irlandes · 15 hours ago
"pede que a população confie no Ministério Público"
Claro, claro, o MP esta com uma ótima reputação...
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Fabio Fernando 's avatar
Fabio Fernando · 13 hours ago
“Operação Pelada”? Essa operação deveria chamar-se "Operação amadores". Nunca vi em toda minha vida uma operação tão desastrosa realizada por imbecis tão desconhecedores da lei que cagaram nas provas fazendo (absurda) besteira.
É nisso que dar colocar punheteiros estressados como delegado, deveria era haver exame psicologico sério pra não correr o risco de ter retardados em cargos sérios estragando flagrantes
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Eliezer Ricardo's avatar
Eliezer Ricardo · 10 hours ago
Brutalidade, selvageria. Não há outra expressão. Vale uma pergunta: Que tipo de "formação" têm esses policiais-canalhas? ou seria, canalhas-policiais? Antes de serem delegados, acho que já foram bacharéis em Direito, ou não? A cena foi tão brutal que fiquei pensando que havia algo pessoal entre o delegado que mais falava e a escrivã. Será? Quem sabe foram namorados ou amantes no passado e a moça praticou algum tipo de "traição" e o delegado aproveitou o momento para vingar-se? Só assim, talvez, haja uma explicação para aquela brutalida. Por favor me ajudem a entender.
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Ricardo's avatar
Ricardo · 9 hours ago
Fico surpreso com o silêncio de parte da imprensa num caso de tamanha relevância.
Boa sorte à Doutora Luciana, Promotora atuante e competente. Certamente fará um bom trabalho.
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Lucas - SINPOL CPS's avatar
Lucas - SINPOL CPS · 8 hours ago
Acredito que a ação dos delegados corregedores entrou seriamente no campo da Tortura, sendo este o único caminho para solucionar tal controvérsia no que diz respeito a reabertura do caso. Jamais vi em toda minha carreira de advogado um ato tão violento no que diz respeito a dignidade de uma pessoa humana, além de tão covarde. Por sorte, por Deus, tal ato apareceu na mídia, pois dormiria assim como todos os atos praticados nos anos de tortura ditatorial.
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Henrique's avatar
Henrique · 4 hours ago
Sabe o que mais me espanta??? Toda ação foi filmada,mas na hora "H", ao invés de filmarem o encontro do dinheiro, filmaram a genitália da escrivã. E outra coisa.. o tanto que esta mulher se bateu..esperneou..suou.. e as notas estavam lisinhas...sem nenhum amassado...estranho né????
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pedro's avatar
pedro · 2 hours ago
O tempo. Senhor dos senhores. No calor dos fatos, a quem interessou que os fatos não fossem veiculados? Para a instrução do processo criminal instaurado contra a escrivã "pelada" ou para assegurar que os corregedores permanecessem imaculados?. Somente agora... e agora? O que fazer? Ceifar o cargo em confiança de todos aqueles que erraram, além de esperar que os defensores dos Direitos Humanos repudiem o que vimos, com ações efetivas? Não sei responder. Tantos erros foram anunciados. Acho que a culpada é a dona Política, que se casou com o senhor Poder, que cegou todo mundo, e mandou o direito se escafeder... (melhor seria utilizar o verbo, com neologismo vulgar).
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CORTE INTERNACIONAL DE HAIA CONTRA DELEGADOS DA CORREGEDORIA
FONTE FLIT PARALISANTE:
Enviado em 22/02/2011 às 16:04- ODETE
Caro Guerra, boa tarde, se puder destacar estas colocações agradeço;
Vamos lá, em que pese a servidora estar sendo averiguada pela Casa Censora, o despreparo dos agentes públicos desaguaram em uma tragédia de erros que beira a insanidade.
Muito se falou aqui, em violência, violação, abuso, tortura, ditadura.
Pois bem caríssimos, a única conclusão a qual podemos chegar é a seguinte:
O ato foi um atentado violento ao pudor?
Fica claro a tortura física e psicologica pela qual a servidora passou?
tais condutas são equiparados ao crime hediondo ?
Crimes hediondos são punidos com maior severidade ?
Deve a autoridade policial agir de ofício?
Já que a divulgação está sendo ampla e irrestrita, sugiro o encaminhamento do caso ao tribunal Penal internacional e à Corte de Haia.
Seguem os dados para encaminhamento, esperandojustiça em favor de um ser humano cujo grito continua ecoando em nossas mentes….
Please use one of the working languages of the Court – English or French – for any correspondance.
Postal Address
Po Box 19519
2500 CM, The Hague
The Netherlands
Visiting the International Criminal Court
Main Entrance Hearings/Visits
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COMENTÁRIOS NO SITE:
http://www.diariosp.com.br/_conteudo/2011
/02/37348-corregedoria+da+policia+civil+entre+a+cruz+e+a+espada.html
Comentários | »
* daniel:
24/02/2011 01h45 a corregedora Maria Ines, provavelmente deve viver num mundo so dela, pois ao declarar que a atitude dos Delegados de policia "tarados" esta repleta de legalidade, ela simplemente esqueceu o que aprendeu em uma faculdade de Direito, ou do juramente que o fez quando assumiu o cargo de Delegada de Policia de aplicar a lei. Isto é, apagaram o artigo 5 da Constituiçao Federal e outros tipificadas em nossa legislação patria. ',
* LUCIANA LIMA :
23/02/2011 23h11 ABSURDO AS CENAS CHOCANTES, E O PIOR É SABER QUE A CORREGEDORA CONCORDA COM TUDO, ACHA NORMAL. AINDA DIZ QUE O SECRETÁRIO SABIA DE TUDO E QUE NADA FOI SEGREDO. O GOVERNADOR TEM QUE TOMAR UMA ATITUDE E EXONERAR OS DOIS IMEDIATAMENTE. DOS CARGOS. A CORRUPÇÃO É GRAVE, MAS OS CRIMES COMETIDOS CONTRA A DIGNIDADE HUMANA PELOS CORREGEDORES, COM ANUÊNCIA DA CORREGEDORA E DO SECRETÁRIO DE SEGURANÇA, SÃO MUITO PIORES. É INADIMISSÍVEL COMBATER UM MAL COM OUTRO PIOR.
* Jose R. Freitas:
23/02/2011 15h12 Sou Poicial civil, e não sinto nenhuma vergonnha da minha instituiçaõ ao ver o video veiculado a poucos dias onde uma escriva e revistada por delegados da corregedoria.Isso porque a corregedoria não faz parte da Policia Civil e sim do gabinete do Secretario de Segurança Publica,assim, enquanto a corregedoria era subordinada ao Delegado Geral essas barbaridades não aconteciam. Hoje ela pertence a Policia Politica do Estado e do PSDB ( pior salario do brasil ).Os verdadeiros Policiais náo fazem isso.
* Frederico:
23/02/2011 14h44 Os atos praticados pela Corregedoria da Polícia Civil, comandada por Maria Inês Trefiglio Valente, são abominaveis com total desrespeito a integridade do ser humano. Atos como estes tem sido frequentes na corregedoria da PC. Como alguém que deveria dar o exemplo pode agir desta forma e ter moral para exigir dos demais funcionários, disciplica no cumprimento do dever. Defendo o afastamento também na corregedora que já se mostrou parcial na defesa de seus subordinados. Sem o asfatamento dela, estas novas investigações serão infrutiferas.
* Laura Sousa:
23/02/2011 00h04 O pior é a corregedora geral Maria Inês Trefiglio Valente dizer que os policiais agiram "dentro do poder de polícia". Essa ?coisa? (pois se é que se pode chamar essa sujeitinha de gente) não deve ter filhas e não deve ter mãe, provavelmente nasceu de chocadeira, pois como uma mulher pode concordar com toda aquela ação asquerosa? Como pode gente dessa laia ocupar cargos públicos tão importantes? E o ministério público? Endossou a ação e mandou arquivar o processo! Eu sinto nojo de ser brasileira. De agora em diante, já que temos precedentes, qualquer policial que suspeite de uma mulher, vai poder despi-la na frente de quem quiser, filmar e depois o vídeo ?acidentalmente? vai acabar na internet. E caso suspeite-se que a mulher introduziu algo na vagina ou ânus, sem problema, é só cada um dos policiais enfiar a mão ou algum outro objeto e fazer a verificação. Afinal para a Corregedoria e para o Ministério Público é tudo muito normal. E o código penal colobora para que isso aconteça. Mas o que se pode esperar de um país de quinta categoria, que até pouco tempo atrás dava tanta importância para casos de violência física contra as mulheres que punia o agressor com cestas básicas? Se a justiça não se importa com agressões físicas contra mulheres vão se importar com o fato delas serem humilhadas e despidas em público? Chamar essa corja de escória é um eufemismo.
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COMENTÁRIOS SOBRE A ESCRIVÃ VANESSA NO SITE:
http://www.brasilwiki.com.br/noticia.php?id_noticia=39862
Dr. Jacques
Manaus 23/02/2011
Os Delegados e os policiais presentes praticaram crime de tortura física e psicolígica contra a escrivã, se ele erreou deve ser punida pela Justiça não pelos delegados corregedores, isso é uma vergonha, toda pessoa tem seus direitos não estemamos em um Estado de excessão. Esses pseudos policiais praticaram um crime gravissímo de TORTURA será que eles tem mãe ou irmã, Quer conhecer o homem dê poder a ele., outro dia um Delegado bateu num cadeirante, outro imbecil. Cadeia nesses DESPREPARADOS
02
Reporte abuso
Lino IInfante
Porto Velho//RO 23/02/2011
Após ver todas essas truculência c / a escrivã indefesa fiquei preocupado pois minha filha passou no concurso de escrivã da polícia civil no estado de Rondonia, fico a pensar se esses delegados valentes de São PAULO teriam a coragem tirar na marra as roupas dum parente do Fernandinho Beira Mar ? Aí seus delegadinhos de merda principalmente o de camisa vermelha pra vê se é tão macho só P / despir a indefesa escrivã.
03
Reporte abuso
Michelle
Santos 23/02/2011
Nossa atual Presidente do Brasil deve cobrar todo o rigor contra estes métodos que são, no mínimo, contra a dignidade humana. Elegemos uma Mulher que foi vítima de tortura para ser nosso Presidente. Se os autores e dirigentes desta desleal insituição, que escondeu os fatos não forem destituidos de seus cargos, veremos uma nova ditadura que começa de forma facista dentro de seus quadros..... se fazem isto entre sí, imaginem se fosse contra a população!!! Tortura Nunca Mais.
05
Reporte abuso
GILVAN
CEILÂNDIA - DF 23/02/2011
Se não houver a mínima punição para os envolvidos, o Judiciário Brasileiro, bem como a Secretaria de Direitos Humanos terão perdido seus valores.
06
Reporte abuso
nathalia
campina grande 23/02/2011
Envergonha qualquer instituição policial. Queria ver se fosse uma juíza ou uma promotora se não apareceria mais de 20 dedos nas maos de cada um para tratar do assunto...
07
Reporte abuso
Leamso Oicilps
Itapecerica da Serra 22/02/2011
Delegadozinhos de merda: Corregedores, titular, plantonista, etc. Não vamos defende-la pelo hipotético crime que cometeu mas para provar isso eles cometeram vários outros(constrangimento ilegal, abuso de autoridade, quebra de sigilo do vídeo,e outros e tambem danos morais, materiais) e os burros filmaram tudo. São valentes prá caralho. Toda hora se vê pessoas influentes envolvidas em desvios de fortunas e não 200 reais e cadê a super autoridade para fazer o mesmo com esses senhores(políticos,etc
08
Reporte abuso
jane brito
fortaleza 22/02/2011
gente o que aconteceu com essa moça foi um estupro colectivo esse caras foram uns monstros tal vez o bandido mais perigoso de s.Paulo fosse mais humano esse chefe dela e um covarde e aquele de blusa vermelha merece uma expulsão sumaria
09
Reporte abuso
ORDEM E REPEITO
salvador 22/02/2011
SE EU FOSSE POLICIAL EU SNTRARIA NA SALA E GUENTAVA TDS ELES NA PAREDE E DESSE NO Q DESSE NINGUÉM TIRARIA A ROUPA DA COLEGA NÃO, O MÁXIMO QUE ACONTECIA ERA UMA SENA DE SANGUE, MAS DEIXAR UMA COLEGA PASSAR POR UMA HUMILHÇÃO DAQUELAS JAMAIS, HOUVE COVARDIA POR PARTE DOS COLEGAS DELA, FORAM FROXOS E COVARDES.
10
Reporte abuso
Gerson
São Paulo 22/02/2011
Olha, tb faço parte da instituição, que infelizmente estes delegados envergonharam. Só tenho uma coisa a dizer; se um crápula destes fizesse isso com minha mulher, minha mãe, minha filha ou minha irmã, eu simplesmente o mataria. Faria isso pq não dá pra confiar na justiça, esta mesma justiça que arquivou o caso, afirmando que não houve abuso por parte daqueles crápulas. Se algum de nós, policiais, fizer isso com qualquer pessoa, este mesmo delegado "justo" como ele é, ele iria nos punir com rigo
11
Reporte abuso
ordem e repeito
salvador 22/02/2011
foi um absurdo o q fizeram com essa moça, independente dela ser ou não policial, foi uma barbarie, pareceu mais com o caso dos militares americanos na guerra do iraque, em momento algum ficou provado que o dinheiro estivesse com a moça, aquelas cenas só deixaram parecer mais com um flagrante forjado, o correto seria ela ser revistada por policiais femininas e não com um bando de carniceiros, agora pergunto, será que aqueles cidadãos são policiais honestos? pode correr atrás que se descobre.
12
Reporte abuso
Luciana
Novo Hamburgo 22/02/2011
O que vi no video foi praticamente 1 estupro porem 1 estupro d alma, c certeza ela foi corrupta porem nem em caso de estupradores se vê tal absurdo, humilhação igual a essa e agora caindo na internet é absurdo e espero q tenha punição severa, mas infelizmente como sempreeee no Brasil ficara p isso, logo cai n esquecimento, talvez a punição fique somente n afastamento d delegados e talvez servço comunitario
13
Reporte abuso
solange
sp 22/02/2011
ESTOU PERPLEXA DE VER A COVARDIA DESSES DELEGADOS E DOS OUTROS POLICIAIS, SÃO COVARDES, CANALHAS, NÃO RESPEITAM OS DIREITOS HUMANOS, IMAGINEM O QUE FAZEM POR AI COM A PÇÃO. ELES TEM QUE SER EXPULSOS DA POLÍCIA, PORQUE SÃO BANDIDOS DE CARTEIRINHA. PARABÉNS MINISTRA DOS DIREITOS HUMANOS, CHEGA DE VIOLÊNCIA DE POLICIAIS ARBITRÁRIOS.QUEM GARANTE QUE ELE NÃO ESTAVA COM O DINHEIRO JÁ ENTRE OS DEDOS PARA ACUSAR A MOÇA, PORQUE NA GRAVAÇÃO NÃO SE CONSEGUE VER SE ESTAVA COM ELA.
14
Reporte abuso
tartaruga touchê
bagdá 22/02/2011
Não se iludam, meus amigos. É tudo jogo de carta marcada. Esses Delegas vão tirar umas férias, sabe (afastamento). Até tudo ser esquecido. Será que a história seria a mesma se tivessem tirado a calça de algum Promotor?
15
Reporte abuso
MARIA
JABOATÃO/PE 22/02/2011
Isso e nosso pais cada vez mais vergonhoso com a policia, por conta dessas e outras coisas que estamos vendo não acreditamos mais em uma segurança seria.
16
Reporte abuso
Marcelo
Sertãozinho 22/02/2011
O que foi feito com essa policial é um absurdo. Ela não se negou a ser revistada, apenas exigia que uma mulher fizesse isso, o que é um direito dela. Se a moça deveria ser punida, deveria sim, mas dentro da lei, sem essa barbaridade a que ela foi exposta. Esses delegados mostraram que são incompetentes e não tem o mínimo de ética na profissão. Esses individuos que fizeram isso com ela, e que se dizem policiais, deveriam ser expulsos da polícia, eles não tem o minimo preparo.
17
Reporte abuso
Daniella
Ribeirão Preto 22/02/2011
Tenho a vergonha de fazer parte da mesma instituição que esses "Primatas armados". Garanto a vocês que um abuso deste não teria ocorrido se a corrupta da vez fosse uma delegada. Pior do que o corregedor são os pseudo-colegas de trabalho e o delegado titular dela que escutou a menina pedir socorro e não fez nada. É o fim da polícia. Os institutos tem que ser revistos imediatamente.
19
Reporte abuso
Átila
São joão das Missões 22/02/2011
tem que mandar este delegado descarado despir a mulher e filha dele e colocar na net para a gente ver se elas tem a piriquita bonita! estou indiguinado com estes bandos de covarde e espero pela espulção de todos inclusive do delegado titular que a abandonou! bostão...
20
Reporte abuso
lana.
praia grande 22/02/2011
Se a moda pega , qualquer mulher pode ser despida a força. Não esqueçam que a policia é tão capacitada que nesta semana deu voz de prisão a uma professora que carregava uma rapadura e eles acharam que era droga. E aí? Eu , você , sua mãe pode ser um suspeito numa blitz e acabar pelado na net.
21
Reporte abuso
Afonso
Belem 22/02/2011
É um absurdo que em pleno século XXI ainda somos obrigados ver cenas estúpidas como esta. Independente do crime que esta mulher tenha cometido nada justifica oq estes estupradores fizeram, imaginem se ela fosse sua irmã ou sua namorada, isto é o absurdo dos absurdo. demissão sumária pra eles
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COMENTÁRIOS NO FLIT PARALISANTE
http://flitparalisante.wordpress.com/2011/02/24/folha-de-sp-corregedora-
foi-pressionada-a-deixar-o-cargo-durante-reuniao-do-conselho-ontem/
#
CAIU, CAIU, CAIU, CAIU…
Vídeo de escrivã despida derruba corregedora da Polícia Civil de SP
ANDRÉ CARAMANTE
DE SÃO PAULO
O secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, destituiu nesta quinta-feira de seu cargo a corregedora-geral da Polícia Civil, Maria Inês Trefiglio Valente.
Reportagem publicada hoje na Folha revela que a divulgação do vídeo que mostra delegados da Corregedoria tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã durante uma revista abriu uma crise na instituição.
Segundo o texto, durante a reunião semanal do Conselho da Polícia Civil, na manhã de ontem (23), a corregedora-geral, que apoiou a ação dos quatro delegados que investigaram a escrivã, foi pressionada publicamente a deixar o cargo por 5 dos 23 delegados da cúpula da instituição.
A crise interna na Polícia Civil foi impulsionada porque a divulgação da gravação da operação policial foi destaque em todo o país. Os envolvidos foram afastados. O governador Geraldo Alckmin (PSDB) afirmou, após a divulgação das imagens, que o vazamento do vídeo na internet era “grave”.
O delegado Délio Montressoro, que já trabalhava na área de processos admistrativos da Corregedoria, ocupará o cargo de corregedor-geral interinamente.
Os delegados suspeitos de abuso de autoridade foram afastados da Corregedoria pelos secretário Ferreira PInto na segunda-feira (21).
O CASO
O caso aconteceu em junho de 2009. Ao longo dos 12 minutos do vídeo, a escrivã diz que os delegados poderiam revistá-la, mas que só retiraria a roupa para policiais femininas. Mas nenhuma investigadora da corregedoria foi até o local para acompanhar a operação.
Ao final, o delegado Eduardo Filho, uma policial militar e uma guarda civil algemam a escrivã, retiram a roupa dela e encontram quatro notas de R$ 50. A escrivã foi presa em flagrante e, após responder a processo interno, acabou sendo demitida pela Polícia Civil. No mês seguinte, seus advogados recorreram da decisão.
O vídeo abaixo traz trechos cedidos pela TV Bandeirantes (cuja íntegra da reportagem pode ser vista aqui) que mostram imagens do incidente:
http://www1.folha.uol.com.br/cotidiano/880625-video-de-escriva-despida-derruba-corregedora-da-policia-civil-de-sp.shtml
O Maskara
24/02/2011 em 17:59
#
Vídeo de escrivã despida derruba corregedora da Polícia Civil de SP
ANDRÉ CARAMANTE
DE SÃO PAULO
O secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, destituiu nesta quinta-feira de seu cargo a corregedora-geral da Polícia Civil, Maria Inês Trefiglio Valente.
Secretaria afasta delegados suspeitos de abuso contra escrivã
Alckmin diz ser grave vazamento de vídeo de escrivã despida
Caso de delegados que deixaram escrivã nua é arquivado
Reportagem publicada hoje na Folha revela que a divulgação do vídeo que mostra delegados da Corregedoria tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã durante uma revista abriu uma crise na instituição.
Segundo o texto, durante a reunião semanal do Conselho da Polícia Civil, na manhã de ontem (23), a corregedora-geral, que apoiou a ação dos quatro delegados que investigaram a escrivã, foi pressionada publicamente a deixar o cargo por 5 dos 23 delegados da cúpula da instituição.
A crise interna na Polícia Civil foi impulsionada porque a divulgação da gravação da operação policial foi destaque em todo o país. Os envolvidos foram afastados. O governador Geraldo Alckmin (PSDB) afirmou, após a divulgação das imagens, que o vazamento do vídeo na internet era “grave”.
O delegado Délio Montressoro, que já trabalhava na área de processos admistrativos da Corregedoria, ocupará o cargo de corregedor-geral interinamente.
Os delegados suspeitos de abuso de autoridade foram afastados da Corregedoria pelos secretário Ferreira PInto na segunda-feira (21).
Reprodução
Dominada por policiais, ex-escrivã tem calça arrancada durante revista na delegacia de Parelheiros
O CASO
O caso aconteceu em junho de 2009. Ao longo dos 12 minutos do vídeo, a escrivã diz que os delegados poderiam revistá-la, mas que só retiraria a roupa para policiais femininas. Mas nenhuma investigadora da corregedoria foi até o local para acompanhar a operação.
Ao final, o delegado Eduardo Filho, uma policial militar e uma guarda civil algemam a escrivã, retiram a roupa dela e encontram quatro notas de R$ 50. A escrivã foi presa em flagrante e, após responder a processo interno, acabou sendo demitida pela Polícia Civil. No mês seguinte, seus advogados recorreram da decisão.
O vídeo abaixo traz trechos cedidos pela TV Bandeirantes (cuja íntegra da reportagem pode ser vista aqui) que mostram imagens do incidente
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COMENTARIOS NO SITE ABAIXO SOBRE O ESCRIVÃ QUE TEVE AS ROUPAS ARRANCADAS PELA CORREGEDORIA
http://flitparalisante.wordpress.com
/2011/02/24/segue-e-mail-que-a-escriva-enviou-aos-orgaos-publicos/
#
A truculencia deste delegado e os demais na sala ja revelam por si so as imagens que o flagrante foi forjado. Espero que reparem o erro comito e que todos sejam punidos.
Gilvan Bastos
24/02/2011 em 11:05
#
CARA COLEGA NÃO SE PREOCUPE QUE OS VERDADEIROS E HONRADOS POLICIAIS CIVIS COMPRARAM SUA BRIGA, POIS NÃO COMPARTILHAMOS DE CANALHICE E NEM DE MAU CORPORATIVISMO, COMO TAMBÉM NÃO COMPACTUAMOS COM A CORRUPÇÃO. MUITOS DE NÓS TEMOS PARENTES POLICIAIS E SOMOS CASADOS COM POLICIAIS. TENHA A ABSOLUTA CERTEZA QUE A INDIGNAÇÃO É GERAL, PODEM QUERER VIR NOS AMEAÇAR E PUNIR MAS NÃO CALAREMOS NOSSA VOZ.IREMOS SOLICITAR INTERVENÇÃO FEDERAL, JÁ QUER O SENHOR GOVERNADOR NADA FAZ.
wagner nunes leite gonçalves
24/02/2011 em 11:13
#
O teor da mensagem enviada em 2009 está totalmente de acordo com o conteúdo do vídeo, ou seja, a vitima da violência da Corregepol não mudou em nada as suas palavras.
Os agressores, ao contrário, sempre depuseram com histórias contraditórias e omissivas, só esta conduta já torna a ação deles totalmente duvidosa.
O Maskara
24/02/2011 em 11:16
#
O QUE SERÁ QUE O PINTO ESCONDE NO PREPÚCIO, DIGO, NAS MANGAS, QUE LHE DÁ TANTO PODER DIANTE DE ALKMIN…
ANONIMO
24/02/2011 em 11:34
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Contrariou interesses escusos na PC, se prepara que a armação é certa. Já fui vítima dessas operações.
Zero a Esquerda
24/02/2011 em 11:34
#
CARA..O…
O relato acima, datado de 31 de agosto de 2009, é idêntico, minucioso em detalhes, ao que podemos ver no vídeo. Não há como ela estar exagerando, inclusive o fato – HUMILHANTE – de ser conduzida até a viatura da DOP PELO PESCOÇO, como um CACHORRO, é coincidente ao quando divulgado à época. Que canalhas! Mantiveram a algema na escrivã sem necessidade; mantiveram-na na sede da DOP por 18 horas, para lavrar um flagrante com UM INDICIADO. ISSO NÃO OCORRE NEM COM A MAIS RELAPSA EQUIPE DE PLANTÃO DO DECAP 18 horas para lavrar um flagrante com um indiciado!
DEVEM TER GASTANDO MAIS DA METADE DESSE TEMPO PARA TENTAR ARREDONDAR A TORTURA – TODOS CONCORRERAM PARA O CRIME!
DESDE OS OPERACIONAIS, PASSANDO PELO PLANTONISTA, TIRAS ESCRIVÃO E PLANTONISTA DA DOP! E O DIVISIONÁRIO, ONDE ESTAVA PARA ACOMPANHAR A “FORJA” DO FLAGRANTE PREPARADO DE UM CRIME – SUPOSTO, QUE AGORA FICA CADA VEZ MAIS CLARO, INEXISTENTE – EXAURIDO!
CANALHAS!
ESCROQUES!
TORTURADORES!
Tudo isso devidamente acobertado
PELA CORREGEDORIA, E POR CONSEQUENCIA PELA SSP;
PELO MP
PELO JUDICIÁRIO.
E AINDA OBSERVAMOS A LETARGIA E INÉRCIA DESTE GOVERNADOR EM TOMAR A DECISÃO ÓBVIA!
O QUE SERÁ QUE O PINTO ESCONDE NO PREPÚCIO, DIGO, NAS MANGAS, QUE LHE DÁ TANTO PODER DIANTE DE ALKMIN…
#
A POLICIAL MILITAR FEZ A REVISTA ANTERIORMENTE AOS FACINORAS.
NÃO ENCONTROU NADA COM A ESCRIVÃ!
AÍ ENTÃO OS FACINORAS, PARA ESCAPAR DO ABUSO, EXIGIRAM QUE ELA FOSSE NOVAMENTE REVISTADA MINUCIOSAMENTE,
PARA O SENHOR EDUARDO
INTRUJAR AS NOTAS!
EIS AÍ, EXCELENTES PROMOTORES
PROCURADORES
JUIZES
PRESIDENTA DILMA
O FATO NOVO A
DESBLOQUEAR O 18 CPP
##
OS FUNCIONÁRIOS DO PEPC SÃO HUMANOS, EDUCADOS, COMPREENSIVOS. NOTA DEZ PARA OS FUNCIONÁRIOS DO PEPC, DIFERENTE DOS CALHORDAS QUE A PUSERAM LÁ!
ANONIMO
24/02/2011 em 12:14
#
IMPORTANTE….
MUITO IMPORTANTE…
Ao colega DR. GUERRA
À COLEGA ESCRIVÃ – HUMILHADA E EXECRADA PUBLICAMENTE…
“eu LI atentamente suas palavras acima e o conteúdo dos documentos expostos…”
No meu humilde entendimento,… creio que o melhor “caminho” à combater o excesso de poder autoritário dos agentes do Estado, e do próprio Estado…
agora… nesse momento…
SERIA a AMPLA e IRRESTRITA “DIVULGAÇÃO” desse material junto aos Órgãos de imprensa – JORNALISMO sério deste País…
bem como órgãos de direitos humanos e de denfensoria de direitos humanos e garantias constitucionais…
FICA meu “conselho”… à COLEGA “humilhada”…
e ao Dr. GUERRA….
CREIO que o melhor “remédio” para buscar a verdade… é “expor” toda a verdade publicamente…
BOA SORTE…
e que DEUS abençoe à todos!
ESCRIBA.2011
24/02/2011 em 12:35
#
Lendo as declaracoes acima, tem pessoas que afirmam que a escriva tenha cometido de fato a corrupcao com base na fita exibida na Band. O fato e que foi forjado o flagrante, na fita ninguem ve da onde saiu o dinheiro, se ve um individuo exibindo como um trofeu notas de R$50,00 intactas, sem dobras ou amassados, ou seja, na verdade a fita serviu para mostrar de fato o que fizeram com aquela profissional, que ali estava trabalhando, e se tinham tanta informacao para dar um flagrante na escriva, que fizessem de forma legal, agora querem achar culpados para os varios crimes cometidos pela Corregedoria, quais as sequelas que devem ter ficado nessa moca, como ela deve estar diante dela propria como servidora que era, explorada de todas as formas pelo Estado no exercicio de sua funcao, diante de seus familiares, da sociedade, esta que sequer merece comentarios, pois e a primeira a meter o pau, so sabem se manifestar quando se trata de ladroes da comunidade.
Por fim, sinto muito de ter que ver esse tipo de tratamento “de um policial” para com outro policial, ja nao aguento mais tanta patifaria, e de todo os lados, boa sorte para essa moca, que Deus te abencoe, e que os verdadeiros criminosos paguem pelo que fizeram com VC.
SDPM MARCELO
24/02/2011 em 12:37
#
E ainda o que e pior, fico ouvindo seus gritos ate agora, doutor, doutor, e o restante, qual a postura daquele titular, quando a mesma chamava por ele e ele nao fez nada, aquela moca que trabalhava no distrito em que ele era o titular, nao dava para ele se impor perante os demais, exigir uma delegada para fazer a revista minunciosa, tudo gira em torno das vaidades.
Comparo os gritos dela para o delegado titular como os gritos de uma filha sendo molestada e na eminencia de ser violentada por alguns estupradores, chamando pelo PAI e o pai diz nao poder fazer nada. Como sera a continuidade da carreira deste delegado, sera que ele especificamente como se sente, qual a confianca dos demais subordinados teram para com ele. E como numa troca de tiros, seu parceiro te pedindo ajuda e vc ter medo de atirar para nao responder processo, e ele morre. Como se olhar no espelho, como vestir sua farda, colocar seu distintivo na cintura ou ajustar sua gravata compondo seu belo terno e carteira vermelha, de que adiantara. Desculpem-me pelos exemplos, mas eu estou envergonhado diante da minha esposa e meus filhos diante de tamanha covardia de todos, que Estado que vivemos, que vergonha.
SDPM MARCELO
24/02/2011 em 12:57
#
é duro.
Joao Vicente
24/02/2011 em 13:49
#
Vanessa, que deus lhe garanta paz de espirito
coisa que o delegadinho não vai ter mais
Dr. Eduardo e demais,,, ela é casada, marido não tolera o que foi feito, e tem parente policial civil…
é bom não ir dormir…
ihhh ritado
24/02/2011 em 13:49
#
Escrivã, não foram somente os policiais que compraram sua briga…desde o dia que vi aquelas imagens horríveis a cada dia faço algo em prol de justiça.
Entrei em contato com a Dra. Luiza Eluf, Procuradora que defende os direitos da mulher em São Paulo, a mesma que deu entrevista no primeiro dia que a BAND divulgou as imagens. Como moro em Brasília procurei a Secretaria dos Direitos Humanos da Presidência, e a ministra já estava tomando providências, porém afirmei por escrito que irei acompanhar tais providências…lotei a caixa de emails das emissoras pedindo para continuarem a noticiar para um “barulho” fosse feito no caso. E ontem encaminhei uma reclamação ao Corregedor Geral do CNMP pedindo que o promotor seja investigado, pois agiu acima da lei, sem nenhum respaldo da mesma, pois o mesmo apesar da independência que possui como membro do MP não é soberano e não está acima da Constituição.
Enviei tb uma reclamação à Corregedoria do Ministério Público em São Paulo com os mesmos argumentos.
Sei que para vc é mto difícil relembrar tudo… mas acredite que o vazamento dessas imagens por mais difícil que seja, é o começo de uma revolução e que só te fará justiça.
Gostaria muito de saber se os 2 “policiais” e mais aquele bando de covardes que os acompanhavam, incluindo aquelas duas mulheres, mulheres essas que envergonham qualquer mulher, estão lendo nossos posts… se tiverem´, é mto bom que saibam que por onde quer ando e com quem falo, essas pessoas tem nojo de vcs… se vcs queriam humilhar a moça, hoje vcs são as criaturas mais repugnantes vista nos últimos tempos no Brasil. Nojentos!
Déborah
24/02/2011 em 14:07
#
E mais uma coisa, eu desejo que vc se recupere, dê a volta por cima e seja mto feliz, quem tem que ter vontade de morrer é gente ruim… maldosa, que não deve ter levado umas boas chineladas na bunda qdo era criança, que não teve limite, que a mãe não deu educação, não ensinou como se trata uma mulher e um ser humano seja ele quem for!!!
ele deve sentir vontade de morrer e não vc!
ele deve sentir vontade de ir tirar a cueca do capeta!
#
Policiais de todo o Estado, compareçam!!! Esta é a oportunidade de começarmos a lutar por TODOS os nossos direitos e contra o descaso da administração!!!
Sejamos unidos!!! Só assim poderemos repudiar e exigir mudanças em razão dos absurdos praticados pela corregedoria, sob a gesão Dna Maria e Pinto.
Também, será momento para celebrarmos o início de uma campanha fulminante contra a desvalorização da Polícia Civil, do SER HUMANO POLICIAL, que tem, SIM, que ganhar salários dignos!!
Como bem disse o Delegado lá de Ribeirão Preto: “Não basta investir em equipamentos e não investir nos operadores destas máquinas e tecnologias”.
Às 11h, está marcado um ato na praça da Sé, no centro da cidade, organizado pelo sindicato dos Escrivães de Polícia do Estado de São Paulo e pela Associação dos Escrivães de Polícia do Estado de São Paulo. As entidades, juntas, representam cerca de 8 mil trabalhadores. Do ponto de encontro, está prevista a organização de uma passeata até a sede da Secretaria de Segurança Pública, que fica na rua Libero Badaró, 39.
#Sinto-me mais e mais enojada.
Creio que rua é pouco para esses calhordas (todos) inclusive os que acobertaram e os que endossaram PM e Judiciário.
Isto é o fim do mundo.
Sinto vergonha deste País,destes governantes, deste adiamento interminável para que se faça Justiça.
Meu total desprezo aos políticos deste país.
E ao sistema que sustentam e mantém.
EXMA SRA MINISTRA, onde se encontra V.Excia,elaborando discursos sem ações?????
#
#
Sinto-me mais e mais enojada.
Creio que rua é pouco para esses calhordas (todos) inclusive os que acobertaram e os que endossaram PM e Judiciário.
Isto é o fim do mundo.
Sinto vergonha deste País,destes governantes, deste adiamento interminável para que se faça Justiça.
Meu total desprezo aos políticos deste país.
E ao sistema que sustentam e mantém.
EXMA SRA MINISTRA, onde se encontra V.Excia,elaborando discursos sem ações?????
Suely
24/02/2011 em 14:53
#
O pior é que no texto ela se refere a esse canalha como
Doutor, doutor em que?
è um crápula, nojento,sem qualificação,e não apenas ele, mas todos que fireram parte deste circo de horrores,ali e depois.
DR???????Nem a constituição o imbecil conhece,ou vão dizer que estou errada,revejam a aprovação deste sujeito em concurso, ou será que vale o padrinho, o QI,Sra Ministra Maria do Rosário,por favor faça algo.
Suely
24/02/2011 em 14:58
#
fizeram.
Suely
24/02/2011 em 14:59
#
Senhores dirigentes do SIPESP e AIPESP
Enquanto associado abominei a nota meia boca sobre o ocorrido, entendo que não é possível amenizar.
Quanto aos colegas operacionais que participaram do ato agressivo, sugiro;
Se fazem parte do quadro associativo, convoque-os para esclarecimento.
Posteriormente organizem e convoquem assembléia geral para que possamos tomar ciência e posição.
Acorda Brasil
Euclydes Zamperetti Fiori
111111111111111111
#
33.
AMANHÃ TEREMOS A OPORTUNIDADE DE EXTRAVASAR TODA NOSSA ANGÚSTIA COM O DESCASO QUE ESTAMOS PASSANDO NESTES ÚLTIMOS 16 ANOS DE GOVERNO PSDB…TODOS NA PORTA DA CORRÓ AMANHÃ ÀS 16 HS PARA EXIGIRMOS MELHORES CONDIÇÕES SALARIAS E PUNIÇÃO EXEMPLAR AOS ENVOLVIDOS NESTA AFRONTA CONTRA A DIGNIDADE HUMANA.
VAMOS PRA RUA ! VAMOS PRA RUA! PRA RUA! PRA RUA !
A BURGUESIA FEDE
24/02/2011 em 15:46
34.
PRÓXIMA CAMPANHA: DESFILIAÇÃO EM MASSA DE TODAS ENTIDADES DE CLASSE QUE SÓ TOMARAM ATITUDE APÓS NÓS , BLOGUEIROS, INSULFLARMOS A MANIFESTAÇÃO INDEPENDENTE DE S INDICATOS E ASSOCIAÇÕES.. CONSOLAÇÃO AMANHA ESTAREI AÍ….
CARCARÁ SANGNOLENTO
24/02/2011 em 15:50
24/02/2011 em 15:57
36.
O ILMO SR DR (SUPER HOMEM / sem mãe, nascido de uma experiência genética) Eduardo Henrique de Carvalho Filho, estava em estágio probatório, à época dos fatos, por muito menos, vários funcionários foram exonerados do cargo… E ai???? KD O PA de via rápida????? no máximo de 90 dias!!!!!!!! O MÍNIMO O QUE PODEM FAZER É EXONERAR ESSE SER!!!! Ou isso só funciona para quem não trabalha na CORRÓ???????????
Fernnda
24/02/2011 em 16:14
24/02/2011 em 16:15
38.
PQP!!! TEM SERES QUE AINDA NÃO ENTENDERAM QUE AQUI NÃO ESTAMOS JULGANDO A MOÇA, E SIM NOS COLOCANDO NO LUGAR DELA, SOU MULHER, TENHO MÃE E TENHO IRMÃ, PORRA!!! E VAI TOMAR NO C., TA CHEIO DE FALSOS MORALISTAS, QUE REALMENTE PEDEM UMA NOTA, CAUSAM, E AINDA SAEM DE BONS MENINOS, FALANDO SÓ BOSTA… E O FDP, SAIU DO PROBATÓRIO EM MAIO DE 2010. PORTANTO TEM QUE, NO MÍNIMO, IR PRA RUA!!! OU VAI TER QUE MORRER TRABALHANDO NA CORRÓ.
Fernanda
24/02/2011 em 16:30
39.
Se é pra fazermos isso com todos os corruptos, vamos começar tirando as calças dos politicos em Brasilia!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!!
Rosana Lima
24/02/2011 em 17:09
40.
AGORA NÃO TENHO MAIS DUVIDA NENHUMA, FOI TUDO ARMAÇÃO, ESSE DELPOL PELO SEU INVEJAVEL SABER JURIDICO DEVERIA OCUPAR UMA DAS CADEIRAS DO STF……….RSRSRSRS NÃO CONFIOU NAS POLICIAIS, ESTORINHA, O DIRETOR MANDOU ARRANCAR A ROUPA, O OUTRO DELEGADO DESMENTE, DIZ QUE FOI O BOMBADO, QUANTA BABOSEIRA, O DELPOL SAIU DA CORRÓ COM FLAGRANTE PREPARADO, E DIZ QUE NÃO CONFIOU….MENTIRA
AINDA HOJE O ESTADÃO DO PSDBOSTA, DIVULGOU A INVESTIGAÇÃO DA CORRÓ CONTRA O DETRAN, 30 MILHÕES DESVIADOS, NOTICINHA ENCOMENDADA, GENTE PARA DE SEREM RIDICULOS….
QUANTO AO QUE VISLUMBREI NOS DOCUMENTOS ACIMA ACOSTADOS, É UM FESTIVAL DE ASNEIRAS, NÃO DÁ PARA DIZER QUE UMA PESSOA COM O PRIMEIRO GRAU FARIA PIOR, QUANDO A IGNORANCIA SE SOBREPÕE A INTELIGENCIA, E O DIREITO É COMPLETAMENTE IGNORADO, SOMENTE RESULTA NESSA ATROCIDADE, SINCERAMENTE, BANDO DE ASNOS, BURROS E ACÉFALOS, QUEM DEPOS, QUEM CORROBOROU E QUEM INOCENTOU ESSES BANDIDOS, OS SENHORES ENFIARAM NO R…… O DIREITO, COMO O INFELIZ SE DEFENDE DISSO TUDO?? A QUEM RECORRER SE O PROMOTOR, JUIZ E DELPOL, SOMENTE CHANCELAM AQUILO QUE QUEREM?? JUDICIARIO DE MERDA, MP DE MERDA, DELEGADINHOS DA CORRÓ DE MERDA, VOCES TODOS NÃO VALEM O QUE COMEM…
VOU FAZER UMA SEGUNDA FACULDADE, E RASGAR O MEU DIPLOMA DE DIREITO, PREFERIRIA SER ANALFABETO, BURRO, SURDO, MUDO E LOUCO, A TER QUE VER, LER, E OUVIR TUDO ISSO, ESSES SENHORES SÃO HIPÓCRITAS, DEVERIAM REESCREVER O DIREITO, VOU SAIR POR AI NO MEU TRABALHO, PLANTANDO PROVA ILICITA, ARRANCANDO A ROUPA ALHEIA, E QUERO FILHO DA PUTA CONTESTAR MINHA ATITUDE, QUEM CONTESTAR, VAI GANHAR UM BALAÇO DE 45 NO MEIO DA TESTA, ISSO POR QUE, SEGUNDO O ENTENDIMENTO DESSES IMBECIS, TAL ATO DA MINHA PARTE SERIA TÃO SOMENTE UMA MEDIDA MODERADA DE CONTER A SITUAÇÃO
A Verdade
24/02/2011 em 18:24
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FONTE:
http://escrevalolaescreva.blogspot.com
/2011/02/policia-algema-e-tira-roupa-de-uma.html
21 de fevereiro de 2011 23:48
Raul disse...
Se ela errou, ela já pagou pelo que fez, foi expulsa.Não se justifica um erro com outro.E os que erraram muito mais do que ela?Estavam impunes pelo corporativismo.Só depois de repercutir muito, e gente importante entrar em cena, é que acertaram alguma coisa, senão iam ficar na mesma.Eu disse pra minha filha: não entre pra Polícia, veja o que aconteceu com outras mulheres.Corporativismo deturpa.
22 de fevereiro de 2011 00:14
Michele disse...
Não existe discurso mais maniqueista do que "Se ela não quisesse passar por isso que não fosse roubar a sociedade", ou a utilização de subterfúgios "científicos" como "ela é uma psicopata".
Aliás, as pessoas passaram a acreditar que lendo um livro, de conteúdo duvidoso e métodos poucos convencionais, são capazes de diagnosticar uma psicopatologia.
Não basta escolher meia dúzia de palavras ou esconder-se sob a desculpa de "defesa da lei e não dos policias" para o discurso torne-se legítimo.
POuco conhecedores da legislação, constitucional e infraconstitucional, muitos aqui são.
Nada justifica a atitude dos policiais. Fiz uma pequena análise do incidente, sob a ótica jurídica, em meu blog e posso afirmar, com absoluta certeza, que não há nenhum jurista, minimamente respeitado, que concorde com a barbaridade perpetrada pelos policiais.
Infelizmente o fato de que essas mesmas pessoas, que hoje defendem as atitudes dos policiais, poderem ser um dia igualmente vítimas de suas atrocidades e, portanto, mudarem de opinião, não me conforta.
Prefiro a ignorância bradando obcenidades do que qualquer outra violência dessa magnitude praticada.
22 de fevereiro de 2011 00:41
Ally disse...
Eu não sei o q é pior:
-o uso da força contra a mulher
-o desrespeito a uma colega de profissão
-as outras policiais não fazerem nada
-o caso não ter virado um escândalo
Mas os comentários q vc recebe...
Alguém disse q ela queria ser revistada só por mulheres pq aí não teria prova documental, ou seja, eles não consideram NENHUMA POLICIAL COMO SENDO DE CONFIANÇA!!!
Como as outras policiais não tomaram a frente para defender um mínimo de dignidade da colega.
Gente, pelo amor de Deus, não precisa despir pra revistar, não precisa filmar e não precisa de mais que 2 policiais, uma pra revistar e outra para acompanhar.
Fico horrorizada que algumas pessoas achem isso NORMAL!
Não, não é normal.
Homens tem mais força física que as mulheres, então elas estão em desvantagem!
O MÍNIMO que a sociedade pode fazer é impedir que a mulher seja subjugada em razão da FORÇA FÍSICA.
22 de fevereiro de 2011 13:46
escravo roger{RF} disse...
Ministério Público apura suposto abuso policial em ação que despiu escrivã em delegacia
http://g1.globo.com/sao-paulo/noticia/2011/02/mp-apura-suposto-abuso-policial-em-acao-que-despiu-escriva-em-delegacia.html
"De acordo com o procedimento investigatório instaurado, sob a alegação de realizar revista e prisão da escrivã, por suposto crime de corrupção, o MP afirma que os agentes policiais 'submeteram-na a forte humilhação e violência, utilizando-se de força bruta para algemá-la, despi-la e expor suas partes intimas na presença de quem estivesse na sala, muito embora a mesma jamais se recusasse a ser revistada ou mesmo despir-se, desde que na presença e por outras mulheres'."
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FONTES DESTE COMENTÁRIOS:
http://flitparalisante.wordpress.com/2011/02/24/crise-na-policia-civil-de-sp/
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1.
As fotos do cabeçalho demonstram como os Exímios Profissionais foram Corajosos e Destemidos. (rs). Eu só quero apagar a luz e fechar a porta. É assim que os Delegados querem reconhecimento de Carreira Jurídica. (rs). Comédia, né?
Edson
25/02/2011 em 10:54
Responder
2.
Nao a crise na Policia Civil, o que ha, sao pessoas que nao tem nada haver com a Policia Civil, e acham que sao os coroneis, mas o reinado acabou o nosso GOVERNADOR tomou frente de tudo e ele como GOVERNADOR e que esta mudando tudo afinal de conta, nao e nosso secretario, Nosso GOVERNADOR esta sendo um CARDEAL e ao mesmo tempo um coronel.
CONFIO NO SR.GOVERNADOR
julio
25/02/2011 em 10:45
Responder
3.
A TIA NÃO CAIU…DESPENCOU…CADE O RESTO??AQUELES DELEGADINHOS LIXO?? SÃO UNS COVARDES QUE NÃO TIVERAM A CORAGEM DE MOSTRAR A CARA..VEM PEITAR OS POLICIAIS DO DEIC.DECAP.DENARC ETC.ETC..SEUS BOSTAS..
gansopol
25/02/2011 em 6:27
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4.
DÉLIO MARCOS MONTRESORO É O NOVO CORREGEDOR?!
Fudeu…(trocaram seis por meia dúzia)
Esse caboclo foi um dos maiores bundões que proliferou na Polícia(com a agravante de ser ex-coxinha).Veio do Ceará montado num jegue,foi pego a laço na antiga rodoviária da praça Júlio Prestes e alistado na mão grande como soldado raso na cavalaria.Trabalhava de macacão, bibico e carrinho de mão, e durante anos recolheu toneladas de estrume nas cocheiras,provavelmente a única coisa útil que realizou pela polícia em toda sua fracassada carreira.Fez cursos de cabo,sargento e finalmente conseguiu no chute ingressar na escola de oficiais-coxinhas,a qual miraculosamente logrou terminar colando dos colegas.Mal foi promovido a capitão-coxinha quando teve de bater em retirada,para escapar da fúria de um soldado que planejava matá-lo,um dos maiores psicopatas que a polícia-coxinha já produziu(Montresoro tinha em casa um quatí que era bravo pra cachorro,sério mesmo,não é piada,e ele mordeu a perna do psicopata).Rapidinho o Montry prestou o primeiro concurso que apareceu na frete(DELPOL),indo dar aulas de cultura inútil na ACADEPOL,onde esgotou a paciencia de milhões de alunos.É ele que vai substituir a Nazista-Chefe?
PELO AMOR DE DEUS,TRAGAM A TIA DE VOLTA!!!
Alckiminhoca
24/02/2011 em 23:27
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5.
a corregedoria tem que existir sim porem, sem cometer os abusos que vem cometendo ultimamente,
essa mulher nao quero nem citar seu nome e que se diz impoluta sabia e cheia de impafia deveria ser a primeira a coibir os atos desses imbecis que se fardam de delegados passando por cima de seus colegas, eles estao la na corregedoria por terem capacidade de investigacao pois e mais facil correr atras de policia pois nao requer inteligencia apenas truculencia.,rua p/eles tambem e sentir na pele o que e passar pelas maos deles ,ah e essa medusa tambem (marines)
joly
24/02/2011 em 23:23
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6.
ooo mateus se liga cara se fosse com voce sua mae sua irma ou sua filha se e que vc tem a capacidade de ter uma , provavelmente vc a daria para um deses imbecis a comeram pois vc nao esta preocupado com a instituicao e sim cosigo mesmo seu imbecil, é por isso que a policia esta desse jeito pessoas como vc e esse purias que continuam mandando e usurpando o nome da policia. pelo jeito vc deve ser um daqueles macanetas que ficam esperando um sorrisinho de delegado vc entendeu në?.
joly
24/02/2011 em 23:10
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7.
Sevícias contra escrivã foram constatadas em perícia. Prova não foi usada em inquérito que inocentou delegados
February 24 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Política, Primeira Mão, Segurança Tags: escrivã, Operação Pelada, sevícias
As sevícias decorrentes da violência empregada na humilhante “revista íntima” feita na escrivã V.F.S.L. por dois delegados da Corregedoria da Poicia Civil de São Paulo foram constatadas pelo Insituto Médico Legal. O exame de corpo de delito foi realizado em 16 de junho de 1009, dia seguinte à sua prisão em flagrante.
O laudo, assinado pelo médico-legista Marcus A. P. Telles, atesta que ela sofreu “lesões de natureza leve”. Foram encontradas equimoses no tornozelo direito e no punho esquerdo. O legista também anotou que V. “não quis retirar a calça para exame das pernas pois estava muito abalada emocionalmente”. A Corregedoria havia afirmado que os métodos empregados na lavratura do flagrante foram “adequados”. As imagens da humilhação imposta à servidora foram divulgadas em primeira mão pelo Blog do Pannunzio e pela Rede Bandeirantes (veja aqui na íntegra).
Apesar da constatação, o promotor Lee Robert Kahn da Silveira, que esteve a cargo da inquérito policial instaurado para apurar os excessos dos delegados-corregedores, desprezou a prova em seu parecer, que resultou no arquivamento do inquérito. Não há uma menção sequer anotada no texto a qualquer tipo de marca ou ferimento. Os advogados de V. não sabem se a peça foi juntada ao inquérito.
Caso não tenha sido juntado, o laudo pericial pode provocar a reabertura do caso, como desejam os pormotores do GECEP (Grupo Atuação Especial de Controle Externo da Atividade Policial) do Ministério Público paulista. De acordo com o Artigo 18 do Código de Procesos Penal, só é possível reabrir um processo arquivado por determinação judicial quando surgem novas provas, que não foram consideradas no curso da primeirai nvestigação.
Veja abaixo o fac-símile da perícia.
Tags: escrivã, Operação Pelada, sevícias
Pessoal vejam o laudo da perícia no blog do pannunzio: http://www.pannunzio.com.br/?p=7270
QUANTA NOJEIRA E PARECE QUE O LAUDO NÃO FOI ANEXADO AO IP, SE ISTO DE FATO ACONTECEU, QUANTA CALHORDICE.
wagner nunes leite gonçalves
24/02/2011 em 22:10
Responder
8.
PQP. PUXEI MEU EXTRATO E JÁ ESTOU SEM GRANA,
MESMO ANTES DO DIA DO PAGAMENTO.
QUE MERRECA O MEU SALÁRIO.
TIVE QUE PEDIR GRANA EMPRESTADA PRA MINHA MÃE, UMA VELHINHA QUE GANHA MAIS DO QUE EU.
QUERIA VER ESSES FDP VIVEREM COM ESSA MISÉRIA
QUE É NOSSO SALÁRIO.
ESTOU REVOLTADA.
E AINDA SOU OBRIGADA A AGUENTAR UM IDIOTA (O TITU)
PEGANDO NO MEU PÉ, DEPOIS DE TRABALHAR FEITO
UMA CAMELA.
TIAZONA
24/02/2011 em 21:35
Responder
9.
AMANHA TODOS NA PRAÇA DA SÉ AS 11:00 HORAS.
PARA QUE POSSAMOS TAMBEM TIRA O SECRETARIO, A HORA DELE ESTA CHEGANDO. FORA PINTO, A TIA JA FOI.
MELHORES CONDIÇÕES DE TRABALHO, SALARIO DIGNO, ETC.
ORDEM E PROGRESSO
24/02/2011 em 20:44
Responder
ESCRIVÃ VANESSA
TUDO SOBRE O CASO DA ESCRIVÃ QUE TEVE SUAS ROUPAS DESPIDAS PELOS DELEGADOS DA CORREGEDORIA
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ESTE E-MAIL MANDADO PELA VANESSA AO SITE DO DELEGADO CONDE REVELA UM ATO NAZISTA DA CORREGEDORIA - ESTE É O MAIOR ESCÂNDALO DA POLÍCIA BRASILEIRA. A POLÍCIA CIVIL ESTA A BEIRA DE UM MOTIM NO BAIXO CLERO DEVIDO OS SALÁRIOS E AS ARBITRARIEDADES DO ALTO-COMANDO. UMA VEERDADEIRA CRISE INSTITUCIONAL.
FONTE: FLIT PARALISANTE
Date: Mon, 31 Aug 2009 18:22:53 -0300
Subject: segue e mail que a escrivã enviou aos orgaos publicos
From
To: dipol@flitparalisante.com
Doutor Conde, não divulgue e FAVOR NÃO REVELAR MEU NOME E E-MAIL….OBRIGADO…… (POIS SAI DAQUI E ESTOU SENDO AMEAÇADO )….SR ENTENDE NÉ?
Boa noite e obrigada por ler meu e-mail….
Tentarei resumir ao máximo a tortura e humilhação pela qual passei…..
Sou escrivã de policia 3° classe, exercendo tal função há mais de sete anos, seis deles no 25° Distrito Policial em Parelheiros, periferia de São Paulo, com população em situação de extrema miséria, sou jovem, educada, esforçada (estou no ultimo semestre do curso de direito), recebi milhares de convites para outros departamentos mas amo a periferia e minha missão é auxiliar esse povo tão sofrido, tanto que moro cercada por favelas em local pobre, ando de onibus e sobrevivo bem com meu salario….
Agora vamos aos fatos, dia 15 de junho do fluente ano, estava em meu local de trabalho, quando estava no corredor, me dirigindo a sala do delegado, aproximadamente oito homens entraram com armas em punho, com muita gritaria, tua casa caiu…tua casa caiu, facilita…facilita, me mandavam entregar um dinheiro.
Me empurraram até minha sala e somente neste momento se identificaram como policiais da corregedoria. Passaram a me intimidar com gritos e ameaças, quando, desesperada, passei a chorar, o delegado Eduardo, que comandava tal operação revirou minha sala inteira, jogando todos meus pertences no chão. Ele disse que iria me revistar, então, devido ao meu pudor, sou uma mulher casada e todas minhas consultas ginecologicas são feitas com mulheres, pois tenho muita vergonha, de imediato solicitei que fosse revistada por uma policial feminina. O delegado, buscou uma policial militar feminina, a qual muito respeitosamente realizou a revista e nada localizou. O Dr. Eduardo então mandou que eu me despisse por inteira, passei a ficar indignada pois jamais tiraria minhas vestes na frente de oito homens desconhecidos e cheguei a solicitar de joelhos que fosse acionada uma delegada, investigadora ou escriva da corregedoria, visto que propus retirar a roupa somente na frente da policial feminina, respondendo o delegado que não confiava na policial e dizendo com tom ameaçador que só sairia dali ao me ver “pelada”, Cabe salientar que tudo estava sendo filmado por um investigador. Diante da minha negativa e meus gritos histericos para não me submeter a tal constrangimento, ninguem me socorreu, pois eles trancaram a porta da minha sala, o Dr. Eduardo muito irritado aos berros e entre ameaças passou a torcer meus braços para tras e tratando-se a minha pessoa de mulher, magrinha, gritei histericamente, pois sentia que meu braço iria sofrer uma fratura diante da força dele. Em seguida, vendo que jamais retiraria minhas vestes na frente daqueles homens, ainda mais filmando, ele me algemou com as mãos para tras, me jogou no chão e sequer abriu o botão da minha calça, puxou-a com tal violencia que a rasgou, após gritava ter encontrando o que queria, ou seja, o dinheiro que trazia nas mãos. Sem necessidade alguma, este “cumpridor” da lei abaixou minha calcinha, tendo eu percebido um sorriso no rosto dele. Fiquei ali no chão, com as pernas abertas, sem roupa, com minha intimidade exposta a todos aqueles homens, me senti violentada, tal como uma vitima de estupro. Tive que passar pela humilhação ainda de suplicar que o delegado subisse minha calcinha e minha calça, pois algemada não conseguia. Sai da delegacia algemada, com dois investigadores me segurando pelo pescoço. Fiquei na corregedoria das cinco horas da tarde às onze horas da data seguinte, sem saber porque estava sendo presa, sem beber ou comer nada, já não aguentando de fome, supliquei que me levassem logo ao presidio. Passei um mes presa por um flagrante forjado pela Corregedoria, afinal, nunca exigi, solicitei, pedi ou mesmo aceitei qualquer quantia de quem quer que fosse. As imagens da minha humilhação, vazaram e assim, virou alvo de chacotas e comentarios na policia inteira…..apesar de tudo, me disseram que o delegado iria desaparecer com a fita, pois não teria como justificar no decorrer do processo minhas lesões corporais (comprovadas atraves de laudo do iml) e que a filmagem iria manda-lo para a rua….
Pasmem-se, apesar de tal prisão ilegal fiquei um mes presa, tentei o suicidio, pois asseguro ser pessoa honesta e agora estou fragilizada como uma criança assustada, estou tomando calmantes e antidepressivos.
Tenho um otimo advogado, um senhor que percebeu que não tenho dinheiro suficiente e me cobrou um valor abaixo da tabela, dividido em parcelas, mas sozinha, não conseguira provar tanto minha inocencia quando o abuso sofrido, o que me deixou totalmente transtornada e traumatizada.
Estamos na era da ditadura? Até o momento não entendo como a corregedoria que deveria coibir crimes, preparou um flagrante e o fez mediante abusos e tortura…..
Narro tais fatos, chorando e querendo dar um tiro em minha cabeça….
Como se não bastasse meu processo administrativo e o inquérito acerca do abuso de autoridade estão no mesmo prédio – a Corregedoria…já estou percebendo o corporativismo no local……estou sem forças para lutar por meus direitos.
Obrigada pela atenção
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EU TAVA LÁ E VI!!!
24/02/2011 em 12:01
(ANONIMO QUE COMENTOU NO FLIT PARALISANTE
http://flitparalisante.wordpress.com/2011/02/24/
segue-e-mail-que-a-escriva-enviou-aos-orgaos-publicos/
O RELATO É VERDADEIRO.PORÉM ANONIMO POR OBVIOS MOTIVOS.
VI QUANDO ELA CHEGOU AO PEPC – FEMININO, ACABADA, CHORANDO MUITO E TOTALMENTE MACHUCADA, OS BRAÇOS DELA ERAM INTEIROS MARCADOS, DURANTE O MÊS QUE ELA PASSOU ALI QUASE NÃO COMIA, FICAVA COM O OLHAR PARADO LÁGRIMAS ESCORRENDO PELO ROSTO E QUANDO FALAVA ERA PARA DIZER QUE TINHA SIDO VIOLADA, MACHUDADA E HUMILHADA, PRECISOU DE TRATAMENTO PSIQUIATRICO SIM E DE MEDICAMENTOS FORTES PARA MANTER-SE CONTROLADA, NÓS QUE ALI ESTÁVAMOS TENTAVAMOS DE TODAS AS MANEIRAS ANIMÁ-LA E FAZE-LA TER FORÇAS PARA SUPERAR… PESSOAS MUITAS PESSOAS VENDO SUA SITUAÇÃO ORAVAM POR ELA…POIS ESTAVA FRAGILIZADA E TENTARA REALMENTE O SUICIDIO TANTO QUE UMA INTERNA DORMIA NA MESMA CELA QUE ELA PARA CUIDAR DE SUA INTEGRIDADE, AS FUNCIONÁRIAS CUIDARAM DELA POR TODO O TEMPO, ALIÁS, FUNCIONARIAS EXEMPLARES E TODAS MULHERES SENSIVEIS…TODAS QUE ALI ESTAVAM SE SOLIDARIZARAM DE ALGUMA MANEIRA, UMA TENTAVA FAZE-LA COMER, A OUTRA TENTAVA CONVERSAR COM ELA E DISTRAÍ-LA… MAS TUDO ERA EM VÃO… A TRISTEZA ERA CONTAGIANTE… ERA TRISTE… QUE DEUS ABENÇOE ESSA MENINA QUE TANTO SOFREU…
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Não costumo condecorar ladrões, arbitrários e corruptos. Contudo, mesmo a Vanessa sendo acusada de Concussão ou Corrupção, a forma como ela foi tratada pelos delegados da Corregedoria, não pode passar impune. Esta postagem é um clamor de
vingança e pedido de Justiça contra o que fizeram contra a escrivã que foi sim violentada em sua intimidade e sexualidade.
Não posso dizer que ela é criminosa porque não conheço os autos e nem mesmo o caso esta transitado em julgado. Mas uma certeza eu tenho. Os delegados foram criminosos e se o Ministério Público e o Poder Judiciário foram coniventes também devem ser punidos.
Estou perplexo porque nunca vi uma mulher detida, dominada, ser revistada desta forma. Se este procedimento for correto preciso voltar para a Academia de Policia, passar por reciclagem, porque desaprendi tudo sobre Técnicas de Abordagens Policial.
(Solicito a todos que enviem protestos para as autoridades competentes pedindo providências contra os delegados da Corregedoria)
SUGIRO INDENIZAÇÃO DE DUZENTOS MILHÕES E QUE O ESTADO REGRESSIVAMENTE COBRE DOS DELEGADOS DE POLÍCIA QUE FIZERAM ESTA OPERAÇÃO.
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Abaixo segue copia do e-mail que mandei para a ASSOCIAÇÃO DOS ESCRIVÃES DE POLÍCIA DO ESTADO DE SÃO PAULO.
Bom dia,
Caro diretor da Associação dos Escrivães de Polícia do Estado de São Paulo, venho por meio desta manifestar a minha revolta e indignação ao assistir o vídeo de VIOLÊNCIA SEXUAL cometida pelos delegados da Corregedoria que a pretexto de autuar a escrivã Vanessa em flagrante delito, deixaram de preservar a integridade e a intimidade daquela mulher.
O uso de algemas esta hoje sob forte controle de uma Sumula Vinculante que prevê inclusive a anulação do processo penal e a responsabilidade civil do Estado e mcaso de uso indevido, principalmente porque a vitima não representa perigo a vida da euqipe da Corregedoria. Não preciso me alongar muito no texto. Qualquer conhecedor mediano em Direito Penal e em Práticas Policiais sabe que aquela operação da Corregedoria parece filme pastelão como o que esta nas telas dos cinemas. ZÉ COLMEIA E CATATAU. Os indignos delegados fizeram inúmeras provas contra si.
Solicito a esta honrada Associação que nos representa que ingresse com ação civil contra os delegados da corregedoria, os policiais que acompanharam aquela diligência e que acataram ordem absurda. não esqueça do covarde, irresponsável, fraco e outros adjetivos inomináveis que se deve aplicar ao delegado da Vanessa que não interviu, mesmo a escrivã aos gritos pedindo socorro, ele foi omisso diante do crime e abuso de autoridade que se consumava a sua vista e na sua delegacia.
Aguardo uma resposta sobre a posição pública e nas medidas administrativas, civis e criminais que esta Associação tomará contra aqueles que feriram uma classe inteira. Em todas as delegacias procuramos tratar os presos em flagrante com toda a dignidade humana possível e não é aceitável que uma colega ao ser presa seja tratada com tanta humilhação como nunca antes eu tinha visto ou ouvido falar.
Estou legendando o vídeo para o espanhol, inglês, francês e italiano, estou encaminhando esta notícia a todos os órgãos nacionais e internacionais que lutam pelos Direitos Humanos e peço que esta Associação como legítima representante dos escrivães do Estado de São Paulo dê uma resposta a altura para os que abusaram e violentaram a Vanessa, NA DELEGACIA.
Valdemir Mota de Menezes
escrivão de Polícia
3a Classe
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enviei e-mail com o mesmo teor para a Ouvidoria dos Direitos Humanos do Governo Federal do Brasil.
Assunto: ESCRIVÃ VIOLENTADA EM SUA INTIMIDADE POR DELEGADOS
De: valdemir.menezes@policiacivil.sp.gov.br
Data: Qua, Fevereiro 23, 2011 15:46
Para: ouvidoria@sedh.gov.br
Prioridade: Normal
MANDE E-MAIL E COBRE UMA ATITUDE DO ESTADO
http://www.direitoshumanos.gov.br/ogc
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e-mail que envie para a Presidente do Brasil Dilma Rousseff
http://www.presidencia.gov.br/fale-conosco
Excelentíssima Presidente
Venho por meio desta manifestar a minha revolta e indignação ao assistir o vídeo de VIOLÊNCIA SEXUAL cometida pelos delegados da Corregedoria que a pretexto de autuar a escrivã Vanessa em flagrante delito, no 25o DP de São Paulo, no ano de 2009, deixaram de preservar a integridade e a intimidade daquela mulher.
O uso de algemas esta hoje sob forte controle de uma Sumula Vinculante que prevê inclusive a anulação do processo penal e a responsabilidade civil do Estado em caso de uso indevido, principalmente porque a vitima não representava perigo a vida da equipe da Corregedoria. Não preciso me alongar muito no texto. Qualquer conhecedor mediano em Direito Penal e em Práticas Policiais sabe que aquela operação da Corregedoria parece filme pastelão como o que esta nas telas dos cinemas. ZÉ COLMEIA E CATATAU. Os indignos delegados fizeram inúmeras provas contra si.
Solicito a esta honrada autoridade que nos representa que ingresse com medidas cabíveis e intercedendo junto ao Governador do Estado de São Paulo para que se tome providencias contra os delegados da corregedoria, os policiais que acompanharam aquela diligência e que acataram ordem absurda. não esqueça do covarde, irresponsável, fraco e outros adjetivos inomináveis que se deve aplicar ao delegado da Vanessa que não interviu, mesmo a escrivã aos gritos pedindo socorro, ele foi omisso diante do crime e abuso de autoridade que se consumava a sua vista e na sua delegacia.
Em todas as delegacias procuramos tratar os presos em flagrante com toda a dignidade humana possível e não é aceitável que uma colega ao ser presa seja tratada com tanta humilhação como nunca antes eu tinha visto ou ouvido falar.
Estou legendando o vídeo para o espanhol, inglês, francês e italiano, estou encaminhando esta notícia a todos os órgãos nacionais e internacionais que lutam pelos Direitos Humanos e peço que Vossa Excelencia, como maior autoridade Nacional dê uma resposta a altura para os que abusaram e violentaram a Vanessa, NA DELEGACIA.
Valdemir Mota de Menezes
escrivão de Polícia
3a Classe
Lotado no 3o DP de São Vicente/SP
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MNESAGEM DE INDIGNAÇÃO QUE MANDEI PARA A ANISTIA INTERNACIONAL
http://br.amnesty.org/
Nos útlimos dias, para ser mais preciso, desde o dia 18 de fevereiro de 2011 o maior escândalo da POLÍCIA CIVIL DE SÃO PAULO veio a público com a divulgação na internet (Youtube e milhares de sites) de uma escrivã de policia que sob pretexto de ser revistada para apurar denuncia de que estava recebendo propina, foi torturada por cerca de uma hora psicologicamente e depois foi algemada na frente de vários homens e teve sua roupa arrancada por vários delegados da corregedoria. O Brasil esta chocado e só se fala nisso. É preciso pressionar o governo para que tenhamos credibilidade que neste país a integridade da pessoa humana deve ser preservada. Olhem no Youtube, acompanhem o desdobramento e cobrem do governador de São Paulo que considerou grave o vazamento do video e não a tortura que a Vanessa sofreu.
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fonte:
http://www.pannunzio.com.br/?p=7281
25/02/2011
Operação Pelada: flagrante contra escrivã foi preparado. Não há provas de concussão no inquérito
February 25 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Primeira Mão, Segurança Tags: escrivã, Operação Pelada, sevícias
Ao contrário do que afirmou a ex-corregedora-geral da Polícia Civil de São Paulo, Maria Inês Trefiglio Valente, não há nenhuma prova de prática de crime de concussão no inquérito criminal aberto para investigar a escrivã V.S.L.F. Ela foi vítima de humilhação e abuso de autoridade por parte de uma equipe da Corregedoria que investigava a denúncia de um homem que se dizia achacado pela policial.
No inquérito há o registro de três diálogos entre a escrivã e o denunciante — dois deles feitos por instrução e com o acompanhamento dos delegados que despiram à força e humilharam a escrivã. Em nenhum deles V. exige dinheiro de seu interlocutor, o que seria necessário para a materialização do crime a ela imputado.
Dois criminalistas consultados pelo Blog disseram que há evidências sobejas de que o flagrante foi preparado, o que fatalmente irá desqualificar as provas no curso da ação penal. O procedimento desastrado, batizado pelo Blog de “Operação Pelada”, foi denunciado em primeira mão pelo Blog do Pannunzio e pela Rede Bandeirantes. O video que registra as sevícias, feito pelos próprios agentes da Corregedoria, pode ser visto aqui. A repercussão do caso levou à demissão de Trefiglio da Corregedoria.
O caso vinha sendo acobertado há um ano e meio pela corregedoria. A ex-corregedora afirmou que a brutalidade dos policiais “foi necessária”, mas não explicou o por quê. O Blog obteve acesso à íntegra do processo, sobre o qual não foi decretado segredo de justiça. A ação tramita na Vigésima-Sétima Vara Criminal do Forum da Barra Funda. A leitura do material deixa claro que a escrivã jamais exigiu dinheiro do denunciante, contrariando frontalmente as afirmações da Corregedoria.
Dentro de instantes, o Blog do Pannunzio vai publicar uma compilação da degravação dos diálogos mantidos pelo denunciante com a escrivã.
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http://jc.uol.com.br/canal/cotidiano/nacional/noticia/2011/02/21/
policiais-tiram-a-roupa-de-escriva-acusada-de-extorsao-258261.php
Nacional // São Paulo
Policiais tiram a roupa de escrivã acusada de extorsão
Publicado em 21.02.2011, às 16h43
Do Jornal do Commercio
Uma escrivã de polícia acusada de extorsão teve sua roupa tirada por uma equipe da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo durante uma revista. A policial se negou a ficar nua perante policiais homens, mas acabou tendo a calça jeans e calcinha arrancadas à força. Na peça íntima, foram encontrados R$ 200. O fato, que foi filmado pelo órgão, ocorreu em 15 de junho de 2009, mas o vídeo do abuso policial vazou na internet na semana passada.
» Clique aqui caso queira ver o vídeo publicado no Youtube [contém cenas de violência e nudez]
A Corregedoria arquivou o inquérito que investigava dois delegados suspeitos de abuso de autoridade durante a prisão da escrivã, que atuava no 25º Distrito Policial (DP), no bairro de Parelheiros, Zona Sul de São Paulo. Em Pernambuco, relatos de violação de direitos humanos publicados no Jornal do Commercio nas duas últimas semanas resultaram no afastamento de 22 policiais.
No vídeo, de 12 minutos e 49 segundos, os policiais Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, ambos da Corregedoria, conduzem a abordagem. A vítima era investigada pelo crime de concussão, extorsão promovida por servidor público. Durante todo o tempo, a escrivã exige a presença de policiais mulheres para ser revistada. “Não tem cabimento vocês me verem pelada”, diz ela, em um trecho. “Vamos fazer como manda a lei, a lei diz que a revista pode ser feita em homem e em mulher”, responde um dos delegados. “Pode me revistar, mas não pode me deixar nua”, rebate ela. “Pode sim, senhora. O Código do Processo Penal fala isso”, retruca ele.
Em vários momentos, a mulher grita enquanto Eduardo Filho, um policial militar e uma guarda civil mulher tentam deixá-la sem roupa. “Na frente desses homens, eu não vou ficar nua. Não tira minha roupa”, grita a vítima, que chega a pedir “pelo amor de Deus”. Os policiais da Corregedoria, alheios aos clamores da escrivã, dizem apenas que ela “está atrapalhando” o trabalho deles. “Não existe outra possibilidade”, avisa o delegado.
A mulher esperneia, implora, chega a chorar, pede para pararem de filmar a abordagem, mas em vão. A escrivã tem a calça e a calcinha tiradas e tudo é filmado. Ao fim do vídeo, um policial exibe quatro notas de R$ 50 que estariam escondidas na peça íntima dela, exibe o dinheiro da propina para a câmera e repete que ela está presa em flagrante por extorsão. “Eu sou o condutor da sua cana”, finaliza. Não se sabe quem vazou o vídeo.
A vítima acabou sendo expulsa da Polícia Civil, após responder a investigação interna. Seus advogados recorreram. “Foi um excesso desnecessário. Ela só não queria passar pelo constrangimento de ficar nua na frente de homens”, disse o advogado Fábio Guedes da Silveira. A escrivã ainda responde a processo criminal, cuja primeira audiência deve ocorrer em maio.
Já a Corregedoria alega que não houve excesso na ação dos delegados. A corregedora Maria Inês Trefiglio Valente afirmou que eles agiram dentro do poder de polícia e os classificou como “corajosos”. Eduardo Filho e Gustavo Gonçalves continuam trabalhando na Corregedoria da Polícia Civil.
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O secretário da Segurança Pública, ao tomar conhecimento das imagens veiculadas pela Rede Bandeirantes de Televisão, relacionadas com operação desenvolvida pela Corregedoria da Polícia Civil em 15 de junho de 2.009, determinou a saída dos delegados de polícia EDUARDO HENRIQUE DE CARVALHO FILHO e GUSTAVO HENRIQUE GONÇALVES, lotados até a presente data na Corregedoria.
O terceiro delegado de polícia que participou da diligência, RENZO SANTI BARBIN, já não mais integra os quadros daquele Departamento.
Determinou ainda a instauração de Processo Administrativo Disciplinar para apurar a responsabilidade funcional de cada um deles, bem como do delegado de polícia EMÍLIO ANTONIO PASCOAL, à época titular da Divisão de Operações Policiais da Corregedoria, que concorreu para o desfecho daquela intervenção policial.
Por fim, determinou a expedição de ofício ao Exmo. Sr. Procurador de Justiça manifestando perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade, pelo representante do Ministério Público oficiante, à época, junto ao juízo criminal da Vara Distrital de Parelheiros.
FONTE: FLIT PARALISANTE
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Anúncio foi feito por meio de nota na noite desta segunda.
Delegados da Corregedoria em SP deixaram escrivã nua à força.
escriva620
Ex-escrivã se diz traumatizada até hoje (Foto: Marcelo Mora/G1)
O secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, determinou na noite desta segunda-feira (21) o afastamento de dois delegados lotados na Corregedoria da Polícia Civil. Eles aparecem em um vídeo em que uma ex-escrivã é obrigada a ficar nua para ser revistada.
A cena foi gravada em 15 de junho de 2009, em uma sala do 25º DP, em Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo, mas caiu na internet e ganhou notoriedade.
Um terceiro delegado que também esteve envolvido na ação da Corregedoria já não integra mais os quadros do departamento, de acordo com a nota.
O vídeo exibe os corregedores tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã suspeita de corrupção. Ela respondeu a processo administrativo e foi exonerada da Polícia Civil. O inquérito criminal ainda corre na Justiça.
O secretário determinou a instauração de processo administrativo disciplinar para apurar "a responsabilidade funcional" de cada um dos corregedores, bem como do delegado titular da Divisão de Operações Policiais da Corregedoria à época, que, segundo a nota, "concorreu para o desfecho daquela intervenção policial".
O secretário também determinou a expedição de ofício ao procurador de Justiça "manifestando perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade pelo representante do Ministério Público".
Veja noticia aqui!
Entrevista
Em entrevista ao G1 nesta segunda, a ex-escrivã de 29 anos disse que se sente humilhada em dobro agora que o vídeo com a cena dentro da delegacia foi postado na internet. “É uma dupla humilhação, no dia e agora”, lamentou. Ela não quis ter o nome divulgado.
“Eles (da Corregedoria) entraram gritando, apontando armas. Naquele momento, eu não conseguia entender o que eles gritavam”, contou a ex-escrivã. Toda a seqüência durou de 40 a 50 minutos. Ela disse não ter percebido quando a ação dos corregedores começou a ser filmada.
Segundo a ex-escrivã, em momento algum ela se recusou a ser revistada. Ela insistia apenas para que a revista fosse feita por uma mulher, como determina a lei. “Chamaram uma policial feminina e uma GCM (guarda-civil metropolitana) feminina, mas não deixaram que fizessem a revista”, disse.
“Na hora, senti desespero, acuada por aqueles homens, em uma situação humilhante. Na hora que tiraram a minha roupa, eu pedi pelo amor de Deus para não filmar a minha intimidade. Foi uma violência; como mulher, fui violentada”, enfatizou.
FONTE:
https://kafzone.wordpress.com/2011/02/21/
corregedores-que-deixaram-escriv-nua-so-afastados/
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Marcelo Mora
Do G1 SP
A ex-escrivã de 29 anos que teve a calça e a calcinha arrancadas por policiais da Corregedoria da Polícia Civil e deixada nua em uma sala do 25º DP, em Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo, em junho de 2009, disse nesta segunda-feira (21) que se sente humilhada em dobro agora que o vídeo com a cena dentro da delegacia foi postado na internet. “É uma dupla humilhação, no dia e agora”, lamentou. Ela não quis ter o nome divulgado.
Em uma cadeira no escritório de seu advogado, no Jabaquara, também na Zona Sul, a mulher, loira e de olhos azuis, manteve os braços cruzados durante a entrevista. Olhou para o lado a cada pergunta feita para tentar obter a anuência de seu defensor para conceder ou não a resposta.
Depois da humilhação sofrida há um ano e meio, a ex-escrivã tem que voltar a lidar com as recordações do episódio ao qual foi submetida. O vídeo feito pela Corregedoria da Polícia Civil na ocasião foi postado recentemente na internet – e o fato ganhou notoriedade.
A Secretaria da Segurança Pública informou que a Corregedoria não tem responsabilidade no vazamento do vídeo. O governador Geraldo Alckmin afirmou nesta segunda ter determinado a apuração dos fatos. "Como eu acho que a gente deve ter cuidado nessas coisas, determinei à Secretaria da Segurança Pública que reveja o caso."
Vídeo
No vídeo, ela aparece sendo despida. Nas imagens, é possível ver a ex-escrivã sentada enquanto ouve sucessivos pedidos para que tire a roupa por causa da suspeita de que tenha escondido o dinheiro recebido como propina para livrar um homem de investigação.
Vídeo gravado pela Corregedoria foi parar na
internet (Foto: Reprodução)O caso começou quando um homem envolvido em um inquérito no 25º DP por ter sido flagrado em posse de munições procurou o Ministério Público para denunciar a ex-escrivã, que segundo ele havia pedido uma quantia em dinheiro para livrá-lo da investigação. O MP, então, acionou a Corregedoria da Polícia Civil.
O homem foi orientado a prosseguir com as negociações com a ex-escrivã e, na data marcada para a entrega do dinheiro, o processo foi acompanhado por policiais da Corregedoria. Após a entrega da quantia, a policial foi abordada e a gravação foi iniciada, conforme disse ao G1, no sábado (19), a corregedora-geral da Polícia Civil de São Paulo, Maria Inês Trefiglio Valente.
De acordo com Maria Inês, o vídeo tem mais de 40 minutos e mostra toda a negociação para que a ex-escrivã entregasse o dinheiro, considerado a prova do crime. A gravação foi feita, segundo a corregedora, “para a garantia de todos“, como é comumente feito em ações da Corregedoria.
Violentada
“Eles (da Corregedoria) entraram gritando, apontando armas. Naquele momento, eu não conseguia entender o que eles gritavam”, contou a ex-escrivã. Toda a sequência durou de 40 a 50 minutos. Ela disse não ter percebido quando a ação dos corregedores começou a ser filmada.
Segundo a ex-escrivã, em momento algum ela se recusou a ser revistada. Ela insistia apenas para que a revista fosse feita por uma mulher, como determina a lei. “Chamaram uma policial feminina e uma GCM (guarda-civil metropolitana) feminina, mas não deixaram que fizessem a revista”, disse.
Em seguida, ela confirmou que chegou a ser revistada pela policial militar. “Revistou superficialmente, mas o delegado (corregedor) queria que eu tirasse a roupa.” Ela disse que entrou em desespero e começou a clamar pela ajuda do então delegado titular do distrito na ocasião, Renato Luís Engler Pinto.
“Na hora, senti desespero, acuada por aqueles homens, em uma situação humilhante. Na hora que tiraram a minha roupa, eu pedi pelo amor de Deus para não filmar a minha intimidade. Foi uma violência; como mulher, fui violentada”, enfatizou.
No entanto, ela isentou de qualquer culpa seus colegas de trabalho. “Ninguém pode fazer nada, eles (da Corregedoria) foram extremamente arbitrários ali, estavam acima da lei ali”, contou. Segundo ela, o delegado titular retirou da sala todos os funcionários da delegacia momentos antes de ela ter as vestes retiradas e ser deixada nua da cintura para baixo.
A ex-escrivã não soube dizer por que o vídeo com as cenas humilhantes pelas quais passou foi postado na internet. O vazamento, disse, contribuiu significativamente para aumentar o seu trauma.
Mesmo que a sua defesa consiga reverter na Justiça a decisão que a exonerou do cargo, por suspeita de concussão, em um processo administrativo, ela considera difícil voltar a trabalhar em uma delegacia. Desde o ocorrido, ela conta com a ajuda dos pais para viver. “Pelo meu psicológico, acho que não dá. Estou traumatizada até hoje”, disse.
Prova ilícita
Fábio Guedes Garcia da Silveira, advogado da ex-escrivã, disse que durante o processo administrativo não teve acesso ao vídeo gravado pela Corregedoria. “O vídeo que está na internet tem apenas 12 minutos. É preciso saber o que tem no restante do vídeo, que tem mais de 30 minutos.”
Ele disse que lhe foi permitido o acesso apenas às degravações das conversas de sua cliente com o denunciante. “Em momento algum se depreende que a minha cliente pede algo ao denunciante”, disse.
Segundo ele, o vídeo que caiu na internet deixa claro que os corregedores agiram com truculência. Por isso, a suposta prova contra sua cliente foi obtida de forma ilícita. “O primeiro passo agora, independentemente do inquérito criminal, é reverter a demissão dela e pedir a reintegração dela à Polícia Civil. E quanto à ação por danos morais há um prazo de três anos para entrar com o pedido. Esse seria um segundo passo”, disse.
Para o advogado, no entanto, o estrago está feito. “É complicado, não tem como reparar o mal causado a ela. Um mal que agora se tornou público. É como se eu subisse em um prédio e rasgasse um travesseiro de penas lá no alto e depois descesse para tentar recuperar cada pena”, ilustrou, sobre as imagens que caíram na internet.
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PS: Fiquei na dúvida em reproduzir as imagens que já circulavam em jornais de TV somente editadas... Falam que existem mais 30 minutos de gravação, não acho que vá fazer diferente; estes instantes acima sem edição são esclarecedores e é o que basta... Não acho que seja tão mais prejudicial à moça do que ela se remoer pelo resto da vida com sua indignação no silêncio... A exposição na Rede irá lhe permitir brigar por indenização que com torna certeza receberá... Mais uma vez a Internet marcou presença colocando em debate na sociedade comportamentos "sabe com quem está falando?" (agora dos corregedores) que devem ser revistos... Jorge Schweitzer
fonte:
http://taxiemmovimento.blogspot.com/2011/02/entrevista-com-ex-escriva-que-teve.html
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Publicado no site do SEPESP
O NOVO SINDICATO DOS ESCRIVÃES DE POLICIA CONVOCA TODOS PARA MANIFESTAÇÃO A SER REALIZADA EM 25.02 AS 11HS
CONVOCAMOS TODOS PARA MANIFESTAÇÃO A SER REALIZADA NA PRÓXIMA SEXTA-FEIRA, DIA 25.02, AS 11HS.
CONCENTRAÇÃO NA PRAÇA DA SÉ E CAMINHADA ATÉ O GABINETE DO SECRETÁRIO DE SEGURANÇA PÚBLICA.
NOSSA REINVIDICAÇÃO:
EXONERAÇÃO DOS DELEGADOS EDUARDO HENRIQUE DE CARVALHO FILHO E GUSTAVO HENRIQUE GONÇALVES
AFASTAMENTO IMEDIATO DA DIRETORA DA CORREGEDORIA GERAL DA POLICIA CIVIL
A MANIFESTAÇÃO CONTARÁ COM CARRO DE SOM E SE INICIARÁ AS ONZE HORAS.
CONTAMOS COM A COLABORAÇÃO E UNIÃO DE TODOS.
A DIRETORIA
FONTE:
http://investigadordepolicia.blog.br/
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Policial Civil é despida por colegas em busca pessoal
19fev2011 Em: Ronda, Vídeos Policiais Autor: Danillo Ferreira
O vídeo em destaque traz imagens de uma policial civil suspeita de receber propina numa delegacia da Polícia Civil de São Paulo, sendo pressionada por colegas, incluindo três delegados, para que sofresse uma busca pessoal. Em momento nenhum ela se recusa a passar pelo procedimento, mas pede que isso seja feito por mulheres. Apesar da exigência da policial (legítima e legal), e com a presença de duas mulheres na sala, uma PM e uma agente municipal, o delegado responsável pela “operação” (toda filmada) determina que a escrivã seja algemada, e, pasmem, a policial é despida à força. Um ato que merece o repúdio público, mesmo que haja provas que atestem o crime da ex-policial, hoje demitida da Polícia Civil.
FONTE:
http://abordagempolicial.com/2011/02/
policial-civil-e-despida-por-colegas-em-busca-pessoal/
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estadao.com.br, Atualizado: 22/2/2011 0:05
Delegados acusados de abuso ao revistar escrivã são afastados da Corregedoria
A Secretaria da Segurança Pública determinou ontem o afastamento dos delegados Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves da Corregedoria da Polícia Civil. Os dois são acusados de abuso de autoridade durante operação em 2009, quando despiram uma então escrivã de polícia.
Foi aberto processo administrativo também contra outros dois delegados. A revista ocorreu no 25.º DP, em Parelheiros. A escrivã teria cobrado R$ 200 de um suspeito para liberá-lo. Ao ser surpreendida, escondeu o dinheiro na calcinha. A revista foi filmada. Em 2010, ela foi demitida e responde a processo criminal. Ela nega o crime. O Ministério Público vai apurar se houve abuso. Ontem, o governador Geraldo Alckmin disse que, apesar de a Justiça não ter constatado anormalidade na ação, determinou revisão do caso.
FONTE:
http://estadao.br.msn.com/ultimas-noticias/artigo.aspx?cp-documentid=27758555
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Recurso
O advogado Fabio Guedes Garcia da Silveira, que defende a ex-escrivã no processo administrativo - o que resultou na expulsão - contou ao G1 que recorreu da decisão e apresentou recurso, em novembro do ano passado, à Secretaria da Segurança Pública de São Paulo. Até este domingo, ele afirmou não ter recebido resposta.
Silveira pede que a expulsão da policial seja revista porque a prova - o dinheiro - foi adquirida de forma ilícita e, segundo ele, o vídeo não foi exibido para a Promotoria durante o processo. ”O promotor e o juiz não devem ter tido acesso ao vídeo e queremos que as imagens sejam analisadas. Em tese, um erro não justifica o outro. Eu entendo que a prova foi obtida por meio ilícito, e a revista foi ilicíta”, disse Silveira, citando que o Código de Processo Penal estabelece a revista de mulheres apenas por outra mulher.
Abuso de poder
Um inquérito foi aberto para apurar um possível abuso por parte do corregedor. “O promotor diz que não houve crime e não houve elemento subjetivo para crime de abuso. Os promotores do Gaeco se manifestaram da mesma forma. O Judiciário disse que eles usaram a força adequada”, explicou Maria Inês. O inquérito foi arquivado em janeiro de 2010.
De acordo com a corregedora geral, o caso não foi divulgado na época para preservar a imagem da escrivã.
fonte:
http://www.delegados.com.br/noticias/
video-complica-caso-de-escriva-despida-em-delegacia.html
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OAB diz ter avisado governo sobre vídeo de ex-escrivã despida à força
Ofício foi enviado em novembro, segundo presidente Luiz Flávio D´urso
22/02/2011 - 21:10
Globo.com/G1
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Kleber Tomaz e Roberta Steganha Do G1 SP
A Ordem dos Advogados do Brasil em São Paulo (OAB-SP) informou nesta terça-feira (22) que comunicou o governo paulista em novembro do ano passado sobre a existência do vídeo que mostra delegados da Corregedoria da Polícia Civil despindo à força uma escrivã suspeita de corrupção dentro de uma delegacia na capital paulista. As imagens com a ação, ocorrida em 15 de junho de 2009 no 25º Distrito Policial, em Parelheiros, na Zona Sul, vazaram e foram parar recentemente na internet.
O G1 teve acesso aos ofícios que o presidente da OAB-SP, Luiz Flávio Borges D´Urso, disse ter encaminhado em 4 de novembro ao então governador Alberto Goldman, ao presidente do Tribunal de Justiça de São Paulo (TJ-SP) na época, o desembargador Antônio Carlos Viana Santos, morto em 26 de janeiro deste ano, ao procurador geral de Justiça de SP, Fernando Grella Vieira, e ao secretário da Segurança Pública, Antonio Ferreira Pinto.
Nos documentos, assinados por D´Urso, ele escreve que entrega às autoridades “cópia de ofício, bem como de DVD (...) para as providências que julgar cabíveis” em relação às cenas gravadas pela Corregedoria. O advogado Fábio Guedes, que defende a ex-escrivã, disse ter enviado fragmentos do vídeo à entidade em 18 de outubro do ano passado.
"A Corregedoria pode abrir precedentes ao avaliar como positiva a ação policial diante da revista à escrivã, que foi deixada nua à força por colegas dentro de uma delegacia de São Paulo. O processo foi realizado por homens, fato que chamou a atenção da OAB, por violar a lei”, disse a entidade na nota.Em nota divulgada nesta terça, a OAB informou que havia fornecido cópia das cenas obtidas em que os agentes da Corregedoria tiram a calça e a calcinha da escrivã por entender que houve violação da lei na revista feita por homens. Segundo a ordem, somente uma policial feminina pode fazer esse tipo de vistoria.
Governo
O G1 procurou a assessoria de imprensa do governo paulista para comentar o assunto. Segundo a assessoria de imprensa, o documento da OAB não foi localizado até o início da noite desta terça.
Na segunda, o governador eleito Geraldo Alckmin (PSDB) classificou como “grave” o vazamento do vídeo da ação da corregedoria contra a escrivã.
TJ-SP
A assessoria do Tribunal de Justiça disse que o documento da OAB foi arquivado, pois o órgão constatou que tanto a Secretaria da Segurança Pública como o Ministério Público haviam recebido o material, aos quais competiam as investigações. O atual presidente em exercício do TJ-SP é Antônio Luiz Reis Kuntz.
Ministério Público
O G1 também entrou em contato com a Procuradoria-Geral de Justiça. Segundo o órgão, o procurador Grella Vieira está em viagem fora de São Paulo. O Ministério Público Estadual de São Paulo disse que vai apurar se os quatro delegados da Corregedoria da Polícia Civil, responsáveis por investigar ilegalidades praticadas por policiais, e outros agentes públicos cometeram abuso de autoridade contra uma então escrivã dentro de uma delegacia na capital paulista.
A Promotoria de Justiça instaurou procedimentos para apurar a denúncia a partir das notícias veiculadas na imprensa.
Segundo a Procuradoria, o caso “já é objeto de investigação” dos promotores do Grupo de Atuação Especial de Controle Externo da Atividade Policial (Gecep), do Ministério Público. Segundo a assessoria de imprensa do MP, a Procuradoria recebeu uma representação em dezembro de 2010 para a reabertura das investigações sobre o fato e o encaminhou ao Gecep.
Os outros promotores que irão apurar o caso são da Promotoria do Patrimônio Público e Social. Segundo o MP, na segunda-feira (21), o órgão “instaurou procedimento para apurar a possível ocorrência de abuso e ilegalidade, além da prática de atos de improbidade administrativa por parte de delegados de polícia e outros agentes públicos, naquela ocorrência”.
De acordo com esse procedimento, os agentes policiais, sob a alegação de realizar revista e prisão da escrivã, por suposto crime de corrupção, “submeteram-na a forte humilhação e violência, utilizando-se de força bruta para algemá-la, despi-la e expor suas partes intimas na presença de quem estivesse na sala, muito embora a mesma jamais se recusasse a ser revistada ou mesmo despir-se, desde que na presença e por outras mulheres”.
SSP
Procurada, a assessoria de imprensa da Secretaria da Segurança Pública informou que mantém o posicionamento da última nota oficial, divulgada na noite de segunda. Não houve resposta sobre o documento da OAB.
Na nota, o secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, determinou o afastamento de dois delegados lotados na Corregedoria da Polícia Civil.
Com a divulgação do vídeo na internet e sua repercussão, o secretário também determinou a nova instauração de processo administrativo disciplinar na Corregedoria da Polícia Civil para apurar a responsabilidade dos delegados envolvidos naquela ação de 2009. No sábado (19), a corregedora Maria Inês Trefiglio Valente disse que não houve abuso e que os policiais agiram "dentro do poder de polícia".
Durante a apuração do MP na época dos fatos, um promotor disse que despir a então escrivã foi consequência do transcorrer da operação policial contra ela.
Ainda na nota, o secretário da Segurança Pública informou que enviará ofício ao chefe do Ministério Público "manifestando perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade, pelo representante do Ministério Público oficiante, à época, junto ao juízo criminal da Vara Distrital de Parelheiros".
Para conseguir flagrar esse dinheiro, a Corregedoria obrigou a escrivã a tirar a roupa na frente de policiais homens. Ela se recusou e disse que só se despiria na presença de mulheres. Mas um delegado disse que era preciso a presença dele na sala para que a escrivã não alegasse que a PM e a GM forjaram a prova do crime, caso encontrassem algum dinheiro com ela.
O caso
Em 15 de junho de 2009, a ex-escrivã, atualmente com 29 anos, teve a calça e a calcinha arrancadas à força na presença dos delegados da corregedoria, de uma policial militar e uma guarda municipal dentro do 25º DP. A equipe da Corregedoria a investigava por crime de concussão (quando um servidor exige o pagamento de propina). Ela era acusada de cobrar R$ 200 de um suspeito de porte ilegal de arma para favorecê-lo no inquérito.
Nenhuma policial feminina da corregedoria surgiu para acompanhar a operação. Mesmo assim, os policiais homens a algemaram com as mãos para trás. Em seguida, a jogaram no chão, a seguraram e abaixaram suas roupas, deixando-a nua da cintura para baixo. Toda essa ação foi gravada pela corregedoria. Doze de um total de 45 minutos do vídeo caíram recentemente na internet e foram parar no site Youtube.
Nas imagens, logo após a escrivã ficar seminua, o delegado responsável pela investigação aparece com quatro notas de R$ 50 e dá voz de prisão à escrivã. À época, ela cursava o 5º ano de direito. A mulher respondeu a processo administrativo e foi exonerada da Polícia Civil em outubro de 2010. A corregedoria concluiu que os delegados envolvidos na ação agiram com “moderação” e arquivaram o inquérito contra os policiais. Eles alegaram que o vídeo da operação policial contra ela mostra as tentativas de que ela se deixasse revistar sem o uso da força.
O advogado da ex-escrivã tenta reverter sua exoneração da Polícia Civil. O inquérito criminal ainda corre na Justiça. A primeira audiência do caso só deverá ocorrer em maio, conforme seus advogados.
"Foi um excesso desnecessário. Ela só não queria passar pelo constrangimento de ficar nua na frente de homens", disse o advogado Fábio Guedes da Silveira.
Em entrevista ao G1 na segunda, a ex-escrivã, que não quis ter o nome divulgado, afirmou que se sente humilhada em dobro com a veiculação do vídeo na internet com a cena dentro da delegacia. “É uma dupla humilhação, no dia e agora”, disse a mulher, que preferiu não comentar a acusação.
O G1 não conseguiu localizar os delegados afastados da corregedoria pelo secretário para comentar o assunto.
fonte
http://eptv.globo.com/noticias/NOT,0,0,337002,OAB+diz+ter+avisado
+governo+sobre+video+de+ex-escriva+despida+a+forca.aspx
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Na página da internet abaixo vocẽ encontrará uma Reportagem da Rede Globo em que a escrivã dá entrevista e ainda o Presdiente do Sindicato dos Delegados diz que o Ato dos delegados foi imoral e incostitucional.
http://eptv.globo.com/noticias/NOT,0,0,337002,
OAB+diz+ter+avisado+governo+sobre+video+de+ex-escriva+despida+a+forca.aspx
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COMENTÁRIOS DE POPULARES NA INTERNET SOBRE O CASO
Fábio. Li atentamente os comentários a respeito deste caso. Aguns afirmam que os delegados estão corretos ao revistar a escrivã, já que ela é corrupta. Primeiro. Não ficou provado, por meio das imagens, que ela seja culpada. Segundo. Mesmo que fosse provada corrupção é evidente que ela não deveria ser tratada daquela maneira. Pela lei ela tinha o direito de ser revistada por uma mulher. Não havia necessidade daquela selvageria.
Será possível que as pessoas não sabem separar casos diferentes ? Um. Ela é culpada ou inocente? Dois. Mesmo culpada ela precisaria passar por constrangimento, falta de respeito ?
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Essa é a "Polícia da Polícia"??? Então ficou difícil para nós, cidadãos comuns. A partir de agora, qualquer Delegado de plantão vai achar que pode fazer igual. Vai virar um terror. E com o aval do Ministério Público. Salve-se quem puder.
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fonte
http://www.pannunzio.com.br/?p=7038
Polícia X polícia: as cenas impressionantes de um flagrante de coação moral
February 18 | Posted by Fábio Pannunzio | Manchetes, Notícias, Primeira Mão, Segurança, Sem categoria Tags: abuso de autoridade, assédio, polícia, sevícias
As cenas que você vai ver abaixo foram registradas nas dependências do Vigésimo-quinto Distrito Policial de São Paulo no dia 15 de junho de 2009. Mais do que chocantes, são emblemáticas do desrespeito com que policiais costumam tratar pessoas que estão sob investigação. Até quando os investigados são colegas de corporação.
As imagens que o Blog do Pannunzio e o Jornal da Band publicam em primeira mão foram feitas por ordem dos delegados Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, ambos da Corregedoria da Polícia Civil — curiosamente os protagonistas desse thriller moral. Eles foram à delegaciade Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo, para prender flagrante a escrivã V.F.S.L. Ela acabara de livrar da cadeia um homem supostamente deveria sr autuado por porte ilegal de arma que, em contrapartida, teria pago R$ 250 de propina.
Quando a equipe da Corregedoria chegou, V.F.S.L., acuada, tentou entregar o dinheiro ao delegado titular. Tarde demais. Além de estar de posse das cinco notas de R$ 50, não conseguiu explicar por que não deu voz prisão ao suspeito por tentativa de suborno, o que seria suficiente para mantê-lo trancafiado durante alguns dias. Os delegados-corregedores sabiam de absolutamente tudo o que havia se passado minutos antes . Tinham, inclusive, informações precisas do local onde a escrivã havia ocultado o suposto suborno: dentro da calcinha.
Tudo o que aconteceu a partir desse momento está registrado no vídeo abaixo. Durante quase 13 minutos os delegados tentaram convencê-la a se despir para passar por uma revista íntima. Em momento algum V.F.S.L. tentou resistir. Sua única exigência foi a de que a busca fosse feita por policiais do sexo feminino, como prescreve o Artigo 249 do Código de Processo Penal.
A sala onde tudo a prisão em flagrante foi feita estava cheia de policiais do sexo masculino. Havia, também, pelo menos duas PMs no local. Mas os corregedores foram inflexíveis. Diante da exigência da escrivã, mandaram algemá-la, jogaram-na no chão e arrancaram sua calça na marra. Humilhada, ela foi despida por colegas, no chão da sala lotada de homens.
A prova do suborno foi abtida e o flagrante, lavrado. V.F.S.L. foi presa. O advogado Fábio Guedes Garcia da Silveira foi contratado e conseguiu livrá-la do cárcere até o julgamento. Até hoje ela aguarda a realização da primeira audiência, marcada para meados de junho deste ano, quando o caso completa seu segundo aniversário.
O defensor da escrivã apresentou uma denúncia contra os policiais à Corregedoria. Mas ambos foram absolvidos no curso de uma sindicância administrativa. Os pares que os julgaram entenderam que eles usaram “meios moderados” para a obtenção da prova.
“Isso não seria normal nem no Iraque, nem no Iran”, diz o advogado. Para ele, a corregedoria agiu com corporativismo em defesa dos colegas. Agora, espera anular a prova que cinsidera ter sido obtida mediante coação e por meios ilícitos.
Em outra frente, Fábio da Silveira fez uma representação ao Ministério Público e agora espera ver os delegados condenados por abuso de autoridade. “Ainda mais que isso pode caracterizar prática de tortura”, diz ele, certo de que agora os abusos serão reconhecidos pela Justiça.
O video revela, ainda, que o flagrante pode ser sido armado. Ao mostrar o dinheiro para a camera, um dos delegados diz claramente que “tá tudo aqui. Notas xerocopiadas”. Se isso restar comprovado, de acordo com uma fonte do Ministério Público, o flagrante será necessariamente anulado. “Isso equivale a induzir ao comentimento do crime, o que é proibido pela legislação”.
As imagens falam por si e deixam um alerta: se delegados de polícia agem com tanta arbitrariedade contra os colegas, o que esperar de seu comportamento perante a clientela habitual dos distritos, em sua maioria desvalidos, pobres, vulneráveis e desinformados sobre seus próprios direitos ?
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MINSTRA DOS DIREITOS HUMANOS CONDENA ATO DA CORREGEDORIA
Em nota, Secretaria de Direitos Humanos da Presidência condena abusos da corregedoria de SP
February 23 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: direitos humanos, escrivã, Operação Pelada
Min. Maria do Rosário: Imagens abomináveis (foto: Agência Brasil)
A Secretaria Nacional de Direitos Humanos da Presidência da República qualificou como como bárbaro e inaceitável o comportamento dos delegados da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo que despiram à força uma escrivã acusada de concussão. As imagens das sevícias foram divulgadas em primeirão mão pelo Blog do Pannunzio e pelo Jornal da Band na última sexta-feira (clique aqui para ver o video).
Na nota, a Ministra Maria do Rosário Nunes afirma que o governo federal irá acompanhar os desdobramentos do caso e pede o afastamento dos outros policiais que participaram da chamada “Operação Pelada”.
Leia a seguir a íntegra do comunicado.
Diante das imagens veiculadas pela imprensa, que mostram uma policial mulher sendo despida à força por policiais homens, no estado de São Paulo, a Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República vem a público manifestar o seguinte:
1 – As imagens divulgadas demonstram uma grave violação de Direitos Humanos. É inaceitável que num Estado democrático de direito, agentes públicos protagonizem cenas bárbaras como as referidas. Essa situação deve ser repudiada por todos aqueles que defendem a dignidade humana e acreditam que a segurança pública deve estar comprometida com a lei e com os princípios de Direitos Humanos.
2 – A situação mostra que o Estado brasileiro ainda tem um longo caminho a percorrer. Ao governo federal cabe aprofundar a política nacional em curso que, em parceria com os estados e municípios, visa formar policiais para uma atuação voltada à proteção e à cidadania. Somente estreitando os laços positivos entre a população e as forças de segurança, poderemos enfrentar a violência.
3 – O Governo do Estado de São Paulo cumpre seu papel ao afastar dois dos policiais envolvidos no fato. No entanto, é preciso que os demais policiais que participaram da agressão também sejam responsabilizados. Somente uma atitude célere e firme poderá assegurar à sociedade que a impunidade não prevalecerá.
4 – A Secretaria de Direitos Humanos acompanhará os desdobramentos e sempre condenará atitudes que violem os direitos fundamentais, onde quer que ocorram.
Brasília/DF, 22 de fevereiro de 2011
Maria do Rosário Nunes
ministra-chefe da Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República
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PÕE PARA QUEBRAR DOUTORA LUCINA FRUGIUELE!!!!!!!!!!!!
fonte:
http://www.pannunzio.com.br/?p=7177
MP já designou promotores para reabrir investigação da “Operação Pelada”
February 22 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: escrivã, GECEP, Operação Pelada
Luciana Frugiuele: feições suaves, linha dura
Luciana Frugiuele, Promotora de Justiça há 15 anos, integrante do Grupo de Ação Especial para o Controle Externo da Atividade Policial (GECEP), é quem vai coordenar as investigações sobre o comportamento dos delegados da Corregedoria da Polícia Civil de são Paulo que participaram da chamada Operação Pelada.
A ordem da Procuradoria-Geral é não poupar esforços para encontrar um caminho que permita a reabertura do caso. O desafio é grande. O primeiro inquérito policial foi arquivado a pedido do procurador Lee Robert Kahn da Silveira. Além de não enxergar abuso nas imagens que chocaram o País, ele ainda elogiou a atuação dos delegados (veja post sobre o assunto aqui). Como o pedido do promotor anterior foi acatado pelo juiz da Vara Distrital de Parelheiros, onde corria o inquérito, os três promotores que integram o grupo estão trabalhando em conjunto.
Não é difícil vislumbrar a divergência deles em relação a Kahn da Silveria. Hoje de manhã, Fernando Albuquer Souza, um dos integrantes do CEGEP postou no Facebook uma mensagem que pode sintetizar a disposição do trio. “Para aqueles que têm acompanhado as notícias do caso da escrivã de polícia que foi despida em busca do dinheiro ilegalmente recebido, informo que o inquérito policial foi arquivado a pedido da Promotoria de Parelheiros. Eu e meus colegas, integrantes do GECEP, respeitosamente discordamos desse posicionamento por entender que a busca foi contrária à lei”.
A primeira providência, que já foi tomada, foi oficiar a Corregedoria solicitando o envio de todo o material que integrou os procedimentos administrativos. Os passos seguintes não serão divulgados porque, segundo Luciana Frugiuele, envolvem as intimidades da vítima, o sigilo a que os delegados têm direito e a privacidade de muitas outras pessoas. “Nada aqui será violado, nem em nome da contenção do clamor público”.
“Vocês só vão saber o resultado quando todos os elementos forem colhidos e permitirem uma conclusão”. A promotora, no entanto, pede que a população confie no Ministério Público. “Nós vamos dar o máximo do nosso esforço para que seja feita justiça nesse caso”, arremata Frugiuele.
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FONTE: FLITPARALISANTE
Operação Pelada: Corregedora-geral é a próxima da lista de exonerações
February 22 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: corregedoria, direito humanos, escrivã, exoneração, Operação Pelada, Trefiglio
Trefiglio: se ela não ligar pedindo a conta, o Secretário liga para ela.
A situação da Corregedora-Geral da Polícia São Paulo é crítica. A saída dela deve ser anunciada nas próximas horas, segundo uma fonte da Secretaria de Segurança Pública. Maria Inês Trefiglio causou embaraços ao Palácio dos Bandeirantes e à cúpula da Polícia Civil ao apoiar e elogiar a ação truculenta da turma de delegados que algemou, despiu e humilhou uma escrivã acusada de concussão nas dependências da delegacia de Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo. “Ou ela sai a pedido, ou saímos com ela”, afirmou um dos integrantes da cúpula da Segurança no Estado.
A postura de Trefiglio causou revolta e indignação em todas as categorias da Polícia Civil. Ela chegou a afirmar ao repórter Sandro Barboza, da Rede Bandeirantes, que ” reportagens como essa só servem para desestimular o trabalho sério feito pelos bons policiais”. A censura da Corregedora-Geral tinha como alvo a divulgação das imagens da prisão em flagrante de V.S.L.F., feita em primeira mão pelo Blog do Pannunzio e pela TV Bandeirantes. De acordo com assessores dela, o comportamento dos policiais, afastados no começo da noite desta segunda-feira, foi “honrado e corajoso”.
A opinião diverge frontalmente da que foi manifestada pelo Secretário de Segurança Antônio Ferreira Pinto. Embora não tenha feito referências diretas à atuação da Corregedora, ele manifestou, em nota oficial, “perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade pelo representante do Ministério Público oficiante” – um recado claro do descontentamento do governo paulista com todos os que conspiraram para que os delegados permanecesem impunes.
Sob a coordenação de Maria Inês Trefiglio, a Corregedoria cerceou a defesa da escrivã e impediu que o video com as sevícias contra a escrivã até que fosse divulgado, na última sexta-feira, Blog do Pannunzio e pela Band.
Conhecida como “honesta”, “inflexível” e “durona”, Trefiglio vai cair por seu exacerbado corporativismo. Ela não teria informado seus superiores da existência do video, que circulou abertamente pelos computadores da Corregedoria enquanto seus funcionários zombavam dos detalhes anatômicos e dos gritos de socorro de V.S.L.F.
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PASME E LEIA A MANIFESTAÇÃO DO MINISTÉRIO PÚBLICO ALEGANDO QUE NÃO HOUVE ABUSO DE AUTORIDADE NO CASO DA ESCRIVÃ VANESSA QUE FOI DESPIDA PELOS DELEGADOS DA CORREGEDORIA
FOLHA 1
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PROMTOR DIZ QUE SÓ HOUVE UM POUCO DE EXCESSO NA HORA DE TIRAR A CALÇA ESCRIVÃ.....
FONTE:
http://www.jusbrasil.com.br/noticias/2574101/
delegados-tiram-roupa-de-escriva-para-configurar-flagrante
Delegados tiram roupa de escrivã para configurar
flagrante
Extraído de: Bahia Notícias - 20 de Fevereiro de 2011
Victor Carvalho
Foi arquivado pela Corregedoria da Polícia Civil o inquérito que tinha o condão de investigar a prática de abuso de autoridade por dois delegados durante a prisão de uma escrivã na 25ª Delegacia de Polícia, em Parelheiros, na zona sul de São Paulo. De acordo com a denúncia, dois policias teriam tirado a calça e a calcinha de uma escrivã da polícia civil suspeita de cometer o crime de concussão.
OAB diz ter avisado governo sobre vídeo de ex-escr...
Presidente do sindicato dos escrivães de SP condena...
MP apura suposto abuso policial em ação que despiu...
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Tal crime, previsto no art. 316 do Código Penal, determina que é autor aquele que vem a "exigir, para si ou para outrem, direta ou indiretamente, ainda que fora da função ou antes de assumi-la, mas em razão dela, vantagem indevida". Durante a prisão em flagrante, os delegados retiraram à força a roupa da suspeita para conseguir configurar o flagrante e encontrar o dinheiro. O interessante é que a escrivã admitiu ser revistada, mas informou que apenas tiraria a roupa frente à policiais femininas.
De acordo com a Corregedoria da Polícia Civil, os delegados não tiveram qualquer excesso na sua atuação, agindo "dentro do poder de polícia", ressaltou a corregedora Maria Inês Trefiglio Valente. Segundo o promotor Everton Zanella o fato de retirar a roupa da funcionária pública era uma consequência do transcorrer da operação. "Houve apenas um pouco de excesso na hora da retirada da calça da escrivã, todavia, em nenhum momento vislumbrei a intenção do delegado que comandava a operação de praticar qualquer ato contra a libido da escrivã", afirmou Everton Zanella. Como se não fosse o bastante, a corregedora ainda elogiou-os, classificando-os como "corajosos e destemidos".
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SECRETÁRIA NACIONAL DE SEGURANÇA PÚBLICA - REGINA MIKI DESAPROVA ATO DA CORREGEDORIA COPNTRA A ESCRIVÃ VANESSA QUE TEVE AS CALÇAS TIRADA A FORÇA PELOS DELEGADOS.
FONTE:
http://noticias.terra.com.br/brasil/noticias/0,,OI4958244-EI5030,00-
Investigacao+tem+limites+diz+secretaria+sobre+escriva+despida.html
Investigação tem limites, diz secretária sobre escrivã despida
22 de fevereiro de 2011 • 21h59 • atualizado às 22h11
Rodrigo Teixeira
Direto do Rio de Janeiro
A secretária nacional de Segurança Pública, Regina Miki, comentou nesta terça-feira o vídeo que vazou para a internet em que uma policial ficou nua em São Paulo durante uma revista após denúncia de extorsão. Em visita à nova chefe da Polícia Civil do Rio de Janeiro, a delegada Martha Rocha, a secretária classificou o caso, registrado em 2009, de "lamentável" e afirmou que "a investigação tem limites".
"Sobre esse caso, posso dizer que é lamentável. Não compactuamos com isso. A polícia não tem o dever de subverter a lei. A investigação tem limites na abordagem. O governo do Estado de São Paulo certamente vai punir esses agressores com rigor. Deixo bem claro que não compactuaremos com a violência, seja ela em que Estado for", disse. "Tomando atitudes assim, valorizamos o bom policial, aquele que dá a vida pela instituição", afirmou.
O vídeo foi gravado após denúncia feita à corregedoria da Polícia Civil de São Paulo, em junho de 2009, por um homem que afirmou que a ex-escrivã teria pedido dinheiro para não incluí-lo em uma investigação sobre porte de munição. Na gravação, a policial é algemada, jogada no chão e tem as calças tiradas por policiais homens, apesar de solicitar, por várias vezes, que a revista fosse feita por mulheres. Ela foi considerada culpada no processo administrativo movido pela Polícia Civil e demitida em novembro de 2010.
De acordo com o advogado da vítima, Fabio Guedes Garcia da Silveira, o vídeo completo tem duração de 40 minutos, mas a defesa não teve acesso ao material na íntegra, como o que foi divulgado na internet. Ele disse não saber quem pode ter divulgado as imagens.
Em nota, a corregedora-geral da Polícia Civil de São Paulo, Maria Inês Tresiglio Valente, condenou informações divulgadas pela imprensa sobre o caso. Ela disse também que o "suposto" abuso de autoridade foi apurado, conforme determinação do Ministério Público. Ainda de acordo com ela, o inquérito policial que contém a íntegra do vídeo "foi arquivado por decisão judicial".
Na segunda-feira, A Secretaria de Segurança Pública (SSP) de São Paulo determinou a saída dos delegados lotados na corregedoria da Polícia Civil Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves. Eles aguardam pelos resultados de um processo administrativo e não exercerão mais seus cargos.
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A ESCRIVÃ NUA
Transcrevo do blog do jornalista Luís Nassif, texto escrito por Márcio Valley.
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No mês de junho de 2009, dois delegados da Polícia Civil do Estado de São Paulo, os policiais Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, ambos da Corregedoria da Polícia, com apoio de duas policiais militares, algemaram e tiraram, à força, a calça e a calcinha de uma escrivã que era investigada pelo crime de concussão. As imagens estão no Youtube. Para quem quiser assistir, o endereço é http://www.youtube.com/watch?v=tZxFxABQ4Lw.
Antes de ser despida, a escrivã implorou, durante quase cinquenta minutos, que fosse revistada por policiais femininas, pois não queria ficar nua na frente de homens. Cinquenta minutos! O episódio ocorreu dentro do 25ª Distrito Policial, que fica na rua Humberto Ravello, nº 9, em Parelheiros, zona sul da cidade. A sede da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo localiza-se na rua da Consolação, nº 2333, na Consolação. Uma consulta no Google Maps revela que, entre um e outro, há trinta e sete quilômetros e cerca de uma hora.
Percurso de uma hora separou a escrivã de sua dignidade. Em certo ponto, já impaciente, um dos delegados determina que a escrivã seja algemada. Logo após ser algemada, a escrivã é moralmente estuprada, com a retirada de sua calça e de sua calcinha, enquanto, infantilmente, grita “vai aparecer minha periquita, vai aparecer minha periquita”. Logo após ser despida, ela balbucia, quase sem voz, “não acredito que estou nua”. Tudo isso ocorreu dentro de uma delegacia de polícia da maior cidade desse país.
Acho que todos nós nos lembramos da decisão do Supremo Tribunal Federal que proibiu o uso de algemas. Segundo a Súmula Vinculante nº 11 do Excelso Tribunal, somente é lícito o uso de algemas em casos de resistência e de fundado receio de fuga ou de perigo à integridade física própria ou alheia, por parte do preso ou de terceiros, justificada a excepcionalidade por escrito, sob pena de responsabilidade disciplinar, civil e penal do agente ou da autoridade e de nulidade da prisão ou do ato processual a que se refere, sem prejuízo da responsabilidade civil do Estado.
Do vídeo da prisão da escrivã, em nenhum momento ela resiste à prisão ou mesmo à revista, somente implorando por revista feminina. Tampouco oferece ela qualquer risco à si ou aos policiais. No entanto, foi algemada. E as algemas, percebe-se claramente pelo vídeo, foram colocadas para facilitar o trabalho do delegado no ato de despir a escrivã. Não havia resistência à prisão, havia resistência a um procedimento de produção de prova. Os motoristas podem opor-se ao bafômetro. A lei não autoriza que um motorista alcoolizado seja algemado para possibilitar que um bafômetro seja enfiado em sua boca, todavia, ao menos em São Paulo, parece que é permitido aos policiais algemar mulheres para despi-las em busca de provas e evidências da prática de crime.
Logo após as algemas, a vergonha. Diz o artigo 249 do Código de Processo Penal, que a revista em mulher será sempre feita por outra mulher, somente cabendo exceção no caso de a convocação de agente feminina importar retardamento ou prejuízo à diligência. Bom, o delegado ficou quase uma hora tentando convencer a escrivã a ficar nua na sua frente, praticamente o mesmo tempo que demandaria conduzir uma policial feminina da Corregedoria à delegacia. É interessante observar, nessa barbárie, que o chefe da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo é uma mulher, a delegada Fernanda Paiva Nunes Marreiros Marques. Fico imaginando se ela, num gesto de alteridade, imaginou-se no lugar da escrivã, tendo as calças arrancadas à força por policiais homens.
Reparem que não falei sobre o suposto crime atribuído à escrivã. Foi de propósito. Ainda que alguém pratique um crime, isso não autoriza qualquer policial, muito menos delegados de polícia, a violentá-lo fisica ou moralmente. Um procedimento instaurado na Corregedoria isentou os delegados de qualquer culpa, mesmo existindo um vídeo comprovando o excesso. O crime da escrivã foi aparentemente comprovado e ela foi demitida. Contudo, a escrivã, ao gritar o seu direito de não expor sua "periquita", na verdade pôs a nu os delegados de polícia do Estado de São Paulo.
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Agora comigo: O texto não aborda outros pontos, como a maneira ilícita de buscar a prova, e a questão da nota ser "xerocopiada" como eles mesmos dizem no vídeo, o que seria um crime impossível, e portanto inexistente, pois ninguém pode ser subornado por xerox. Ainda é argumento factível a questão de flagrante forçado. Mas é claro que ficou provado que houve o suborno, foi encontrado dinheiro com a escrivã, porém, o crime maior neste caso foi o claro desrespeito à dignidade sexual. O desrespeito moral. O inquérito contra os policiais foi arquivado e a escrivã foi expulsa. Cada um que pague por seus crimes. Naquela sala, a escrivã virou um espetáculo para dezenas de pessoas, e seus gritos demonstram o tamanho da violência que sentiu.
Fica a certeza que ela perdeu muito mais que o emprego, foi abusada moral e sexualmente, isto é uma questão de dignidade, o princípio fundamental de todo o ordenamento jurídico.
Resolvemos tirar o vídeo, depois de consultar algumas colegas de classe de faculdade. Na verdade, se encontrarmos o vídeo com os devidos cortes, não expondo totalmente a mulher, volto a colocar. Pensamos o seguinte: Se ela lutou tanto para se preservar, será que nós não estamos novamente despindo-a diante milhares de pessoas? Por isso, o vídeo foi exlcuído, mas a abordagem sobre o assunto é pertinente, e devemos aprofundar como um grito de repúdio ao desrespeito à lei e à mulher, E neste caso, a escrivã deve pagar pelo seu crime, mas sob o manto da legislação penal, e não pela abordagem machista dos policiais que a expuseram.
FONTE:
http://blogdoronaldocesar.blogspot.com/2011/02/escriva-nua.html
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Uma Polícia que o povo abomina
Em verdade a filmagem mostra, além do brutal e inconcebível ato contrário ao nosso regime democrático de direito, um excesso desnecessário dos Delegados e seus comandados correcionais. Comprovaram que todos são despreparados e atrabiliários. Não restaram equilíbrio e razoabilidade na presente ação policia
Uma Polícia que o povo abomina
(*Archimedes Marques)
Junto a uma sociedade em que se clama por Justiça e que se tem a Policia como arbitrária, corrupta, abusiva e violenta, está entre todas as instituições policiais como exemplo maior de dignidade e disciplina, a figura da Corregedoria da Polícia, espécie de Polícia da Polícia a policiar os atos indevidos, apurando e encaminhando para Justiça os supostos ilícitos penais praticados pelos seus membros. A Corregedoria de Polícia é também o Juízo da Polícia, vez que julga administrativamente os desvios de conduta e as transgressões disciplinares dos componentes da sua instituição.
A Corregedoria de Polícia tem como missão preservar e promover dentre outros, os princípios da legalidade, impessoalidade e moralidade dos atos de gestão, bem como da probidade e responsabilidade dos policiais da sua instituição. No nosso sistema democrático de direito, o bom trabalho da Corregedoria é uma das garantias dos cidadãos de que policiais de má conduta sejam investigados, punidos, advertidos, afastados e enfim, demitidos a bem do serviço público.
Em contra ponto a tais atributos, o Jornal da Band mostrou nesta sexta-feira, 18/02/2011, um caso de humilhação, aparente abuso, desrespeito aos direitos individuais e constitucionais, no qual Delegados e seus comandados representando a Corregedoria de Polícia Civil de São Paulo, tiraram à força a roupa de uma colega Escrivã depois de algemá-la, em busca de provas que supostamente a incriminariam em corrupção ativa. O fato aconteceu no 25° Distrito Policial em Parelheiros, zona sul de São Paulo em 15/06/2009, mas as imagens filmadas foram mantidas em sigilo e somente agora veio a tona para espanto e repudio de grande parte da sociedade brasileira.
A reportagem televisiva teve acesso com exclusividade às imagens gravadas pela própria Corregedoria da Polícia Civil, que mostram o flagrante dado pelos seus integrantes a um suposto crime de concussão praticado então por uma Escrivã de Polícia. Segundo a denúncia, a policial teria recebido R$ 200,00 para ajudar um suspeito a se livrar de um inquérito policial.
A apuração inicial para comprovar a suposta corrupção com a conseqüente prisão em flagrante delito da Escrivã transcorria normalmente e dentro da legalidade até que um Delegado decidiu que a suspeita teria que ser revistada e despida a qualquer custo. Usando dos seus preceitos constitucionais, a Escrivã não se recusou a ordem, mas pediu a presença de policiais femininas para a conseqüente revista.
Entretanto, com o acirramento dos ânimos, a emoção sobrepõe a razão e inclusive é dado também voz de prisão por supostos crimes de resistência e desobediência à revoltada policial, que então algemada indevidamente não restou outra alternativa a não ser relutar em força reduzida contra a ilegalidade e da ação despiram brutalmente a sua calça e calcinha, para enfim ser aparentemente encontrado escondido o dinheiro procurado e almejado, objeto material do suposto crime de concussão.
Assim, o que era para se tornar uma prisão de rotina tão comum em atos correcionais nas unidades policiais do país, transformou-se aos olhos de todos, em flagrante desrespeito aos direitos humanos. A cena daquele corpo vencido seminu, obtida de forma violenta, degradante e cruel, mostrou além do constrangimento, o ultraje a uma Constituição cidadã, uma Constituição que zela acima de tudo pelos direitos do cidadão. A cena feriu de morte todos nós cidadãos brasileiros.
Dos fatos geraram administrativamente a exclusão da suspeita dos quadros da Policia civil paulistana e criminalmente um processo ainda está em andamento na Justiça desse Estado por crime de concussão contra a mesma, enquanto que, para os aparentes e possíveis atos abusivos e lesivos praticados pelos policiais da Corregedoria, restou o procedimento arquivado com aval do Ministério Público e do Judiciário.
É comum a imprensa brasileira divulgar imagens de abusos policiais, torturas em presos, maus tratos contra populares e outras tantas cenas não convencionais, contudo, a comprovação de atos abusivos e lesivos praticados por policiais de alguma Corregedoria de Polícia, o órgão policial exemplo, ainda não havia chegado ao conhecimento público.
É ensinamento precípuo que os Juízes e Corregedores em geral devem agir sempre com moderação e circunspecção refletindo e trabalhando com equilíbrio, razoabilidade e proporcionalidade para que os seus atos sejam considerados justos.
A Polícia representa o aparelho repressivo do Estado que tem sua atuação pautada no uso da violência legitima, contudo, quando se fala em violência legítima, se fala em ordem sob a Lei e não sobre a Lei. O chamado Poder de Polícia que possui a força pública é limitado pela própria Lei e não pode ser ultrapassado sob pena de se praticar o abuso previsto com a conseqüente quebra dos direitos constitucionais inerentes do cidadão.
Bem nos ensina a Professora, Jurista e Escritora CRISTINA BUARQUE DE HOLLANDA, ao discorrer na sua obra "O problema do controle da Polícia em contextos de violência extrema": "Quando as agencias encarregadas de manter a lei e a ordem descambam para a arbitrariedade e para o comportamento desregrado, instalam inconscientemente o risco de instabilidade do Estado, periclitando suas instituições. Por certo que se alguma margem de desvio do universo formal não compromete a normalidade da rotina de funcionamento do Estado, os contextos de grave disparidade entre desempenho ideal e real das polícias podem alcançar efeitos devastadores de controle na dinâmica de legitimação da ordem pública".
Em verdade a filmagem mostra, além do brutal e inconcebível ato contrário ao nosso regime democrático de direito, um excesso desnecessário dos Delegados e seus comandados correcionais. Comprovaram que todos são despreparados e atrabiliários. Não restaram equilíbrio e razoabilidade na presente ação policial. Afinal a Escrivã só não queria passar pelo constrangimento de ficar nua na frente de homens, um justo direito. Tudo poderia ser resolvido sem maiores prejuízos com a chamada ao feito de uma Delegada e suas agentes policiais para fazer a revista designada e necessária ali mesmo naquela delegacia, ou então conduzirem a Escrivã suspeita até a Corregedoria de Polícia para as medidas legais e pertinentes, o que em absoluto em nada prejudicaria o flagrante.
Medidas devem ser adotadas, administrativamente e judicialmente para que a ordem seja resgatada na Policia civil de São Paulo, sob pena de serem abertos precedentes idênticos nas demais Corregedorias de Policia do Brasil.
(*Delegado de Polícia. Pós-Graduado em Gestão Estratégica de Segurança Pública pela UFS. Exerceu o cargo de Corregedor-Geral de Polícia civil de Sergipe em duas ocasiões) archimedes-marques@bol.com.br
Referências bibliografias:
FEITOSA, Denilson. Direito Processual Penal. Teoria, Crítica e Práxis. Niterói: RJ, 2008.
BAYLEY, David. Padrões de Policiamento. São Paulo: Edusp 2001.
TEMER, Michel. Elementos de Direito Constitucional. São Paulo: Malheiros editores, 2000.
COMPARATO, Fabio. A afirmação histórica dos Direitos Humanos. São Paulo: Saraiva, 2007.
HOLLANDA, Cristina Buarque de. O problema do controle da polícia em contextos de violência extrema: Os casos do Brasil, África do Sul e Irlanda do Norte. Rio de Janeiro: SESC, 2007
FONTE:
http://www.folhadodelegado.jex.com.br/meus+artigos+/uma+policia+que+o+povo+abomina
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O afastamento dos delegados Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, que despiram à força em uma sala do 25 Distrito Policial (Parelheiros) uma escrivã suspeita de corrupção, fizeram a Corregedoria da Polícia Civil passar da condição de "estilingue" à "vidraça". Desde a semana passada, quando imagens da operação gravadas pela equipe, foram parar na internet, o órgão responsável pela fiscalização da conduta moral de policiais civis é alvo de críticas.
"O que fizeram àquela funcionária é uma violação aos direitos fundamentais do ser humano. É crime hediondo. É um processo de coação moral, física e psicológica", afirma o presidente da Comissão de Direitos Humanos da OAB-SP, Martim de Almeida Sampaio.
O advogado defende punição exemplar a todos os envolvidos no episódio e até sugere demissão a bem do serviço público. "É uma boa oportunidade de o governador Geraldo Alckmin mostrar a sua autoridade", diz.
foto: Reinaldo Canato / Diário de SP
Atrás do símbolo da Justiça, escrivã espera provar sua inocência
DESGASTE / O episódio também desgastou a imagem da corregedora Maria Inês Trefiglio Valente, que vinha fazendo um bom trabalho à frente do órgão. Pessoas próximas a Alckmin dizem que Maria Inês ficou em situação desconfortável, principalmente após defender a ação, que classificou de "moderada".
A indignação da opinião pública com a truculência dos policiais é tanta que até o presidente do Sindicato dos Delegados de Polícia, George Melão, diz ter sentido "repugnação" ao assistir ao vídeo. "Infelizmente, os excessos são cometidos", diz. Para ele, o afastamento, determinado pelo secretário da Segurança Pública, Antônio Ferreira Pinto, é salutar. "Espero que não se limite a eles. A medida deve se estender à corregedora", diz. No site do sindicato, Melão cita inúmeras leis violadas pela Corregedoria durante a operação, entre as quais a Constituição e a Lei Orgânica da Polícia.
Cenas da escrivã no Youtube saíram do ar diversas vezes
O vídeo que mostra os delegados algemando a escrivã, jogando-a no chão e arrancando a calça e a calcinha dela à força para provar que ela havia escondido R$ 200 saíram várias vezes do ar ontem. Muitos internautas não conseguiram acessá-lo no Youtube em alguns momentos.
Especialistas explicam que, geralmente, isso corre quando alguém que se sente ofendido com as imagens exige a retirada delas do ar. Porém, como inúmeros internautas conseguiram fazer cópias do vídeo, alguém com interesse em exibi-lo o coloca no ar novamente.
As imagens causaram repúdio no presidente do Sindicato dos Escrivães de Polícia, Heber Souza dos Santos. Na opinião dele, além de abuso de autoridade, os policiais cometeram crime de tortura.
Para protestar e exigir a exoneração dos envolvidos, a categoria organiza um ato público na Praça da Sé, a partir das 11h de sexta-feira, seguido de caminhada até a Secretaria da Segurança Pública.
A psicóloga Fátima Marques, da Coordenadoria Municipal da Mulher, vê machismo no vídeo. "Ele mostra que homens ainda acham que têm poder sobre a mulher."
FONTE:
http://www.diariosp.com.br/_conteudo/
2011/02/37348-corregedoria+da+policia+civil+entre+a+cruz+e+a+espada.html
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FONTE:
http://www.jornalfloripa.com.br/brasil/index1.php?pg=verjornalfloripa&id=2930
24/02/2011 às 11h52min - Atualizada em 24/02/2011 às 11h52min
TAMANHO DA FONTE A- A+
Vídeo do caso da escrivã abre crise na Polícia Civil de SP
A divulgação do vídeo que mostra delegados da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã durante uma revista abriu uma crise dentro da instituição.
Segundo o texto, durante a reunião semanal do Conselho da Polícia Civil, na manhã de ontem (23), a corregedora-geral Maria Inês Trefiglio Valente, que apoiou a ação dos quatro delegados corregedores que investigaram a escrivã V., foi pressionada publicamente a deixar o cargo por 5 dos 23 delegados da cúpula da instituição.
A corregedora foi procurada ontem pela reportagem, mas não quis se manifestar.
A crise interna na Polícia Civil foi impulsionada porque a divulgação da gravação da operação policial foi destaque em todo o país. Os envolvidos foram afastados. O governador Geraldo Alckmin (PSDB) afirmou, após a divulgação das imagens, que o vazamento do vídeo na internet era "grave".
O CASO
O caso aconteceu em junho de 2009. Ao longo dos 12 minutos do vídeo, a escrivã diz que os delegados poderiam revistá-la, mas que só retiraria a roupa para policiais femininas. Mas nenhuma investigadora da corregedoria foi até o local para acompanhar a operação.
Ao final, o delegado Eduardo Filho, uma policial militar e uma guarda civil algemam a escrivã, retiram a roupa dela e encontram quatro notas de R$ 50. A escrivã foi presa em flagrante e, após responder a processo interno, acabou sendo demitida pela Polícia Civil. No mês seguinte, seus advogados recorreram da decisão.
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POLICIAL CIVIL QUE NÃO GOSOTU DO VIDEO DA VANESSA AGORA É TAXADO DE CORRUPTO!!!!!!
EU MEREÇO!!!!!!!!
O que (ainda) sustenta a corregedora da Polícia Civil de SP no cargo
February 23 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: corregedoria, escrivã, Operação Pelada
Trefiglio: se ela não ligar pedindo a conta, o Secretário liga para ela.
Espera-se para qualquer momento o desfecho do caso que envolve o centro negrálgico da Segurança em São Paulo. Presa à cadeira de Corregedora-Geral por um fio, a delegada Maria Inês Trefiglio Valente segue comandando a polícia da polícia judiciária paulista. Mas em silêncio e longe da ribalta.
Pesa contra ela a ira do Secretário Antônio Ferreria Pinto, colocado no foco do escândalo, desatado depois que o Blog do Pannunzio e a Rede Bandeirantes divulgaram imagens que mostram delegados da corregedoria despindo à força uma escrivã que vinha sendo investigada por concussão. Maria Inês disse e reiterou, em entrevista coletiva concedida na última segunda-feira, que o secretário tinha conhecimento do video.
O secretário afastou três delegados e mandou investigar um quarto. Todos serão responsabilizados administrativamente pelas sevícias e pelo desrespeito que as cenas desvelam. Em nota oficial, Ferreira Pinto se disse perplexo com o arquivamento do caso determinado pela vara Distrital de Parelheiros e com a atuação do promotor de justiça responsável pelo inquérito. Mas não explicou por que só tomou providências quando o caso se tornou público, na última sexta-feira. E nada falou sobre a omissão da Corregedoria, que durante um ano e meio fez vistas grossas para os abusos, detemrinando, inclusive, o arquivamento de um procedimento administrativo.
Ressalte-se que o próprio procedimento administrativo só foi instaurado depois que o caso chegou ao conhecimento do Ministério Público por meio de um telefonema anônimo. Até então, as sevícias sofridas pela escrivã circularam internamente pelo computadores da Corregedoria, sempre em tom jocoso, mote de piadas infames feitas a partir dos dados anatômicos da vítima das sevícias.
“O jogo segue rolando”, diz um assessor da Secretaria, sem saber ainda que tratamento será dispensado à delegada-corregedora. Trefliglio tem um curriculum invejável. Ela atuou positivamente na limpeza do DETRAN, talvez o maior foco de corrupção da polícia paulista, resolveu os casos El Negro e Abadia. Nesses episódios, a conduta inflexível da corregedora foi fundamental para que o governo apresentasse resoltados para a sociedade.
O crédito das ações passadasconta pontos a favor de Maria Inês Trefiglio. Apesar de odiada por boa parte da corporação, ninguém questiona a honestidade pessoal da delegada durona. Mas neste momento, seu cacife político parece não ser suficiente para conter o alarido provocado pelas imagens dos policiais arrogantes arrancando as calças da escrivã indefesa. E tudo isso foi agravado pelas declarações da própria corregedora, que chegou a elogiar o comportamento selvagem dos subordinados.
O afastamento dos quatro delegados e a instauração de outro procedimento administrativo desmoralizaram a delegada. A determinação do secretário de segurança aniquilou todos os esforços para dar à atuação da Corregedoria uma aura de normalidade, como se pretendeu nas primeiras horas após a divulgação do video. Salvo a própria Maria Inês Trefiglio, ninguém na SSP quer se comprometer com os erros dos prepostos da delegada. Especialmente o secretário Ferreira Pinto.
O episódio também deixou sequelas no Palácio dos Bandeirantes. O governador Geraldo Alkmin não aceita a partidarização do episódio, que teria acontecido com as manifestações enfáticas de autoridades federais condenando o comportamento da polícia paulista. A ação desastrada dos policiais-corregedores obscurece e mancha a reputação de uma polícia que, mal ou bem, vem apresentando resultados positivos, como a redução drástica dos índices de homicídios, que serviram como combustível para o bom desempenho do atual governador nas últimas eleições.
Embora o Palácio dos Bandeirantes não admita ser pressionado pela indignação de agentes e delegados de polícia, o governo está acompanhando a convocação de um ato de protesto marcado para o dia 25, quando policiais civis prometem parar o trânsito e acionar sirenes por cinco minutos na porta da Corregedoria.
O prédio fica na Rua da Consolação, quase na esquina da Avenida Paulista, local de grande afluxo de veículos e pedestres. Qualquer interdição do tráfego naquele local gera reflexos na malha viária de São Paulo, o que poderia amplificar a reverberação dos portestos.
A manifestação está sendo convocada pela internet, como uma espécie de flash-mob dos indignados. Até agora, avalia-se que os “coordenadores” do ato de protesto são policiais interessados em desmoralizar a corregedora porque temem sua atuação. Segundo uma fonte da Secretaria, a motivação central seria o comprometimento da clientela habitual da Corregedoria — policiais corruptos que se viram em má situação a partir da gestão inflexível de Maria Inês Trefiglio.
Mas essa é apenas a maneira como a oficialidade enxerga o problema. A julgar pelos milhares de comentários postados em sites que trataram do assunto, a causa da indignação está nas próprias atitudes da corregedora, que foi incapaz de fazer uma autocrítica e de esboçar um pedido de desculpas. A esta altura, inócuo e impossível.
http://www.pannunzio.com.br/?p=7233
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ESTE E-MAIL MANDADO PELA VANESSA AO SITE DO DELEGADO CONDE REVELA UM ATO NAZISTA DA CORREGEDORIA - ESTE É O MAIOR ESCÂNDALO DA POLÍCIA BRASILEIRA. A POLÍCIA CIVIL ESTA A BEIRA DE UM MOTIM NO BAIXO CLERO DEVIDO OS SALÁRIOS E AS ARBITRARIEDADES DO ALTO-COMANDO. UMA VEERDADEIRA CRISE INSTITUCIONAL.
FONTE: FLIT PARALISANTE
Date: Mon, 31 Aug 2009 18:22:53 -0300
Subject: segue e mail que a escrivã enviou aos orgaos publicos
From
To: dipol@flitparalisante.com
Doutor Conde, não divulgue e FAVOR NÃO REVELAR MEU NOME E E-MAIL….OBRIGADO…… (POIS SAI DAQUI E ESTOU SENDO AMEAÇADO )….SR ENTENDE NÉ?
Boa noite e obrigada por ler meu e-mail….
Tentarei resumir ao máximo a tortura e humilhação pela qual passei…..
Sou escrivã de policia 3° classe, exercendo tal função há mais de sete anos, seis deles no 25° Distrito Policial em Parelheiros, periferia de São Paulo, com população em situação de extrema miséria, sou jovem, educada, esforçada (estou no ultimo semestre do curso de direito), recebi milhares de convites para outros departamentos mas amo a periferia e minha missão é auxiliar esse povo tão sofrido, tanto que moro cercada por favelas em local pobre, ando de onibus e sobrevivo bem com meu salario….
Agora vamos aos fatos, dia 15 de junho do fluente ano, estava em meu local de trabalho, quando estava no corredor, me dirigindo a sala do delegado, aproximadamente oito homens entraram com armas em punho, com muita gritaria, tua casa caiu…tua casa caiu, facilita…facilita, me mandavam entregar um dinheiro.
Me empurraram até minha sala e somente neste momento se identificaram como policiais da corregedoria. Passaram a me intimidar com gritos e ameaças, quando, desesperada, passei a chorar, o delegado Eduardo, que comandava tal operação revirou minha sala inteira, jogando todos meus pertences no chão. Ele disse que iria me revistar, então, devido ao meu pudor, sou uma mulher casada e todas minhas consultas ginecologicas são feitas com mulheres, pois tenho muita vergonha, de imediato solicitei que fosse revistada por uma policial feminina. O delegado, buscou uma policial militar feminina, a qual muito respeitosamente realizou a revista e nada localizou. O Dr. Eduardo então mandou que eu me despisse por inteira, passei a ficar indignada pois jamais tiraria minhas vestes na frente de oito homens desconhecidos e cheguei a solicitar de joelhos que fosse acionada uma delegada, investigadora ou escriva da corregedoria, visto que propus retirar a roupa somente na frente da policial feminina, respondendo o delegado que não confiava na policial e dizendo com tom ameaçador que só sairia dali ao me ver “pelada”, Cabe salientar que tudo estava sendo filmado por um investigador. Diante da minha negativa e meus gritos histericos para não me submeter a tal constrangimento, ninguem me socorreu, pois eles trancaram a porta da minha sala, o Dr. Eduardo muito irritado aos berros e entre ameaças passou a torcer meus braços para tras e tratando-se a minha pessoa de mulher, magrinha, gritei histericamente, pois sentia que meu braço iria sofrer uma fratura diante da força dele. Em seguida, vendo que jamais retiraria minhas vestes na frente daqueles homens, ainda mais filmando, ele me algemou com as mãos para tras, me jogou no chão e sequer abriu o botão da minha calça, puxou-a com tal violencia que a rasgou, após gritava ter encontrando o que queria, ou seja, o dinheiro que trazia nas mãos. Sem necessidade alguma, este “cumpridor” da lei abaixou minha calcinha, tendo eu percebido um sorriso no rosto dele. Fiquei ali no chão, com as pernas abertas, sem roupa, com minha intimidade exposta a todos aqueles homens, me senti violentada, tal como uma vitima de estupro. Tive que passar pela humilhação ainda de suplicar que o delegado subisse minha calcinha e minha calça, pois algemada não conseguia. Sai da delegacia algemada, com dois investigadores me segurando pelo pescoço. Fiquei na corregedoria das cinco horas da tarde às onze horas da data seguinte, sem saber porque estava sendo presa, sem beber ou comer nada, já não aguentando de fome, supliquei que me levassem logo ao presidio. Passei um mes presa por um flagrante forjado pela Corregedoria, afinal, nunca exigi, solicitei, pedi ou mesmo aceitei qualquer quantia de quem quer que fosse. As imagens da minha humilhação, vazaram e assim, virou alvo de chacotas e comentarios na policia inteira…..apesar de tudo, me disseram que o delegado iria desaparecer com a fita, pois não teria como justificar no decorrer do processo minhas lesões corporais (comprovadas atraves de laudo do iml) e que a filmagem iria manda-lo para a rua….
Pasmem-se, apesar de tal prisão ilegal fiquei um mes presa, tentei o suicidio, pois asseguro ser pessoa honesta e agora estou fragilizada como uma criança assustada, estou tomando calmantes e antidepressivos.
Tenho um otimo advogado, um senhor que percebeu que não tenho dinheiro suficiente e me cobrou um valor abaixo da tabela, dividido em parcelas, mas sozinha, não conseguira provar tanto minha inocencia quando o abuso sofrido, o que me deixou totalmente transtornada e traumatizada.
Estamos na era da ditadura? Até o momento não entendo como a corregedoria que deveria coibir crimes, preparou um flagrante e o fez mediante abusos e tortura…..
Narro tais fatos, chorando e querendo dar um tiro em minha cabeça….
Como se não bastasse meu processo administrativo e o inquérito acerca do abuso de autoridade estão no mesmo prédio – a Corregedoria…já estou percebendo o corporativismo no local……estou sem forças para lutar por meus direitos.
Obrigada pela atenção
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EU TAVA LÁ E VI!!!
24/02/2011 em 12:01
(ANONIMO QUE COMENTOU NO FLIT PARALISANTE
http://flitparalisante.wordpress.com/2011/02/24/
segue-e-mail-que-a-escriva-enviou-aos-orgaos-publicos/
O RELATO É VERDADEIRO.PORÉM ANONIMO POR OBVIOS MOTIVOS.
VI QUANDO ELA CHEGOU AO PEPC – FEMININO, ACABADA, CHORANDO MUITO E TOTALMENTE MACHUCADA, OS BRAÇOS DELA ERAM INTEIROS MARCADOS, DURANTE O MÊS QUE ELA PASSOU ALI QUASE NÃO COMIA, FICAVA COM O OLHAR PARADO LÁGRIMAS ESCORRENDO PELO ROSTO E QUANDO FALAVA ERA PARA DIZER QUE TINHA SIDO VIOLADA, MACHUDADA E HUMILHADA, PRECISOU DE TRATAMENTO PSIQUIATRICO SIM E DE MEDICAMENTOS FORTES PARA MANTER-SE CONTROLADA, NÓS QUE ALI ESTÁVAMOS TENTAVAMOS DE TODAS AS MANEIRAS ANIMÁ-LA E FAZE-LA TER FORÇAS PARA SUPERAR… PESSOAS MUITAS PESSOAS VENDO SUA SITUAÇÃO ORAVAM POR ELA…POIS ESTAVA FRAGILIZADA E TENTARA REALMENTE O SUICIDIO TANTO QUE UMA INTERNA DORMIA NA MESMA CELA QUE ELA PARA CUIDAR DE SUA INTEGRIDADE, AS FUNCIONÁRIAS CUIDARAM DELA POR TODO O TEMPO, ALIÁS, FUNCIONARIAS EXEMPLARES E TODAS MULHERES SENSIVEIS…TODAS QUE ALI ESTAVAM SE SOLIDARIZARAM DE ALGUMA MANEIRA, UMA TENTAVA FAZE-LA COMER, A OUTRA TENTAVA CONVERSAR COM ELA E DISTRAÍ-LA… MAS TUDO ERA EM VÃO… A TRISTEZA ERA CONTAGIANTE… ERA TRISTE… QUE DEUS ABENÇOE ESSA MENINA QUE TANTO SOFREU…
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Não costumo condecorar ladrões, arbitrários e corruptos. Contudo, mesmo a Vanessa sendo acusada de Concussão ou Corrupção, a forma como ela foi tratada pelos delegados da Corregedoria, não pode passar impune. Esta postagem é um clamor de
vingança e pedido de Justiça contra o que fizeram contra a escrivã que foi sim violentada em sua intimidade e sexualidade.
Não posso dizer que ela é criminosa porque não conheço os autos e nem mesmo o caso esta transitado em julgado. Mas uma certeza eu tenho. Os delegados foram criminosos e se o Ministério Público e o Poder Judiciário foram coniventes também devem ser punidos.
Estou perplexo porque nunca vi uma mulher detida, dominada, ser revistada desta forma. Se este procedimento for correto preciso voltar para a Academia de Policia, passar por reciclagem, porque desaprendi tudo sobre Técnicas de Abordagens Policial.
(Solicito a todos que enviem protestos para as autoridades competentes pedindo providências contra os delegados da Corregedoria)
SUGIRO INDENIZAÇÃO DE DUZENTOS MILHÕES E QUE O ESTADO REGRESSIVAMENTE COBRE DOS DELEGADOS DE POLÍCIA QUE FIZERAM ESTA OPERAÇÃO.
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Abaixo segue copia do e-mail que mandei para a ASSOCIAÇÃO DOS ESCRIVÃES DE POLÍCIA DO ESTADO DE SÃO PAULO.
Bom dia,
Caro diretor da Associação dos Escrivães de Polícia do Estado de São Paulo, venho por meio desta manifestar a minha revolta e indignação ao assistir o vídeo de VIOLÊNCIA SEXUAL cometida pelos delegados da Corregedoria que a pretexto de autuar a escrivã Vanessa em flagrante delito, deixaram de preservar a integridade e a intimidade daquela mulher.
O uso de algemas esta hoje sob forte controle de uma Sumula Vinculante que prevê inclusive a anulação do processo penal e a responsabilidade civil do Estado e mcaso de uso indevido, principalmente porque a vitima não representa perigo a vida da euqipe da Corregedoria. Não preciso me alongar muito no texto. Qualquer conhecedor mediano em Direito Penal e em Práticas Policiais sabe que aquela operação da Corregedoria parece filme pastelão como o que esta nas telas dos cinemas. ZÉ COLMEIA E CATATAU. Os indignos delegados fizeram inúmeras provas contra si.
Solicito a esta honrada Associação que nos representa que ingresse com ação civil contra os delegados da corregedoria, os policiais que acompanharam aquela diligência e que acataram ordem absurda. não esqueça do covarde, irresponsável, fraco e outros adjetivos inomináveis que se deve aplicar ao delegado da Vanessa que não interviu, mesmo a escrivã aos gritos pedindo socorro, ele foi omisso diante do crime e abuso de autoridade que se consumava a sua vista e na sua delegacia.
Aguardo uma resposta sobre a posição pública e nas medidas administrativas, civis e criminais que esta Associação tomará contra aqueles que feriram uma classe inteira. Em todas as delegacias procuramos tratar os presos em flagrante com toda a dignidade humana possível e não é aceitável que uma colega ao ser presa seja tratada com tanta humilhação como nunca antes eu tinha visto ou ouvido falar.
Estou legendando o vídeo para o espanhol, inglês, francês e italiano, estou encaminhando esta notícia a todos os órgãos nacionais e internacionais que lutam pelos Direitos Humanos e peço que esta Associação como legítima representante dos escrivães do Estado de São Paulo dê uma resposta a altura para os que abusaram e violentaram a Vanessa, NA DELEGACIA.
Valdemir Mota de Menezes
escrivão de Polícia
3a Classe
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enviei e-mail com o mesmo teor para a Ouvidoria dos Direitos Humanos do Governo Federal do Brasil.
Assunto: ESCRIVÃ VIOLENTADA EM SUA INTIMIDADE POR DELEGADOS
De: valdemir.menezes@policiacivil.sp.gov.br
Data: Qua, Fevereiro 23, 2011 15:46
Para: ouvidoria@sedh.gov.br
Prioridade: Normal
MANDE E-MAIL E COBRE UMA ATITUDE DO ESTADO
http://www.direitoshumanos.gov.br/ogc
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e-mail que envie para a Presidente do Brasil Dilma Rousseff
http://www.presidencia.gov.br/fale-conosco
Excelentíssima Presidente
Venho por meio desta manifestar a minha revolta e indignação ao assistir o vídeo de VIOLÊNCIA SEXUAL cometida pelos delegados da Corregedoria que a pretexto de autuar a escrivã Vanessa em flagrante delito, no 25o DP de São Paulo, no ano de 2009, deixaram de preservar a integridade e a intimidade daquela mulher.
O uso de algemas esta hoje sob forte controle de uma Sumula Vinculante que prevê inclusive a anulação do processo penal e a responsabilidade civil do Estado em caso de uso indevido, principalmente porque a vitima não representava perigo a vida da equipe da Corregedoria. Não preciso me alongar muito no texto. Qualquer conhecedor mediano em Direito Penal e em Práticas Policiais sabe que aquela operação da Corregedoria parece filme pastelão como o que esta nas telas dos cinemas. ZÉ COLMEIA E CATATAU. Os indignos delegados fizeram inúmeras provas contra si.
Solicito a esta honrada autoridade que nos representa que ingresse com medidas cabíveis e intercedendo junto ao Governador do Estado de São Paulo para que se tome providencias contra os delegados da corregedoria, os policiais que acompanharam aquela diligência e que acataram ordem absurda. não esqueça do covarde, irresponsável, fraco e outros adjetivos inomináveis que se deve aplicar ao delegado da Vanessa que não interviu, mesmo a escrivã aos gritos pedindo socorro, ele foi omisso diante do crime e abuso de autoridade que se consumava a sua vista e na sua delegacia.
Em todas as delegacias procuramos tratar os presos em flagrante com toda a dignidade humana possível e não é aceitável que uma colega ao ser presa seja tratada com tanta humilhação como nunca antes eu tinha visto ou ouvido falar.
Estou legendando o vídeo para o espanhol, inglês, francês e italiano, estou encaminhando esta notícia a todos os órgãos nacionais e internacionais que lutam pelos Direitos Humanos e peço que Vossa Excelencia, como maior autoridade Nacional dê uma resposta a altura para os que abusaram e violentaram a Vanessa, NA DELEGACIA.
Valdemir Mota de Menezes
escrivão de Polícia
3a Classe
Lotado no 3o DP de São Vicente/SP
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MNESAGEM DE INDIGNAÇÃO QUE MANDEI PARA A ANISTIA INTERNACIONAL
http://br.amnesty.org/
Nos útlimos dias, para ser mais preciso, desde o dia 18 de fevereiro de 2011 o maior escândalo da POLÍCIA CIVIL DE SÃO PAULO veio a público com a divulgação na internet (Youtube e milhares de sites) de uma escrivã de policia que sob pretexto de ser revistada para apurar denuncia de que estava recebendo propina, foi torturada por cerca de uma hora psicologicamente e depois foi algemada na frente de vários homens e teve sua roupa arrancada por vários delegados da corregedoria. O Brasil esta chocado e só se fala nisso. É preciso pressionar o governo para que tenhamos credibilidade que neste país a integridade da pessoa humana deve ser preservada. Olhem no Youtube, acompanhem o desdobramento e cobrem do governador de São Paulo que considerou grave o vazamento do video e não a tortura que a Vanessa sofreu.
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fonte:
http://www.pannunzio.com.br/?p=7281
25/02/2011
Operação Pelada: flagrante contra escrivã foi preparado. Não há provas de concussão no inquérito
February 25 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Primeira Mão, Segurança Tags: escrivã, Operação Pelada, sevícias
Ao contrário do que afirmou a ex-corregedora-geral da Polícia Civil de São Paulo, Maria Inês Trefiglio Valente, não há nenhuma prova de prática de crime de concussão no inquérito criminal aberto para investigar a escrivã V.S.L.F. Ela foi vítima de humilhação e abuso de autoridade por parte de uma equipe da Corregedoria que investigava a denúncia de um homem que se dizia achacado pela policial.
No inquérito há o registro de três diálogos entre a escrivã e o denunciante — dois deles feitos por instrução e com o acompanhamento dos delegados que despiram à força e humilharam a escrivã. Em nenhum deles V. exige dinheiro de seu interlocutor, o que seria necessário para a materialização do crime a ela imputado.
Dois criminalistas consultados pelo Blog disseram que há evidências sobejas de que o flagrante foi preparado, o que fatalmente irá desqualificar as provas no curso da ação penal. O procedimento desastrado, batizado pelo Blog de “Operação Pelada”, foi denunciado em primeira mão pelo Blog do Pannunzio e pela Rede Bandeirantes. O video que registra as sevícias, feito pelos próprios agentes da Corregedoria, pode ser visto aqui. A repercussão do caso levou à demissão de Trefiglio da Corregedoria.
O caso vinha sendo acobertado há um ano e meio pela corregedoria. A ex-corregedora afirmou que a brutalidade dos policiais “foi necessária”, mas não explicou o por quê. O Blog obteve acesso à íntegra do processo, sobre o qual não foi decretado segredo de justiça. A ação tramita na Vigésima-Sétima Vara Criminal do Forum da Barra Funda. A leitura do material deixa claro que a escrivã jamais exigiu dinheiro do denunciante, contrariando frontalmente as afirmações da Corregedoria.
Dentro de instantes, o Blog do Pannunzio vai publicar uma compilação da degravação dos diálogos mantidos pelo denunciante com a escrivã.
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http://jc.uol.com.br/canal/cotidiano/nacional/noticia/2011/02/21/
policiais-tiram-a-roupa-de-escriva-acusada-de-extorsao-258261.php
Nacional // São Paulo
Policiais tiram a roupa de escrivã acusada de extorsão
Publicado em 21.02.2011, às 16h43
Do Jornal do Commercio
Uma escrivã de polícia acusada de extorsão teve sua roupa tirada por uma equipe da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo durante uma revista. A policial se negou a ficar nua perante policiais homens, mas acabou tendo a calça jeans e calcinha arrancadas à força. Na peça íntima, foram encontrados R$ 200. O fato, que foi filmado pelo órgão, ocorreu em 15 de junho de 2009, mas o vídeo do abuso policial vazou na internet na semana passada.
» Clique aqui caso queira ver o vídeo publicado no Youtube [contém cenas de violência e nudez]
A Corregedoria arquivou o inquérito que investigava dois delegados suspeitos de abuso de autoridade durante a prisão da escrivã, que atuava no 25º Distrito Policial (DP), no bairro de Parelheiros, Zona Sul de São Paulo. Em Pernambuco, relatos de violação de direitos humanos publicados no Jornal do Commercio nas duas últimas semanas resultaram no afastamento de 22 policiais.
No vídeo, de 12 minutos e 49 segundos, os policiais Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, ambos da Corregedoria, conduzem a abordagem. A vítima era investigada pelo crime de concussão, extorsão promovida por servidor público. Durante todo o tempo, a escrivã exige a presença de policiais mulheres para ser revistada. “Não tem cabimento vocês me verem pelada”, diz ela, em um trecho. “Vamos fazer como manda a lei, a lei diz que a revista pode ser feita em homem e em mulher”, responde um dos delegados. “Pode me revistar, mas não pode me deixar nua”, rebate ela. “Pode sim, senhora. O Código do Processo Penal fala isso”, retruca ele.
Em vários momentos, a mulher grita enquanto Eduardo Filho, um policial militar e uma guarda civil mulher tentam deixá-la sem roupa. “Na frente desses homens, eu não vou ficar nua. Não tira minha roupa”, grita a vítima, que chega a pedir “pelo amor de Deus”. Os policiais da Corregedoria, alheios aos clamores da escrivã, dizem apenas que ela “está atrapalhando” o trabalho deles. “Não existe outra possibilidade”, avisa o delegado.
A mulher esperneia, implora, chega a chorar, pede para pararem de filmar a abordagem, mas em vão. A escrivã tem a calça e a calcinha tiradas e tudo é filmado. Ao fim do vídeo, um policial exibe quatro notas de R$ 50 que estariam escondidas na peça íntima dela, exibe o dinheiro da propina para a câmera e repete que ela está presa em flagrante por extorsão. “Eu sou o condutor da sua cana”, finaliza. Não se sabe quem vazou o vídeo.
A vítima acabou sendo expulsa da Polícia Civil, após responder a investigação interna. Seus advogados recorreram. “Foi um excesso desnecessário. Ela só não queria passar pelo constrangimento de ficar nua na frente de homens”, disse o advogado Fábio Guedes da Silveira. A escrivã ainda responde a processo criminal, cuja primeira audiência deve ocorrer em maio.
Já a Corregedoria alega que não houve excesso na ação dos delegados. A corregedora Maria Inês Trefiglio Valente afirmou que eles agiram dentro do poder de polícia e os classificou como “corajosos”. Eduardo Filho e Gustavo Gonçalves continuam trabalhando na Corregedoria da Polícia Civil.
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O secretário da Segurança Pública, ao tomar conhecimento das imagens veiculadas pela Rede Bandeirantes de Televisão, relacionadas com operação desenvolvida pela Corregedoria da Polícia Civil em 15 de junho de 2.009, determinou a saída dos delegados de polícia EDUARDO HENRIQUE DE CARVALHO FILHO e GUSTAVO HENRIQUE GONÇALVES, lotados até a presente data na Corregedoria.
O terceiro delegado de polícia que participou da diligência, RENZO SANTI BARBIN, já não mais integra os quadros daquele Departamento.
Determinou ainda a instauração de Processo Administrativo Disciplinar para apurar a responsabilidade funcional de cada um deles, bem como do delegado de polícia EMÍLIO ANTONIO PASCOAL, à época titular da Divisão de Operações Policiais da Corregedoria, que concorreu para o desfecho daquela intervenção policial.
Por fim, determinou a expedição de ofício ao Exmo. Sr. Procurador de Justiça manifestando perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade, pelo representante do Ministério Público oficiante, à época, junto ao juízo criminal da Vara Distrital de Parelheiros.
FONTE: FLIT PARALISANTE
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Anúncio foi feito por meio de nota na noite desta segunda.
Delegados da Corregedoria em SP deixaram escrivã nua à força.
escriva620
Ex-escrivã se diz traumatizada até hoje (Foto: Marcelo Mora/G1)
O secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, determinou na noite desta segunda-feira (21) o afastamento de dois delegados lotados na Corregedoria da Polícia Civil. Eles aparecem em um vídeo em que uma ex-escrivã é obrigada a ficar nua para ser revistada.
A cena foi gravada em 15 de junho de 2009, em uma sala do 25º DP, em Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo, mas caiu na internet e ganhou notoriedade.
Um terceiro delegado que também esteve envolvido na ação da Corregedoria já não integra mais os quadros do departamento, de acordo com a nota.
O vídeo exibe os corregedores tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã suspeita de corrupção. Ela respondeu a processo administrativo e foi exonerada da Polícia Civil. O inquérito criminal ainda corre na Justiça.
O secretário determinou a instauração de processo administrativo disciplinar para apurar "a responsabilidade funcional" de cada um dos corregedores, bem como do delegado titular da Divisão de Operações Policiais da Corregedoria à época, que, segundo a nota, "concorreu para o desfecho daquela intervenção policial".
O secretário também determinou a expedição de ofício ao procurador de Justiça "manifestando perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade pelo representante do Ministério Público".
Veja noticia aqui!
Entrevista
Em entrevista ao G1 nesta segunda, a ex-escrivã de 29 anos disse que se sente humilhada em dobro agora que o vídeo com a cena dentro da delegacia foi postado na internet. “É uma dupla humilhação, no dia e agora”, lamentou. Ela não quis ter o nome divulgado.
“Eles (da Corregedoria) entraram gritando, apontando armas. Naquele momento, eu não conseguia entender o que eles gritavam”, contou a ex-escrivã. Toda a seqüência durou de 40 a 50 minutos. Ela disse não ter percebido quando a ação dos corregedores começou a ser filmada.
Segundo a ex-escrivã, em momento algum ela se recusou a ser revistada. Ela insistia apenas para que a revista fosse feita por uma mulher, como determina a lei. “Chamaram uma policial feminina e uma GCM (guarda-civil metropolitana) feminina, mas não deixaram que fizessem a revista”, disse.
“Na hora, senti desespero, acuada por aqueles homens, em uma situação humilhante. Na hora que tiraram a minha roupa, eu pedi pelo amor de Deus para não filmar a minha intimidade. Foi uma violência; como mulher, fui violentada”, enfatizou.
FONTE:
https://kafzone.wordpress.com/2011/02/21/
corregedores-que-deixaram-escriv-nua-so-afastados/
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Marcelo Mora
Do G1 SP
A ex-escrivã de 29 anos que teve a calça e a calcinha arrancadas por policiais da Corregedoria da Polícia Civil e deixada nua em uma sala do 25º DP, em Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo, em junho de 2009, disse nesta segunda-feira (21) que se sente humilhada em dobro agora que o vídeo com a cena dentro da delegacia foi postado na internet. “É uma dupla humilhação, no dia e agora”, lamentou. Ela não quis ter o nome divulgado.
Em uma cadeira no escritório de seu advogado, no Jabaquara, também na Zona Sul, a mulher, loira e de olhos azuis, manteve os braços cruzados durante a entrevista. Olhou para o lado a cada pergunta feita para tentar obter a anuência de seu defensor para conceder ou não a resposta.
Depois da humilhação sofrida há um ano e meio, a ex-escrivã tem que voltar a lidar com as recordações do episódio ao qual foi submetida. O vídeo feito pela Corregedoria da Polícia Civil na ocasião foi postado recentemente na internet – e o fato ganhou notoriedade.
A Secretaria da Segurança Pública informou que a Corregedoria não tem responsabilidade no vazamento do vídeo. O governador Geraldo Alckmin afirmou nesta segunda ter determinado a apuração dos fatos. "Como eu acho que a gente deve ter cuidado nessas coisas, determinei à Secretaria da Segurança Pública que reveja o caso."
Vídeo
No vídeo, ela aparece sendo despida. Nas imagens, é possível ver a ex-escrivã sentada enquanto ouve sucessivos pedidos para que tire a roupa por causa da suspeita de que tenha escondido o dinheiro recebido como propina para livrar um homem de investigação.
Vídeo gravado pela Corregedoria foi parar na
internet (Foto: Reprodução)O caso começou quando um homem envolvido em um inquérito no 25º DP por ter sido flagrado em posse de munições procurou o Ministério Público para denunciar a ex-escrivã, que segundo ele havia pedido uma quantia em dinheiro para livrá-lo da investigação. O MP, então, acionou a Corregedoria da Polícia Civil.
O homem foi orientado a prosseguir com as negociações com a ex-escrivã e, na data marcada para a entrega do dinheiro, o processo foi acompanhado por policiais da Corregedoria. Após a entrega da quantia, a policial foi abordada e a gravação foi iniciada, conforme disse ao G1, no sábado (19), a corregedora-geral da Polícia Civil de São Paulo, Maria Inês Trefiglio Valente.
De acordo com Maria Inês, o vídeo tem mais de 40 minutos e mostra toda a negociação para que a ex-escrivã entregasse o dinheiro, considerado a prova do crime. A gravação foi feita, segundo a corregedora, “para a garantia de todos“, como é comumente feito em ações da Corregedoria.
Violentada
“Eles (da Corregedoria) entraram gritando, apontando armas. Naquele momento, eu não conseguia entender o que eles gritavam”, contou a ex-escrivã. Toda a sequência durou de 40 a 50 minutos. Ela disse não ter percebido quando a ação dos corregedores começou a ser filmada.
Segundo a ex-escrivã, em momento algum ela se recusou a ser revistada. Ela insistia apenas para que a revista fosse feita por uma mulher, como determina a lei. “Chamaram uma policial feminina e uma GCM (guarda-civil metropolitana) feminina, mas não deixaram que fizessem a revista”, disse.
Em seguida, ela confirmou que chegou a ser revistada pela policial militar. “Revistou superficialmente, mas o delegado (corregedor) queria que eu tirasse a roupa.” Ela disse que entrou em desespero e começou a clamar pela ajuda do então delegado titular do distrito na ocasião, Renato Luís Engler Pinto.
“Na hora, senti desespero, acuada por aqueles homens, em uma situação humilhante. Na hora que tiraram a minha roupa, eu pedi pelo amor de Deus para não filmar a minha intimidade. Foi uma violência; como mulher, fui violentada”, enfatizou.
No entanto, ela isentou de qualquer culpa seus colegas de trabalho. “Ninguém pode fazer nada, eles (da Corregedoria) foram extremamente arbitrários ali, estavam acima da lei ali”, contou. Segundo ela, o delegado titular retirou da sala todos os funcionários da delegacia momentos antes de ela ter as vestes retiradas e ser deixada nua da cintura para baixo.
A ex-escrivã não soube dizer por que o vídeo com as cenas humilhantes pelas quais passou foi postado na internet. O vazamento, disse, contribuiu significativamente para aumentar o seu trauma.
Mesmo que a sua defesa consiga reverter na Justiça a decisão que a exonerou do cargo, por suspeita de concussão, em um processo administrativo, ela considera difícil voltar a trabalhar em uma delegacia. Desde o ocorrido, ela conta com a ajuda dos pais para viver. “Pelo meu psicológico, acho que não dá. Estou traumatizada até hoje”, disse.
Prova ilícita
Fábio Guedes Garcia da Silveira, advogado da ex-escrivã, disse que durante o processo administrativo não teve acesso ao vídeo gravado pela Corregedoria. “O vídeo que está na internet tem apenas 12 minutos. É preciso saber o que tem no restante do vídeo, que tem mais de 30 minutos.”
Ele disse que lhe foi permitido o acesso apenas às degravações das conversas de sua cliente com o denunciante. “Em momento algum se depreende que a minha cliente pede algo ao denunciante”, disse.
Segundo ele, o vídeo que caiu na internet deixa claro que os corregedores agiram com truculência. Por isso, a suposta prova contra sua cliente foi obtida de forma ilícita. “O primeiro passo agora, independentemente do inquérito criminal, é reverter a demissão dela e pedir a reintegração dela à Polícia Civil. E quanto à ação por danos morais há um prazo de três anos para entrar com o pedido. Esse seria um segundo passo”, disse.
Para o advogado, no entanto, o estrago está feito. “É complicado, não tem como reparar o mal causado a ela. Um mal que agora se tornou público. É como se eu subisse em um prédio e rasgasse um travesseiro de penas lá no alto e depois descesse para tentar recuperar cada pena”, ilustrou, sobre as imagens que caíram na internet.
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PS: Fiquei na dúvida em reproduzir as imagens que já circulavam em jornais de TV somente editadas... Falam que existem mais 30 minutos de gravação, não acho que vá fazer diferente; estes instantes acima sem edição são esclarecedores e é o que basta... Não acho que seja tão mais prejudicial à moça do que ela se remoer pelo resto da vida com sua indignação no silêncio... A exposição na Rede irá lhe permitir brigar por indenização que com torna certeza receberá... Mais uma vez a Internet marcou presença colocando em debate na sociedade comportamentos "sabe com quem está falando?" (agora dos corregedores) que devem ser revistos... Jorge Schweitzer
fonte:
http://taxiemmovimento.blogspot.com/2011/02/entrevista-com-ex-escriva-que-teve.html
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Publicado no site do SEPESP
O NOVO SINDICATO DOS ESCRIVÃES DE POLICIA CONVOCA TODOS PARA MANIFESTAÇÃO A SER REALIZADA EM 25.02 AS 11HS
CONVOCAMOS TODOS PARA MANIFESTAÇÃO A SER REALIZADA NA PRÓXIMA SEXTA-FEIRA, DIA 25.02, AS 11HS.
CONCENTRAÇÃO NA PRAÇA DA SÉ E CAMINHADA ATÉ O GABINETE DO SECRETÁRIO DE SEGURANÇA PÚBLICA.
NOSSA REINVIDICAÇÃO:
EXONERAÇÃO DOS DELEGADOS EDUARDO HENRIQUE DE CARVALHO FILHO E GUSTAVO HENRIQUE GONÇALVES
AFASTAMENTO IMEDIATO DA DIRETORA DA CORREGEDORIA GERAL DA POLICIA CIVIL
A MANIFESTAÇÃO CONTARÁ COM CARRO DE SOM E SE INICIARÁ AS ONZE HORAS.
CONTAMOS COM A COLABORAÇÃO E UNIÃO DE TODOS.
A DIRETORIA
FONTE:
http://investigadordepolicia.blog.br/
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Policial Civil é despida por colegas em busca pessoal
19fev2011 Em: Ronda, Vídeos Policiais Autor: Danillo Ferreira
O vídeo em destaque traz imagens de uma policial civil suspeita de receber propina numa delegacia da Polícia Civil de São Paulo, sendo pressionada por colegas, incluindo três delegados, para que sofresse uma busca pessoal. Em momento nenhum ela se recusa a passar pelo procedimento, mas pede que isso seja feito por mulheres. Apesar da exigência da policial (legítima e legal), e com a presença de duas mulheres na sala, uma PM e uma agente municipal, o delegado responsável pela “operação” (toda filmada) determina que a escrivã seja algemada, e, pasmem, a policial é despida à força. Um ato que merece o repúdio público, mesmo que haja provas que atestem o crime da ex-policial, hoje demitida da Polícia Civil.
FONTE:
http://abordagempolicial.com/2011/02/
policial-civil-e-despida-por-colegas-em-busca-pessoal/
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estadao.com.br, Atualizado: 22/2/2011 0:05
Delegados acusados de abuso ao revistar escrivã são afastados da Corregedoria
A Secretaria da Segurança Pública determinou ontem o afastamento dos delegados Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves da Corregedoria da Polícia Civil. Os dois são acusados de abuso de autoridade durante operação em 2009, quando despiram uma então escrivã de polícia.
Foi aberto processo administrativo também contra outros dois delegados. A revista ocorreu no 25.º DP, em Parelheiros. A escrivã teria cobrado R$ 200 de um suspeito para liberá-lo. Ao ser surpreendida, escondeu o dinheiro na calcinha. A revista foi filmada. Em 2010, ela foi demitida e responde a processo criminal. Ela nega o crime. O Ministério Público vai apurar se houve abuso. Ontem, o governador Geraldo Alckmin disse que, apesar de a Justiça não ter constatado anormalidade na ação, determinou revisão do caso.
FONTE:
http://estadao.br.msn.com/ultimas-noticias/artigo.aspx?cp-documentid=27758555
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Recurso
O advogado Fabio Guedes Garcia da Silveira, que defende a ex-escrivã no processo administrativo - o que resultou na expulsão - contou ao G1 que recorreu da decisão e apresentou recurso, em novembro do ano passado, à Secretaria da Segurança Pública de São Paulo. Até este domingo, ele afirmou não ter recebido resposta.
Silveira pede que a expulsão da policial seja revista porque a prova - o dinheiro - foi adquirida de forma ilícita e, segundo ele, o vídeo não foi exibido para a Promotoria durante o processo. ”O promotor e o juiz não devem ter tido acesso ao vídeo e queremos que as imagens sejam analisadas. Em tese, um erro não justifica o outro. Eu entendo que a prova foi obtida por meio ilícito, e a revista foi ilicíta”, disse Silveira, citando que o Código de Processo Penal estabelece a revista de mulheres apenas por outra mulher.
Abuso de poder
Um inquérito foi aberto para apurar um possível abuso por parte do corregedor. “O promotor diz que não houve crime e não houve elemento subjetivo para crime de abuso. Os promotores do Gaeco se manifestaram da mesma forma. O Judiciário disse que eles usaram a força adequada”, explicou Maria Inês. O inquérito foi arquivado em janeiro de 2010.
De acordo com a corregedora geral, o caso não foi divulgado na época para preservar a imagem da escrivã.
fonte:
http://www.delegados.com.br/noticias/
video-complica-caso-de-escriva-despida-em-delegacia.html
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OAB diz ter avisado governo sobre vídeo de ex-escrivã despida à força
Ofício foi enviado em novembro, segundo presidente Luiz Flávio D´urso
22/02/2011 - 21:10
Globo.com/G1
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Kleber Tomaz e Roberta Steganha Do G1 SP
A Ordem dos Advogados do Brasil em São Paulo (OAB-SP) informou nesta terça-feira (22) que comunicou o governo paulista em novembro do ano passado sobre a existência do vídeo que mostra delegados da Corregedoria da Polícia Civil despindo à força uma escrivã suspeita de corrupção dentro de uma delegacia na capital paulista. As imagens com a ação, ocorrida em 15 de junho de 2009 no 25º Distrito Policial, em Parelheiros, na Zona Sul, vazaram e foram parar recentemente na internet.
O G1 teve acesso aos ofícios que o presidente da OAB-SP, Luiz Flávio Borges D´Urso, disse ter encaminhado em 4 de novembro ao então governador Alberto Goldman, ao presidente do Tribunal de Justiça de São Paulo (TJ-SP) na época, o desembargador Antônio Carlos Viana Santos, morto em 26 de janeiro deste ano, ao procurador geral de Justiça de SP, Fernando Grella Vieira, e ao secretário da Segurança Pública, Antonio Ferreira Pinto.
Nos documentos, assinados por D´Urso, ele escreve que entrega às autoridades “cópia de ofício, bem como de DVD (...) para as providências que julgar cabíveis” em relação às cenas gravadas pela Corregedoria. O advogado Fábio Guedes, que defende a ex-escrivã, disse ter enviado fragmentos do vídeo à entidade em 18 de outubro do ano passado.
"A Corregedoria pode abrir precedentes ao avaliar como positiva a ação policial diante da revista à escrivã, que foi deixada nua à força por colegas dentro de uma delegacia de São Paulo. O processo foi realizado por homens, fato que chamou a atenção da OAB, por violar a lei”, disse a entidade na nota.Em nota divulgada nesta terça, a OAB informou que havia fornecido cópia das cenas obtidas em que os agentes da Corregedoria tiram a calça e a calcinha da escrivã por entender que houve violação da lei na revista feita por homens. Segundo a ordem, somente uma policial feminina pode fazer esse tipo de vistoria.
Governo
O G1 procurou a assessoria de imprensa do governo paulista para comentar o assunto. Segundo a assessoria de imprensa, o documento da OAB não foi localizado até o início da noite desta terça.
Na segunda, o governador eleito Geraldo Alckmin (PSDB) classificou como “grave” o vazamento do vídeo da ação da corregedoria contra a escrivã.
TJ-SP
A assessoria do Tribunal de Justiça disse que o documento da OAB foi arquivado, pois o órgão constatou que tanto a Secretaria da Segurança Pública como o Ministério Público haviam recebido o material, aos quais competiam as investigações. O atual presidente em exercício do TJ-SP é Antônio Luiz Reis Kuntz.
Ministério Público
O G1 também entrou em contato com a Procuradoria-Geral de Justiça. Segundo o órgão, o procurador Grella Vieira está em viagem fora de São Paulo. O Ministério Público Estadual de São Paulo disse que vai apurar se os quatro delegados da Corregedoria da Polícia Civil, responsáveis por investigar ilegalidades praticadas por policiais, e outros agentes públicos cometeram abuso de autoridade contra uma então escrivã dentro de uma delegacia na capital paulista.
A Promotoria de Justiça instaurou procedimentos para apurar a denúncia a partir das notícias veiculadas na imprensa.
Segundo a Procuradoria, o caso “já é objeto de investigação” dos promotores do Grupo de Atuação Especial de Controle Externo da Atividade Policial (Gecep), do Ministério Público. Segundo a assessoria de imprensa do MP, a Procuradoria recebeu uma representação em dezembro de 2010 para a reabertura das investigações sobre o fato e o encaminhou ao Gecep.
Os outros promotores que irão apurar o caso são da Promotoria do Patrimônio Público e Social. Segundo o MP, na segunda-feira (21), o órgão “instaurou procedimento para apurar a possível ocorrência de abuso e ilegalidade, além da prática de atos de improbidade administrativa por parte de delegados de polícia e outros agentes públicos, naquela ocorrência”.
De acordo com esse procedimento, os agentes policiais, sob a alegação de realizar revista e prisão da escrivã, por suposto crime de corrupção, “submeteram-na a forte humilhação e violência, utilizando-se de força bruta para algemá-la, despi-la e expor suas partes intimas na presença de quem estivesse na sala, muito embora a mesma jamais se recusasse a ser revistada ou mesmo despir-se, desde que na presença e por outras mulheres”.
SSP
Procurada, a assessoria de imprensa da Secretaria da Segurança Pública informou que mantém o posicionamento da última nota oficial, divulgada na noite de segunda. Não houve resposta sobre o documento da OAB.
Na nota, o secretário da Segurança Pública de São Paulo, Antonio Ferreira Pinto, determinou o afastamento de dois delegados lotados na Corregedoria da Polícia Civil.
Com a divulgação do vídeo na internet e sua repercussão, o secretário também determinou a nova instauração de processo administrativo disciplinar na Corregedoria da Polícia Civil para apurar a responsabilidade dos delegados envolvidos naquela ação de 2009. No sábado (19), a corregedora Maria Inês Trefiglio Valente disse que não houve abuso e que os policiais agiram "dentro do poder de polícia".
Durante a apuração do MP na época dos fatos, um promotor disse que despir a então escrivã foi consequência do transcorrer da operação policial contra ela.
Ainda na nota, o secretário da Segurança Pública informou que enviará ofício ao chefe do Ministério Público "manifestando perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade, pelo representante do Ministério Público oficiante, à época, junto ao juízo criminal da Vara Distrital de Parelheiros".
Para conseguir flagrar esse dinheiro, a Corregedoria obrigou a escrivã a tirar a roupa na frente de policiais homens. Ela se recusou e disse que só se despiria na presença de mulheres. Mas um delegado disse que era preciso a presença dele na sala para que a escrivã não alegasse que a PM e a GM forjaram a prova do crime, caso encontrassem algum dinheiro com ela.
O caso
Em 15 de junho de 2009, a ex-escrivã, atualmente com 29 anos, teve a calça e a calcinha arrancadas à força na presença dos delegados da corregedoria, de uma policial militar e uma guarda municipal dentro do 25º DP. A equipe da Corregedoria a investigava por crime de concussão (quando um servidor exige o pagamento de propina). Ela era acusada de cobrar R$ 200 de um suspeito de porte ilegal de arma para favorecê-lo no inquérito.
Nenhuma policial feminina da corregedoria surgiu para acompanhar a operação. Mesmo assim, os policiais homens a algemaram com as mãos para trás. Em seguida, a jogaram no chão, a seguraram e abaixaram suas roupas, deixando-a nua da cintura para baixo. Toda essa ação foi gravada pela corregedoria. Doze de um total de 45 minutos do vídeo caíram recentemente na internet e foram parar no site Youtube.
Nas imagens, logo após a escrivã ficar seminua, o delegado responsável pela investigação aparece com quatro notas de R$ 50 e dá voz de prisão à escrivã. À época, ela cursava o 5º ano de direito. A mulher respondeu a processo administrativo e foi exonerada da Polícia Civil em outubro de 2010. A corregedoria concluiu que os delegados envolvidos na ação agiram com “moderação” e arquivaram o inquérito contra os policiais. Eles alegaram que o vídeo da operação policial contra ela mostra as tentativas de que ela se deixasse revistar sem o uso da força.
O advogado da ex-escrivã tenta reverter sua exoneração da Polícia Civil. O inquérito criminal ainda corre na Justiça. A primeira audiência do caso só deverá ocorrer em maio, conforme seus advogados.
"Foi um excesso desnecessário. Ela só não queria passar pelo constrangimento de ficar nua na frente de homens", disse o advogado Fábio Guedes da Silveira.
Em entrevista ao G1 na segunda, a ex-escrivã, que não quis ter o nome divulgado, afirmou que se sente humilhada em dobro com a veiculação do vídeo na internet com a cena dentro da delegacia. “É uma dupla humilhação, no dia e agora”, disse a mulher, que preferiu não comentar a acusação.
O G1 não conseguiu localizar os delegados afastados da corregedoria pelo secretário para comentar o assunto.
fonte
http://eptv.globo.com/noticias/NOT,0,0,337002,OAB+diz+ter+avisado
+governo+sobre+video+de+ex-escriva+despida+a+forca.aspx
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Na página da internet abaixo vocẽ encontrará uma Reportagem da Rede Globo em que a escrivã dá entrevista e ainda o Presdiente do Sindicato dos Delegados diz que o Ato dos delegados foi imoral e incostitucional.
http://eptv.globo.com/noticias/NOT,0,0,337002,
OAB+diz+ter+avisado+governo+sobre+video+de+ex-escriva+despida+a+forca.aspx
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COMENTÁRIOS DE POPULARES NA INTERNET SOBRE O CASO
Fábio. Li atentamente os comentários a respeito deste caso. Aguns afirmam que os delegados estão corretos ao revistar a escrivã, já que ela é corrupta. Primeiro. Não ficou provado, por meio das imagens, que ela seja culpada. Segundo. Mesmo que fosse provada corrupção é evidente que ela não deveria ser tratada daquela maneira. Pela lei ela tinha o direito de ser revistada por uma mulher. Não havia necessidade daquela selvageria.
Será possível que as pessoas não sabem separar casos diferentes ? Um. Ela é culpada ou inocente? Dois. Mesmo culpada ela precisaria passar por constrangimento, falta de respeito ?
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Essa é a "Polícia da Polícia"??? Então ficou difícil para nós, cidadãos comuns. A partir de agora, qualquer Delegado de plantão vai achar que pode fazer igual. Vai virar um terror. E com o aval do Ministério Público. Salve-se quem puder.
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fonte
http://www.pannunzio.com.br/?p=7038
Polícia X polícia: as cenas impressionantes de um flagrante de coação moral
February 18 | Posted by Fábio Pannunzio | Manchetes, Notícias, Primeira Mão, Segurança, Sem categoria Tags: abuso de autoridade, assédio, polícia, sevícias
As cenas que você vai ver abaixo foram registradas nas dependências do Vigésimo-quinto Distrito Policial de São Paulo no dia 15 de junho de 2009. Mais do que chocantes, são emblemáticas do desrespeito com que policiais costumam tratar pessoas que estão sob investigação. Até quando os investigados são colegas de corporação.
As imagens que o Blog do Pannunzio e o Jornal da Band publicam em primeira mão foram feitas por ordem dos delegados Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, ambos da Corregedoria da Polícia Civil — curiosamente os protagonistas desse thriller moral. Eles foram à delegaciade Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo, para prender flagrante a escrivã V.F.S.L. Ela acabara de livrar da cadeia um homem supostamente deveria sr autuado por porte ilegal de arma que, em contrapartida, teria pago R$ 250 de propina.
Quando a equipe da Corregedoria chegou, V.F.S.L., acuada, tentou entregar o dinheiro ao delegado titular. Tarde demais. Além de estar de posse das cinco notas de R$ 50, não conseguiu explicar por que não deu voz prisão ao suspeito por tentativa de suborno, o que seria suficiente para mantê-lo trancafiado durante alguns dias. Os delegados-corregedores sabiam de absolutamente tudo o que havia se passado minutos antes . Tinham, inclusive, informações precisas do local onde a escrivã havia ocultado o suposto suborno: dentro da calcinha.
Tudo o que aconteceu a partir desse momento está registrado no vídeo abaixo. Durante quase 13 minutos os delegados tentaram convencê-la a se despir para passar por uma revista íntima. Em momento algum V.F.S.L. tentou resistir. Sua única exigência foi a de que a busca fosse feita por policiais do sexo feminino, como prescreve o Artigo 249 do Código de Processo Penal.
A sala onde tudo a prisão em flagrante foi feita estava cheia de policiais do sexo masculino. Havia, também, pelo menos duas PMs no local. Mas os corregedores foram inflexíveis. Diante da exigência da escrivã, mandaram algemá-la, jogaram-na no chão e arrancaram sua calça na marra. Humilhada, ela foi despida por colegas, no chão da sala lotada de homens.
A prova do suborno foi abtida e o flagrante, lavrado. V.F.S.L. foi presa. O advogado Fábio Guedes Garcia da Silveira foi contratado e conseguiu livrá-la do cárcere até o julgamento. Até hoje ela aguarda a realização da primeira audiência, marcada para meados de junho deste ano, quando o caso completa seu segundo aniversário.
O defensor da escrivã apresentou uma denúncia contra os policiais à Corregedoria. Mas ambos foram absolvidos no curso de uma sindicância administrativa. Os pares que os julgaram entenderam que eles usaram “meios moderados” para a obtenção da prova.
“Isso não seria normal nem no Iraque, nem no Iran”, diz o advogado. Para ele, a corregedoria agiu com corporativismo em defesa dos colegas. Agora, espera anular a prova que cinsidera ter sido obtida mediante coação e por meios ilícitos.
Em outra frente, Fábio da Silveira fez uma representação ao Ministério Público e agora espera ver os delegados condenados por abuso de autoridade. “Ainda mais que isso pode caracterizar prática de tortura”, diz ele, certo de que agora os abusos serão reconhecidos pela Justiça.
O video revela, ainda, que o flagrante pode ser sido armado. Ao mostrar o dinheiro para a camera, um dos delegados diz claramente que “tá tudo aqui. Notas xerocopiadas”. Se isso restar comprovado, de acordo com uma fonte do Ministério Público, o flagrante será necessariamente anulado. “Isso equivale a induzir ao comentimento do crime, o que é proibido pela legislação”.
As imagens falam por si e deixam um alerta: se delegados de polícia agem com tanta arbitrariedade contra os colegas, o que esperar de seu comportamento perante a clientela habitual dos distritos, em sua maioria desvalidos, pobres, vulneráveis e desinformados sobre seus próprios direitos ?
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MINSTRA DOS DIREITOS HUMANOS CONDENA ATO DA CORREGEDORIA
Em nota, Secretaria de Direitos Humanos da Presidência condena abusos da corregedoria de SP
February 23 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: direitos humanos, escrivã, Operação Pelada
Min. Maria do Rosário: Imagens abomináveis (foto: Agência Brasil)
A Secretaria Nacional de Direitos Humanos da Presidência da República qualificou como como bárbaro e inaceitável o comportamento dos delegados da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo que despiram à força uma escrivã acusada de concussão. As imagens das sevícias foram divulgadas em primeirão mão pelo Blog do Pannunzio e pelo Jornal da Band na última sexta-feira (clique aqui para ver o video).
Na nota, a Ministra Maria do Rosário Nunes afirma que o governo federal irá acompanhar os desdobramentos do caso e pede o afastamento dos outros policiais que participaram da chamada “Operação Pelada”.
Leia a seguir a íntegra do comunicado.
Diante das imagens veiculadas pela imprensa, que mostram uma policial mulher sendo despida à força por policiais homens, no estado de São Paulo, a Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República vem a público manifestar o seguinte:
1 – As imagens divulgadas demonstram uma grave violação de Direitos Humanos. É inaceitável que num Estado democrático de direito, agentes públicos protagonizem cenas bárbaras como as referidas. Essa situação deve ser repudiada por todos aqueles que defendem a dignidade humana e acreditam que a segurança pública deve estar comprometida com a lei e com os princípios de Direitos Humanos.
2 – A situação mostra que o Estado brasileiro ainda tem um longo caminho a percorrer. Ao governo federal cabe aprofundar a política nacional em curso que, em parceria com os estados e municípios, visa formar policiais para uma atuação voltada à proteção e à cidadania. Somente estreitando os laços positivos entre a população e as forças de segurança, poderemos enfrentar a violência.
3 – O Governo do Estado de São Paulo cumpre seu papel ao afastar dois dos policiais envolvidos no fato. No entanto, é preciso que os demais policiais que participaram da agressão também sejam responsabilizados. Somente uma atitude célere e firme poderá assegurar à sociedade que a impunidade não prevalecerá.
4 – A Secretaria de Direitos Humanos acompanhará os desdobramentos e sempre condenará atitudes que violem os direitos fundamentais, onde quer que ocorram.
Brasília/DF, 22 de fevereiro de 2011
Maria do Rosário Nunes
ministra-chefe da Secretaria de Direitos Humanos da Presidência da República
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PÕE PARA QUEBRAR DOUTORA LUCINA FRUGIUELE!!!!!!!!!!!!
fonte:
http://www.pannunzio.com.br/?p=7177
MP já designou promotores para reabrir investigação da “Operação Pelada”
February 22 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: escrivã, GECEP, Operação Pelada
Luciana Frugiuele: feições suaves, linha dura
Luciana Frugiuele, Promotora de Justiça há 15 anos, integrante do Grupo de Ação Especial para o Controle Externo da Atividade Policial (GECEP), é quem vai coordenar as investigações sobre o comportamento dos delegados da Corregedoria da Polícia Civil de são Paulo que participaram da chamada Operação Pelada.
A ordem da Procuradoria-Geral é não poupar esforços para encontrar um caminho que permita a reabertura do caso. O desafio é grande. O primeiro inquérito policial foi arquivado a pedido do procurador Lee Robert Kahn da Silveira. Além de não enxergar abuso nas imagens que chocaram o País, ele ainda elogiou a atuação dos delegados (veja post sobre o assunto aqui). Como o pedido do promotor anterior foi acatado pelo juiz da Vara Distrital de Parelheiros, onde corria o inquérito, os três promotores que integram o grupo estão trabalhando em conjunto.
Não é difícil vislumbrar a divergência deles em relação a Kahn da Silveria. Hoje de manhã, Fernando Albuquer Souza, um dos integrantes do CEGEP postou no Facebook uma mensagem que pode sintetizar a disposição do trio. “Para aqueles que têm acompanhado as notícias do caso da escrivã de polícia que foi despida em busca do dinheiro ilegalmente recebido, informo que o inquérito policial foi arquivado a pedido da Promotoria de Parelheiros. Eu e meus colegas, integrantes do GECEP, respeitosamente discordamos desse posicionamento por entender que a busca foi contrária à lei”.
A primeira providência, que já foi tomada, foi oficiar a Corregedoria solicitando o envio de todo o material que integrou os procedimentos administrativos. Os passos seguintes não serão divulgados porque, segundo Luciana Frugiuele, envolvem as intimidades da vítima, o sigilo a que os delegados têm direito e a privacidade de muitas outras pessoas. “Nada aqui será violado, nem em nome da contenção do clamor público”.
“Vocês só vão saber o resultado quando todos os elementos forem colhidos e permitirem uma conclusão”. A promotora, no entanto, pede que a população confie no Ministério Público. “Nós vamos dar o máximo do nosso esforço para que seja feita justiça nesse caso”, arremata Frugiuele.
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FONTE: FLITPARALISANTE
Operação Pelada: Corregedora-geral é a próxima da lista de exonerações
February 22 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: corregedoria, direito humanos, escrivã, exoneração, Operação Pelada, Trefiglio
Trefiglio: se ela não ligar pedindo a conta, o Secretário liga para ela.
A situação da Corregedora-Geral da Polícia São Paulo é crítica. A saída dela deve ser anunciada nas próximas horas, segundo uma fonte da Secretaria de Segurança Pública. Maria Inês Trefiglio causou embaraços ao Palácio dos Bandeirantes e à cúpula da Polícia Civil ao apoiar e elogiar a ação truculenta da turma de delegados que algemou, despiu e humilhou uma escrivã acusada de concussão nas dependências da delegacia de Parelheiros, na Zona Sul de São Paulo. “Ou ela sai a pedido, ou saímos com ela”, afirmou um dos integrantes da cúpula da Segurança no Estado.
A postura de Trefiglio causou revolta e indignação em todas as categorias da Polícia Civil. Ela chegou a afirmar ao repórter Sandro Barboza, da Rede Bandeirantes, que ” reportagens como essa só servem para desestimular o trabalho sério feito pelos bons policiais”. A censura da Corregedora-Geral tinha como alvo a divulgação das imagens da prisão em flagrante de V.S.L.F., feita em primeira mão pelo Blog do Pannunzio e pela TV Bandeirantes. De acordo com assessores dela, o comportamento dos policiais, afastados no começo da noite desta segunda-feira, foi “honrado e corajoso”.
A opinião diverge frontalmente da que foi manifestada pelo Secretário de Segurança Antônio Ferreira Pinto. Embora não tenha feito referências diretas à atuação da Corregedora, ele manifestou, em nota oficial, “perplexidade com o requerimento de arquivamento do inquérito policial instaurado por abuso de autoridade pelo representante do Ministério Público oficiante” – um recado claro do descontentamento do governo paulista com todos os que conspiraram para que os delegados permanecesem impunes.
Sob a coordenação de Maria Inês Trefiglio, a Corregedoria cerceou a defesa da escrivã e impediu que o video com as sevícias contra a escrivã até que fosse divulgado, na última sexta-feira, Blog do Pannunzio e pela Band.
Conhecida como “honesta”, “inflexível” e “durona”, Trefiglio vai cair por seu exacerbado corporativismo. Ela não teria informado seus superiores da existência do video, que circulou abertamente pelos computadores da Corregedoria enquanto seus funcionários zombavam dos detalhes anatômicos e dos gritos de socorro de V.S.L.F.
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PASME E LEIA A MANIFESTAÇÃO DO MINISTÉRIO PÚBLICO ALEGANDO QUE NÃO HOUVE ABUSO DE AUTORIDADE NO CASO DA ESCRIVÃ VANESSA QUE FOI DESPIDA PELOS DELEGADOS DA CORREGEDORIA
FOLHA 1
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PROMTOR DIZ QUE SÓ HOUVE UM POUCO DE EXCESSO NA HORA DE TIRAR A CALÇA ESCRIVÃ.....
FONTE:
http://www.jusbrasil.com.br/noticias/2574101/
delegados-tiram-roupa-de-escriva-para-configurar-flagrante
Delegados tiram roupa de escrivã para configurar
flagrante
Extraído de: Bahia Notícias - 20 de Fevereiro de 2011
Victor Carvalho
Foi arquivado pela Corregedoria da Polícia Civil o inquérito que tinha o condão de investigar a prática de abuso de autoridade por dois delegados durante a prisão de uma escrivã na 25ª Delegacia de Polícia, em Parelheiros, na zona sul de São Paulo. De acordo com a denúncia, dois policias teriam tirado a calça e a calcinha de uma escrivã da polícia civil suspeita de cometer o crime de concussão.
OAB diz ter avisado governo sobre vídeo de ex-escr...
Presidente do sindicato dos escrivães de SP condena...
MP apura suposto abuso policial em ação que despiu...
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Tal crime, previsto no art. 316 do Código Penal, determina que é autor aquele que vem a "exigir, para si ou para outrem, direta ou indiretamente, ainda que fora da função ou antes de assumi-la, mas em razão dela, vantagem indevida". Durante a prisão em flagrante, os delegados retiraram à força a roupa da suspeita para conseguir configurar o flagrante e encontrar o dinheiro. O interessante é que a escrivã admitiu ser revistada, mas informou que apenas tiraria a roupa frente à policiais femininas.
De acordo com a Corregedoria da Polícia Civil, os delegados não tiveram qualquer excesso na sua atuação, agindo "dentro do poder de polícia", ressaltou a corregedora Maria Inês Trefiglio Valente. Segundo o promotor Everton Zanella o fato de retirar a roupa da funcionária pública era uma consequência do transcorrer da operação. "Houve apenas um pouco de excesso na hora da retirada da calça da escrivã, todavia, em nenhum momento vislumbrei a intenção do delegado que comandava a operação de praticar qualquer ato contra a libido da escrivã", afirmou Everton Zanella. Como se não fosse o bastante, a corregedora ainda elogiou-os, classificando-os como "corajosos e destemidos".
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SECRETÁRIA NACIONAL DE SEGURANÇA PÚBLICA - REGINA MIKI DESAPROVA ATO DA CORREGEDORIA COPNTRA A ESCRIVÃ VANESSA QUE TEVE AS CALÇAS TIRADA A FORÇA PELOS DELEGADOS.
FONTE:
http://noticias.terra.com.br/brasil/noticias/0,,OI4958244-EI5030,00-
Investigacao+tem+limites+diz+secretaria+sobre+escriva+despida.html
Investigação tem limites, diz secretária sobre escrivã despida
22 de fevereiro de 2011 • 21h59 • atualizado às 22h11
Rodrigo Teixeira
Direto do Rio de Janeiro
A secretária nacional de Segurança Pública, Regina Miki, comentou nesta terça-feira o vídeo que vazou para a internet em que uma policial ficou nua em São Paulo durante uma revista após denúncia de extorsão. Em visita à nova chefe da Polícia Civil do Rio de Janeiro, a delegada Martha Rocha, a secretária classificou o caso, registrado em 2009, de "lamentável" e afirmou que "a investigação tem limites".
"Sobre esse caso, posso dizer que é lamentável. Não compactuamos com isso. A polícia não tem o dever de subverter a lei. A investigação tem limites na abordagem. O governo do Estado de São Paulo certamente vai punir esses agressores com rigor. Deixo bem claro que não compactuaremos com a violência, seja ela em que Estado for", disse. "Tomando atitudes assim, valorizamos o bom policial, aquele que dá a vida pela instituição", afirmou.
O vídeo foi gravado após denúncia feita à corregedoria da Polícia Civil de São Paulo, em junho de 2009, por um homem que afirmou que a ex-escrivã teria pedido dinheiro para não incluí-lo em uma investigação sobre porte de munição. Na gravação, a policial é algemada, jogada no chão e tem as calças tiradas por policiais homens, apesar de solicitar, por várias vezes, que a revista fosse feita por mulheres. Ela foi considerada culpada no processo administrativo movido pela Polícia Civil e demitida em novembro de 2010.
De acordo com o advogado da vítima, Fabio Guedes Garcia da Silveira, o vídeo completo tem duração de 40 minutos, mas a defesa não teve acesso ao material na íntegra, como o que foi divulgado na internet. Ele disse não saber quem pode ter divulgado as imagens.
Em nota, a corregedora-geral da Polícia Civil de São Paulo, Maria Inês Tresiglio Valente, condenou informações divulgadas pela imprensa sobre o caso. Ela disse também que o "suposto" abuso de autoridade foi apurado, conforme determinação do Ministério Público. Ainda de acordo com ela, o inquérito policial que contém a íntegra do vídeo "foi arquivado por decisão judicial".
Na segunda-feira, A Secretaria de Segurança Pública (SSP) de São Paulo determinou a saída dos delegados lotados na corregedoria da Polícia Civil Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves. Eles aguardam pelos resultados de um processo administrativo e não exercerão mais seus cargos.
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A ESCRIVÃ NUA
Transcrevo do blog do jornalista Luís Nassif, texto escrito por Márcio Valley.
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No mês de junho de 2009, dois delegados da Polícia Civil do Estado de São Paulo, os policiais Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, ambos da Corregedoria da Polícia, com apoio de duas policiais militares, algemaram e tiraram, à força, a calça e a calcinha de uma escrivã que era investigada pelo crime de concussão. As imagens estão no Youtube. Para quem quiser assistir, o endereço é http://www.youtube.com/watch?v=tZxFxABQ4Lw.
Antes de ser despida, a escrivã implorou, durante quase cinquenta minutos, que fosse revistada por policiais femininas, pois não queria ficar nua na frente de homens. Cinquenta minutos! O episódio ocorreu dentro do 25ª Distrito Policial, que fica na rua Humberto Ravello, nº 9, em Parelheiros, zona sul da cidade. A sede da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo localiza-se na rua da Consolação, nº 2333, na Consolação. Uma consulta no Google Maps revela que, entre um e outro, há trinta e sete quilômetros e cerca de uma hora.
Percurso de uma hora separou a escrivã de sua dignidade. Em certo ponto, já impaciente, um dos delegados determina que a escrivã seja algemada. Logo após ser algemada, a escrivã é moralmente estuprada, com a retirada de sua calça e de sua calcinha, enquanto, infantilmente, grita “vai aparecer minha periquita, vai aparecer minha periquita”. Logo após ser despida, ela balbucia, quase sem voz, “não acredito que estou nua”. Tudo isso ocorreu dentro de uma delegacia de polícia da maior cidade desse país.
Acho que todos nós nos lembramos da decisão do Supremo Tribunal Federal que proibiu o uso de algemas. Segundo a Súmula Vinculante nº 11 do Excelso Tribunal, somente é lícito o uso de algemas em casos de resistência e de fundado receio de fuga ou de perigo à integridade física própria ou alheia, por parte do preso ou de terceiros, justificada a excepcionalidade por escrito, sob pena de responsabilidade disciplinar, civil e penal do agente ou da autoridade e de nulidade da prisão ou do ato processual a que se refere, sem prejuízo da responsabilidade civil do Estado.
Do vídeo da prisão da escrivã, em nenhum momento ela resiste à prisão ou mesmo à revista, somente implorando por revista feminina. Tampouco oferece ela qualquer risco à si ou aos policiais. No entanto, foi algemada. E as algemas, percebe-se claramente pelo vídeo, foram colocadas para facilitar o trabalho do delegado no ato de despir a escrivã. Não havia resistência à prisão, havia resistência a um procedimento de produção de prova. Os motoristas podem opor-se ao bafômetro. A lei não autoriza que um motorista alcoolizado seja algemado para possibilitar que um bafômetro seja enfiado em sua boca, todavia, ao menos em São Paulo, parece que é permitido aos policiais algemar mulheres para despi-las em busca de provas e evidências da prática de crime.
Logo após as algemas, a vergonha. Diz o artigo 249 do Código de Processo Penal, que a revista em mulher será sempre feita por outra mulher, somente cabendo exceção no caso de a convocação de agente feminina importar retardamento ou prejuízo à diligência. Bom, o delegado ficou quase uma hora tentando convencer a escrivã a ficar nua na sua frente, praticamente o mesmo tempo que demandaria conduzir uma policial feminina da Corregedoria à delegacia. É interessante observar, nessa barbárie, que o chefe da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo é uma mulher, a delegada Fernanda Paiva Nunes Marreiros Marques. Fico imaginando se ela, num gesto de alteridade, imaginou-se no lugar da escrivã, tendo as calças arrancadas à força por policiais homens.
Reparem que não falei sobre o suposto crime atribuído à escrivã. Foi de propósito. Ainda que alguém pratique um crime, isso não autoriza qualquer policial, muito menos delegados de polícia, a violentá-lo fisica ou moralmente. Um procedimento instaurado na Corregedoria isentou os delegados de qualquer culpa, mesmo existindo um vídeo comprovando o excesso. O crime da escrivã foi aparentemente comprovado e ela foi demitida. Contudo, a escrivã, ao gritar o seu direito de não expor sua "periquita", na verdade pôs a nu os delegados de polícia do Estado de São Paulo.
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Agora comigo: O texto não aborda outros pontos, como a maneira ilícita de buscar a prova, e a questão da nota ser "xerocopiada" como eles mesmos dizem no vídeo, o que seria um crime impossível, e portanto inexistente, pois ninguém pode ser subornado por xerox. Ainda é argumento factível a questão de flagrante forçado. Mas é claro que ficou provado que houve o suborno, foi encontrado dinheiro com a escrivã, porém, o crime maior neste caso foi o claro desrespeito à dignidade sexual. O desrespeito moral. O inquérito contra os policiais foi arquivado e a escrivã foi expulsa. Cada um que pague por seus crimes. Naquela sala, a escrivã virou um espetáculo para dezenas de pessoas, e seus gritos demonstram o tamanho da violência que sentiu.
Fica a certeza que ela perdeu muito mais que o emprego, foi abusada moral e sexualmente, isto é uma questão de dignidade, o princípio fundamental de todo o ordenamento jurídico.
Resolvemos tirar o vídeo, depois de consultar algumas colegas de classe de faculdade. Na verdade, se encontrarmos o vídeo com os devidos cortes, não expondo totalmente a mulher, volto a colocar. Pensamos o seguinte: Se ela lutou tanto para se preservar, será que nós não estamos novamente despindo-a diante milhares de pessoas? Por isso, o vídeo foi exlcuído, mas a abordagem sobre o assunto é pertinente, e devemos aprofundar como um grito de repúdio ao desrespeito à lei e à mulher, E neste caso, a escrivã deve pagar pelo seu crime, mas sob o manto da legislação penal, e não pela abordagem machista dos policiais que a expuseram.
FONTE:
http://blogdoronaldocesar.blogspot.com/2011/02/escriva-nua.html
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Uma Polícia que o povo abomina
Em verdade a filmagem mostra, além do brutal e inconcebível ato contrário ao nosso regime democrático de direito, um excesso desnecessário dos Delegados e seus comandados correcionais. Comprovaram que todos são despreparados e atrabiliários. Não restaram equilíbrio e razoabilidade na presente ação policia
Uma Polícia que o povo abomina
(*Archimedes Marques)
Junto a uma sociedade em que se clama por Justiça e que se tem a Policia como arbitrária, corrupta, abusiva e violenta, está entre todas as instituições policiais como exemplo maior de dignidade e disciplina, a figura da Corregedoria da Polícia, espécie de Polícia da Polícia a policiar os atos indevidos, apurando e encaminhando para Justiça os supostos ilícitos penais praticados pelos seus membros. A Corregedoria de Polícia é também o Juízo da Polícia, vez que julga administrativamente os desvios de conduta e as transgressões disciplinares dos componentes da sua instituição.
A Corregedoria de Polícia tem como missão preservar e promover dentre outros, os princípios da legalidade, impessoalidade e moralidade dos atos de gestão, bem como da probidade e responsabilidade dos policiais da sua instituição. No nosso sistema democrático de direito, o bom trabalho da Corregedoria é uma das garantias dos cidadãos de que policiais de má conduta sejam investigados, punidos, advertidos, afastados e enfim, demitidos a bem do serviço público.
Em contra ponto a tais atributos, o Jornal da Band mostrou nesta sexta-feira, 18/02/2011, um caso de humilhação, aparente abuso, desrespeito aos direitos individuais e constitucionais, no qual Delegados e seus comandados representando a Corregedoria de Polícia Civil de São Paulo, tiraram à força a roupa de uma colega Escrivã depois de algemá-la, em busca de provas que supostamente a incriminariam em corrupção ativa. O fato aconteceu no 25° Distrito Policial em Parelheiros, zona sul de São Paulo em 15/06/2009, mas as imagens filmadas foram mantidas em sigilo e somente agora veio a tona para espanto e repudio de grande parte da sociedade brasileira.
A reportagem televisiva teve acesso com exclusividade às imagens gravadas pela própria Corregedoria da Polícia Civil, que mostram o flagrante dado pelos seus integrantes a um suposto crime de concussão praticado então por uma Escrivã de Polícia. Segundo a denúncia, a policial teria recebido R$ 200,00 para ajudar um suspeito a se livrar de um inquérito policial.
A apuração inicial para comprovar a suposta corrupção com a conseqüente prisão em flagrante delito da Escrivã transcorria normalmente e dentro da legalidade até que um Delegado decidiu que a suspeita teria que ser revistada e despida a qualquer custo. Usando dos seus preceitos constitucionais, a Escrivã não se recusou a ordem, mas pediu a presença de policiais femininas para a conseqüente revista.
Entretanto, com o acirramento dos ânimos, a emoção sobrepõe a razão e inclusive é dado também voz de prisão por supostos crimes de resistência e desobediência à revoltada policial, que então algemada indevidamente não restou outra alternativa a não ser relutar em força reduzida contra a ilegalidade e da ação despiram brutalmente a sua calça e calcinha, para enfim ser aparentemente encontrado escondido o dinheiro procurado e almejado, objeto material do suposto crime de concussão.
Assim, o que era para se tornar uma prisão de rotina tão comum em atos correcionais nas unidades policiais do país, transformou-se aos olhos de todos, em flagrante desrespeito aos direitos humanos. A cena daquele corpo vencido seminu, obtida de forma violenta, degradante e cruel, mostrou além do constrangimento, o ultraje a uma Constituição cidadã, uma Constituição que zela acima de tudo pelos direitos do cidadão. A cena feriu de morte todos nós cidadãos brasileiros.
Dos fatos geraram administrativamente a exclusão da suspeita dos quadros da Policia civil paulistana e criminalmente um processo ainda está em andamento na Justiça desse Estado por crime de concussão contra a mesma, enquanto que, para os aparentes e possíveis atos abusivos e lesivos praticados pelos policiais da Corregedoria, restou o procedimento arquivado com aval do Ministério Público e do Judiciário.
É comum a imprensa brasileira divulgar imagens de abusos policiais, torturas em presos, maus tratos contra populares e outras tantas cenas não convencionais, contudo, a comprovação de atos abusivos e lesivos praticados por policiais de alguma Corregedoria de Polícia, o órgão policial exemplo, ainda não havia chegado ao conhecimento público.
É ensinamento precípuo que os Juízes e Corregedores em geral devem agir sempre com moderação e circunspecção refletindo e trabalhando com equilíbrio, razoabilidade e proporcionalidade para que os seus atos sejam considerados justos.
A Polícia representa o aparelho repressivo do Estado que tem sua atuação pautada no uso da violência legitima, contudo, quando se fala em violência legítima, se fala em ordem sob a Lei e não sobre a Lei. O chamado Poder de Polícia que possui a força pública é limitado pela própria Lei e não pode ser ultrapassado sob pena de se praticar o abuso previsto com a conseqüente quebra dos direitos constitucionais inerentes do cidadão.
Bem nos ensina a Professora, Jurista e Escritora CRISTINA BUARQUE DE HOLLANDA, ao discorrer na sua obra "O problema do controle da Polícia em contextos de violência extrema": "Quando as agencias encarregadas de manter a lei e a ordem descambam para a arbitrariedade e para o comportamento desregrado, instalam inconscientemente o risco de instabilidade do Estado, periclitando suas instituições. Por certo que se alguma margem de desvio do universo formal não compromete a normalidade da rotina de funcionamento do Estado, os contextos de grave disparidade entre desempenho ideal e real das polícias podem alcançar efeitos devastadores de controle na dinâmica de legitimação da ordem pública".
Em verdade a filmagem mostra, além do brutal e inconcebível ato contrário ao nosso regime democrático de direito, um excesso desnecessário dos Delegados e seus comandados correcionais. Comprovaram que todos são despreparados e atrabiliários. Não restaram equilíbrio e razoabilidade na presente ação policial. Afinal a Escrivã só não queria passar pelo constrangimento de ficar nua na frente de homens, um justo direito. Tudo poderia ser resolvido sem maiores prejuízos com a chamada ao feito de uma Delegada e suas agentes policiais para fazer a revista designada e necessária ali mesmo naquela delegacia, ou então conduzirem a Escrivã suspeita até a Corregedoria de Polícia para as medidas legais e pertinentes, o que em absoluto em nada prejudicaria o flagrante.
Medidas devem ser adotadas, administrativamente e judicialmente para que a ordem seja resgatada na Policia civil de São Paulo, sob pena de serem abertos precedentes idênticos nas demais Corregedorias de Policia do Brasil.
(*Delegado de Polícia. Pós-Graduado em Gestão Estratégica de Segurança Pública pela UFS. Exerceu o cargo de Corregedor-Geral de Polícia civil de Sergipe em duas ocasiões) archimedes-marques@bol.com.br
Referências bibliografias:
FEITOSA, Denilson. Direito Processual Penal. Teoria, Crítica e Práxis. Niterói: RJ, 2008.
BAYLEY, David. Padrões de Policiamento. São Paulo: Edusp 2001.
TEMER, Michel. Elementos de Direito Constitucional. São Paulo: Malheiros editores, 2000.
COMPARATO, Fabio. A afirmação histórica dos Direitos Humanos. São Paulo: Saraiva, 2007.
HOLLANDA, Cristina Buarque de. O problema do controle da polícia em contextos de violência extrema: Os casos do Brasil, África do Sul e Irlanda do Norte. Rio de Janeiro: SESC, 2007
FONTE:
http://www.folhadodelegado.jex.com.br/meus+artigos+/uma+policia+que+o+povo+abomina
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O afastamento dos delegados Eduardo Henrique de Carvalho Filho e Gustavo Henrique Gonçalves, que despiram à força em uma sala do 25 Distrito Policial (Parelheiros) uma escrivã suspeita de corrupção, fizeram a Corregedoria da Polícia Civil passar da condição de "estilingue" à "vidraça". Desde a semana passada, quando imagens da operação gravadas pela equipe, foram parar na internet, o órgão responsável pela fiscalização da conduta moral de policiais civis é alvo de críticas.
"O que fizeram àquela funcionária é uma violação aos direitos fundamentais do ser humano. É crime hediondo. É um processo de coação moral, física e psicológica", afirma o presidente da Comissão de Direitos Humanos da OAB-SP, Martim de Almeida Sampaio.
O advogado defende punição exemplar a todos os envolvidos no episódio e até sugere demissão a bem do serviço público. "É uma boa oportunidade de o governador Geraldo Alckmin mostrar a sua autoridade", diz.
foto: Reinaldo Canato / Diário de SP
Atrás do símbolo da Justiça, escrivã espera provar sua inocência
DESGASTE / O episódio também desgastou a imagem da corregedora Maria Inês Trefiglio Valente, que vinha fazendo um bom trabalho à frente do órgão. Pessoas próximas a Alckmin dizem que Maria Inês ficou em situação desconfortável, principalmente após defender a ação, que classificou de "moderada".
A indignação da opinião pública com a truculência dos policiais é tanta que até o presidente do Sindicato dos Delegados de Polícia, George Melão, diz ter sentido "repugnação" ao assistir ao vídeo. "Infelizmente, os excessos são cometidos", diz. Para ele, o afastamento, determinado pelo secretário da Segurança Pública, Antônio Ferreira Pinto, é salutar. "Espero que não se limite a eles. A medida deve se estender à corregedora", diz. No site do sindicato, Melão cita inúmeras leis violadas pela Corregedoria durante a operação, entre as quais a Constituição e a Lei Orgânica da Polícia.
Cenas da escrivã no Youtube saíram do ar diversas vezes
O vídeo que mostra os delegados algemando a escrivã, jogando-a no chão e arrancando a calça e a calcinha dela à força para provar que ela havia escondido R$ 200 saíram várias vezes do ar ontem. Muitos internautas não conseguiram acessá-lo no Youtube em alguns momentos.
Especialistas explicam que, geralmente, isso corre quando alguém que se sente ofendido com as imagens exige a retirada delas do ar. Porém, como inúmeros internautas conseguiram fazer cópias do vídeo, alguém com interesse em exibi-lo o coloca no ar novamente.
As imagens causaram repúdio no presidente do Sindicato dos Escrivães de Polícia, Heber Souza dos Santos. Na opinião dele, além de abuso de autoridade, os policiais cometeram crime de tortura.
Para protestar e exigir a exoneração dos envolvidos, a categoria organiza um ato público na Praça da Sé, a partir das 11h de sexta-feira, seguido de caminhada até a Secretaria da Segurança Pública.
A psicóloga Fátima Marques, da Coordenadoria Municipal da Mulher, vê machismo no vídeo. "Ele mostra que homens ainda acham que têm poder sobre a mulher."
FONTE:
http://www.diariosp.com.br/_conteudo/
2011/02/37348-corregedoria+da+policia+civil+entre+a+cruz+e+a+espada.html
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FONTE:
http://www.jornalfloripa.com.br/brasil/index1.php?pg=verjornalfloripa&id=2930
24/02/2011 às 11h52min - Atualizada em 24/02/2011 às 11h52min
TAMANHO DA FONTE A- A+
Vídeo do caso da escrivã abre crise na Polícia Civil de SP
A divulgação do vídeo que mostra delegados da Corregedoria da Polícia Civil de São Paulo tirando à força a calça e a calcinha de uma escrivã durante uma revista abriu uma crise dentro da instituição.
Segundo o texto, durante a reunião semanal do Conselho da Polícia Civil, na manhã de ontem (23), a corregedora-geral Maria Inês Trefiglio Valente, que apoiou a ação dos quatro delegados corregedores que investigaram a escrivã V., foi pressionada publicamente a deixar o cargo por 5 dos 23 delegados da cúpula da instituição.
A corregedora foi procurada ontem pela reportagem, mas não quis se manifestar.
A crise interna na Polícia Civil foi impulsionada porque a divulgação da gravação da operação policial foi destaque em todo o país. Os envolvidos foram afastados. O governador Geraldo Alckmin (PSDB) afirmou, após a divulgação das imagens, que o vazamento do vídeo na internet era "grave".
O CASO
O caso aconteceu em junho de 2009. Ao longo dos 12 minutos do vídeo, a escrivã diz que os delegados poderiam revistá-la, mas que só retiraria a roupa para policiais femininas. Mas nenhuma investigadora da corregedoria foi até o local para acompanhar a operação.
Ao final, o delegado Eduardo Filho, uma policial militar e uma guarda civil algemam a escrivã, retiram a roupa dela e encontram quatro notas de R$ 50. A escrivã foi presa em flagrante e, após responder a processo interno, acabou sendo demitida pela Polícia Civil. No mês seguinte, seus advogados recorreram da decisão.
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POLICIAL CIVIL QUE NÃO GOSOTU DO VIDEO DA VANESSA AGORA É TAXADO DE CORRUPTO!!!!!!
EU MEREÇO!!!!!!!!
O que (ainda) sustenta a corregedora da Polícia Civil de SP no cargo
February 23 | Posted by Fábio Pannunzio | Direitos humanos, Manchetes, Notícias, Segurança Tags: corregedoria, escrivã, Operação Pelada
Trefiglio: se ela não ligar pedindo a conta, o Secretário liga para ela.
Espera-se para qualquer momento o desfecho do caso que envolve o centro negrálgico da Segurança em São Paulo. Presa à cadeira de Corregedora-Geral por um fio, a delegada Maria Inês Trefiglio Valente segue comandando a polícia da polícia judiciária paulista. Mas em silêncio e longe da ribalta.
Pesa contra ela a ira do Secretário Antônio Ferreria Pinto, colocado no foco do escândalo, desatado depois que o Blog do Pannunzio e a Rede Bandeirantes divulgaram imagens que mostram delegados da corregedoria despindo à força uma escrivã que vinha sendo investigada por concussão. Maria Inês disse e reiterou, em entrevista coletiva concedida na última segunda-feira, que o secretário tinha conhecimento do video.
O secretário afastou três delegados e mandou investigar um quarto. Todos serão responsabilizados administrativamente pelas sevícias e pelo desrespeito que as cenas desvelam. Em nota oficial, Ferreira Pinto se disse perplexo com o arquivamento do caso determinado pela vara Distrital de Parelheiros e com a atuação do promotor de justiça responsável pelo inquérito. Mas não explicou por que só tomou providências quando o caso se tornou público, na última sexta-feira. E nada falou sobre a omissão da Corregedoria, que durante um ano e meio fez vistas grossas para os abusos, detemrinando, inclusive, o arquivamento de um procedimento administrativo.
Ressalte-se que o próprio procedimento administrativo só foi instaurado depois que o caso chegou ao conhecimento do Ministério Público por meio de um telefonema anônimo. Até então, as sevícias sofridas pela escrivã circularam internamente pelo computadores da Corregedoria, sempre em tom jocoso, mote de piadas infames feitas a partir dos dados anatômicos da vítima das sevícias.
“O jogo segue rolando”, diz um assessor da Secretaria, sem saber ainda que tratamento será dispensado à delegada-corregedora. Trefliglio tem um curriculum invejável. Ela atuou positivamente na limpeza do DETRAN, talvez o maior foco de corrupção da polícia paulista, resolveu os casos El Negro e Abadia. Nesses episódios, a conduta inflexível da corregedora foi fundamental para que o governo apresentasse resoltados para a sociedade.
O crédito das ações passadasconta pontos a favor de Maria Inês Trefiglio. Apesar de odiada por boa parte da corporação, ninguém questiona a honestidade pessoal da delegada durona. Mas neste momento, seu cacife político parece não ser suficiente para conter o alarido provocado pelas imagens dos policiais arrogantes arrancando as calças da escrivã indefesa. E tudo isso foi agravado pelas declarações da própria corregedora, que chegou a elogiar o comportamento selvagem dos subordinados.
O afastamento dos quatro delegados e a instauração de outro procedimento administrativo desmoralizaram a delegada. A determinação do secretário de segurança aniquilou todos os esforços para dar à atuação da Corregedoria uma aura de normalidade, como se pretendeu nas primeiras horas após a divulgação do video. Salvo a própria Maria Inês Trefiglio, ninguém na SSP quer se comprometer com os erros dos prepostos da delegada. Especialmente o secretário Ferreira Pinto.
O episódio também deixou sequelas no Palácio dos Bandeirantes. O governador Geraldo Alkmin não aceita a partidarização do episódio, que teria acontecido com as manifestações enfáticas de autoridades federais condenando o comportamento da polícia paulista. A ação desastrada dos policiais-corregedores obscurece e mancha a reputação de uma polícia que, mal ou bem, vem apresentando resultados positivos, como a redução drástica dos índices de homicídios, que serviram como combustível para o bom desempenho do atual governador nas últimas eleições.
Embora o Palácio dos Bandeirantes não admita ser pressionado pela indignação de agentes e delegados de polícia, o governo está acompanhando a convocação de um ato de protesto marcado para o dia 25, quando policiais civis prometem parar o trânsito e acionar sirenes por cinco minutos na porta da Corregedoria.
O prédio fica na Rua da Consolação, quase na esquina da Avenida Paulista, local de grande afluxo de veículos e pedestres. Qualquer interdição do tráfego naquele local gera reflexos na malha viária de São Paulo, o que poderia amplificar a reverberação dos portestos.
A manifestação está sendo convocada pela internet, como uma espécie de flash-mob dos indignados. Até agora, avalia-se que os “coordenadores” do ato de protesto são policiais interessados em desmoralizar a corregedora porque temem sua atuação. Segundo uma fonte da Secretaria, a motivação central seria o comprometimento da clientela habitual da Corregedoria — policiais corruptos que se viram em má situação a partir da gestão inflexível de Maria Inês Trefiglio.
Mas essa é apenas a maneira como a oficialidade enxerga o problema. A julgar pelos milhares de comentários postados em sites que trataram do assunto, a causa da indignação está nas próprias atitudes da corregedora, que foi incapaz de fazer uma autocrítica e de esboçar um pedido de desculpas. A esta altura, inócuo e impossível.
http://www.pannunzio.com.br/?p=7233
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